The Tragedy of Severus Snape

Chapitre 35 : Le bal

Musique : Young and beautiful - Lana Del Rey 

--Appartement Severus Snape, 24 décembre 1998--

Severus entra dans la salle de bain, Hermione se préparait doucement alors que l'heure approchait de plus en plus rapidement. Il vivait en horreur les bals d'hivers et Minerva avait expressément expliquer que chaque invité avait l'obligation d'être présent ce soir là. Sa sociabilité était mise à l'épreuve et elle risquait de faire quelques dégâts ce soir en cassant la bonne humeur qui risque de régner dans la salle. Mais pourtant quelques jours plus tôt Hermione l'avait quelque peux obligé de donner bonne impression ce jours là. Enfin d'être agréable pour elle, mais dans un sens cela l'angoissait d'être parmi la foule, de porter ce masque qu'il devait poter tout les jours, et pour une fois, et en assurant son double-jeux, il pouvait être lui-même : terne et triste, il abordait les expression qui peuplait chaque jours son coeur. Mais cette fois-ci, il voulait faire l'effort pour elle, parce qu'elle lui avait expliquer ce que cela lui représentait, parce qu'il savait que ce fichu bal était important pour elle.

Un soir alors qu'ils se trouvaient sur le canapé du salon à l'appartement de Severus, Hermione lui avait raconté son point de vue sur le bal d'hiver lors de sa troisième année. Elle avait expliquer que pour la première fois de sa vie, elle c'était senti désirable et enfin la femme qu'elle voulait devenir lorsqu'elle était enfant. L'un de ses rêves c'était réalisé ce soir là, accompagné par l'un des garçon les plus prisés de Poudlard, un joueur de quiditch admirer de tous et célèbre, elle c'était senti comme quelqu'un d'importante mais surtout puissante. Parce que oui, c'était ça l'image qu'elle voulait d'elle étant adulte, une femme qui détenait du pouvoir, et plus particulièrement sur les hommes. Elle avait affinée sa volonté une fois adolescente et maintenant, elle voudrait jouer de sa sensualité et du pouvoir qu'elle en dégagerais. Est-ce que c'était le cas aujourd'hui ? Avait-elle se pouvoir là sur lui ? Alors qu'il regardait Hermione sortir de sa douche et s'enrouler dans une de ses serviettes noirs, sa peau était perlée d'eau, ses cheveux mis en arrière goutait sur le carrelage froid, ses seins enfermés par la serviette qui cachait son corps de sa vue, il savait ; il savait très bien que ses charmes l'avait emprisonner. Se sentait-elle puissante lorsqu'elle se trouvait auprès de lui ? Sentait-elle sa sensualité brisée toutes ses barrières ? 

"Tout vas bien ?" demanda Hermione, elle était sortie de la douche depuis maintenant quelque minutes et son regard ne l'avait quitté depuis. A quoi pensait-il? 

Sans même donner une réponse il s'approcha d'elle, l'embrassant violemment, plaquant ses lèvres contre les siennes. Sa main délia le noeud qui détenait sa serviette, alors qu'elle formait une flaque entourant vaguement ses pieds, il fit soulever son corps, l'entourant de ses jambes pour qu'elle puisse s'accrocher à lui. 

Sans prononcer un mot, il la guida dans la chambre et se laissa tomber sur le lit baldaquin qui trônait la pièce. Leur bouche se faisait tumultueuse et chacun parcourait le corps de l'autre avec une certaine fébrilité. Sans même délié leur contact, Severus retira magiquement son pantalon ainsi que son boxer, montrant à la femme qui se trouvait au dessus de lui, son état d'excitation. 

Leur deux corps se mêlait l'un à l'autre, les lèvres d'Hermione s'entrouvrit laissant passer ses gémissement. Severus observait Hermione se languir sur lui, ondulant lascivement ses hanches contre les siennes, contrôlant enfin son plaisir. Alors que ses mains étaient plaqués sur son torse, ses ongles s'enfoncèrent quelque fois alors que son mouvement était trop bon pour elle, il l'observait, admirant cette femme qui rejetait sa tête en arrière pour laisser échapper son souffle entre ses lèvres roses, ses cheveux en bataille qui tombaient naturellement sur son dos, les gouttes d'eaux se mêlant à leur sueur. Ses mains tenait ses hanches qui bougeait d'une manière experte et quelque fois sa propre tête se jeta en arrière, retenant difficilement quelques gémissement. Sa tête était sur le point d'exploser mais pourtant il se força à la regarder, encore et encore; regarder ses mains parcourir son propre corps, capturer ses seins pinçant légèrement ses tétons, il l'a vit prendre une de ses mains, l'amenant à sa bouche, il vit sa lèvre se poser sur sa peau, sa langue se jouer de son toucher, ses yeux qui trahissait son désir alors qu'il était plonger dans les siens. Il le sentait maintenant, toute cette puissance qui emmenait d'elle, qui le rendait totalement dépendant de son corps et de sa personne.