Terroriste

Évasion

Il était là, debout, une clef dans la serrure de la cellule.

-Mais qu'est ce que tu fabriques? demanda la demoiselle.

-Je te libère, lui répondit simplement le garçon.

-Si tu fais ça tu sera viré et tu le sais.

-Alors tu t'inquiète pour moi? répondit Nathan un sourir victorieux sur le visage.

-Non, ce n'est pas ça. Tu es Juste débile! Tu as un bon travail et tu perdrais tout, simplement parce que tu me libère?

-Tu vois, même toi tu dis que je suis conscient de ce que je fais.

-Mais tu es complètement fous!

-Oui, fou de toi. (Phrase quétaine, excusez-moi, il FALLAIT que j'en mette une)

-Je ne crois pas au coup de foudre.

Le jeune honme ignora complètement le commentaire. Il ouvrit la porte et agrippa le poignet droit de Milène.

-Aïe! Tu me fais mal!

-Je sais! Je sais! Tu te plaindra une fois sortie d'ici. Maimtenant, arrête de geindre ou on se fera repérer. Mon but est de te faire sortir d'ici, alors ne parle pas trop fort et qu'en cas d'urgence.

-Pourquoi?

Ce petit mot réussit à sortir non sans efforts de la bouche de la prisonnière. Nathan tenait toujours le bras de la demoiselle. Ils sortirent du bâtiment, coururent six rues, tournèrent au coin du pàté de maison et se cachèrent dans un buisson.

-Mais lâche-moi bon sang! Hurla la jeune femme.

-Pas si fort, répliqua le policier. Tu veux y retourner?

-Non, maintenant que je suis sortie, ils ne feront qu'agraver ma sentence.

Il y eut un long silence, puis:
-J'ai quelque chose à te demander, commença la jeune femme.

-Quoi donc?

-Pouquoi m'as-tu sortie de prison?

À ce moment précis, elle aurait cru voir le policier rougir. Il fouilla dans la poche de son veston, en sortit un coffret, l'ouvrit. C'est alors que la demoiselle aperçut un objet scintillant.

Le jeune homme donna sa réponse:
-C'est parce que je t'aime Milène.