hey :)
Alors pour commencer, j'ai eu envie d'écrire une petite fanfic' sur *+Eddie Munson+*
Je démarre sans plan ni rien, et c'est ma première histoire alors si je ne suis pas très rapide, c'est normal, je découvre :)
Dans tous les cas, c'est une fa...
Avant de commencer ce chapitre, j'ai l'honneur de vous annoncer... J'ai passé l'épreuve orale, je vais donc avoir tout mon temps pour écrire. Je m'excuse pour l'attente de ces derniers chapitres, mais je vais faire de mon mieux pour être plus assidue et écrire plus, promis ;)
KORI : - Ahah, oui désolée je suis un peu troublée par la situation... ( lol oui oui )
Je m'avance un peu plus dans la mobil home de Eddie.
EDDIE : - Bon, tu as le choix, soit je te laisse ma chambre, soit je te laisse le canapé. Je t'épargne la chambre de mon oncle, elle n'est pas vraiment recommandable...
Je ne vais quand même pas squatter sa chambre, je veux dire, SA CHAMBRE. Ca implique littéralement son lit, etc etc ahahah, non non je n'arriverai jamais à dormir là-bas...
KORI : - Hum, le canapé est confortable ?
EDDIE : - Assez, oui, avec une bonne dose de coussins, on y dort très bien !
KORI : - Je vais te laisser ta chambre, je choisis le canapé.
EDDIE : - C'est noté princesse. Je te prépare ça. N'hésite pas à faire comme chez toi !
KORI : - D'accord
Eddie se retourne et se dirige vers sa chambre pour chercher des couverture mais je m'avance vers lui et lui attrape le bras
'oh mon dieu qu'est ce qu'il me prend. Bon...'
KORI : - M-merci de faire ça pour moi, je ne sais pas ce que j'aurai fait sans toi...
Il se retourne, me sourit, et me tapote gentiment la tête.
EDDIE : - Pas de problème, ça me fait plaisir.
Eddie retourne chercher ce dont il avait besoin. Je me retrouve donc seule dans le petit salon. Enfin, pas vraiment seule car je sens en moi, un émotion grandissante qui commence à prendre trop de place à mon goût. Je me rend doucement compte de ce que je venais de faire et je rougis de plus belle ( j'aurai beaucoup rougis ces derniers temps ). Ce n'est pas logique ni dans mon habitude de m'intéresser si vite à quelqu'un. Est ce qu'on peut dire que c'est un crush ? Mais j'ai jamais rien ressentis pour quelqu'un, j'en sais rien, moi. Tout ce que je sais c'est que je me sens immensément gênée en sa présence, que j'ai rêvé de lui tout à l'heure ( wtf ?? ) et que je le trouve absolument magnifique ( et dieu sait que je ne trouve pas beaucoup de personnes magnifiques ). Partons du principe que c'est un crush. J'espère qu'il sera passager, parce que je ne suis pas du tout à l'aise. Et puis, ça le mettrait très en danger.
Ahhhh, le fait de le qualifier de crush me rend trop nerveuse. Lui n'en a sûrement rien à faire de moi, je veux dire, il a l'air sympa avec tout le monde. Quoique, je crois me souvenir ( même très bien ) de son surnom au lycée. Et puis je crois que les gens se plaignaient de l'avoir dans notre classe cette année. D'ailleurs je ne comprend vraiment pas parce qu'il a l'air d'être trop gentil ! Je veux dire, on ne se connait pas et il m'accueille chez lui !
Je m'assoie sur le canapé et fixe le mur.
KORI : - Tu as besoin d'aide Eddie ?
EDDIE : - Je gère la fougère, t'inquiète !
Je pouffe de rire car cette superbe expression me fait profondément rire. Cependant, je reste une fille polie et je décide d'aller lui donner un coup de main. Je m'avance donc dans le petit couloir étroit que mène à la chambre d'Eddie. Malheureusement, la seule chose que j'arrive à voir, c'est un gros tas de couvertures et de coussins foncer sur moi. Je n'ai pas le temps de me retourner, la collision est donc imminente. BOUM !
Je me retrouve par terre, écrasée sur le poids de Eddie et des couettes qui nous séparaient. Je vous décrit la scène très simplement : je suis par terre sur le dos avec un tas de coussins et de couettes sur moi. Et sur ces couvertures se trouve Eddie, sur le ventre, une main de chaque côté de ma tête. Autant vous dire que sa tête n'était qu'a quelques centimètres de la mienne. Mais ce ne fut pas désagréable du tout, ahah. Pendant un cours instant, ses yeux se sont plongés dans les miens et durant quelques secondes, nous nous sommes regardés. J'aurai voulu rester là des heures mais il détourna le regard en se cachant le visage. J'ai même cru un instant qui rougissait-
Il se relève rapidement et se met dos à moi
EDDIE : - Tu... tu vas bien ?
KORI : - euh, oui, t'en fais pas !
Eddie reste quelques secondes supplémentaires de dos puis fini par se retourner en me tendant la main.
EDDIE : - Je vais t'aider à te relever attend..
KORI : - M-merci Eddie
Je prend sa main et me relève.
KORI : - Attend, je vais t'aider à porter tout ça !
Je prend la couette et la pose sur le canapé.
EDDIE : - Voila, je pense qu'il est temps pour toi de dormir. Je vais te prêter des vêtements pour la nuit. Suis moi.
On se dirige vers sa chambre. Elle est super cool ! Je vois des posters de groupes de rock que j'apprécie beaucoup, on dirait qu'on a les mêmes gouts musicaux ! Je continue de regarder autour de moi.
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KORI : - Oh ! Tu as une guitare ?
EDDIE : - Oui, j'en joue depuis le collège ! Je te montrerai à l'occasion !
Il me donne un t-shirt et un short
KORI : - Avec plaisir ! Décidément, tu es vraiment super cool !
je tente un truc là.
EDDIE : - Hum ? C'est à dire ?
KORI : - Eh bien, tu as un style incroyable, tu es sympa, tu m'héberges, tu as les mêmes gouts musicaux que moi et en pus tu joues de la guitare électrique ! Que demander de plus ?
EDDIE : - C'est sacrément gentil ce que tu me dis là ! C'est ce que tu penses ?
KORI : - Absolument !
EDDIE : - Et bien je t'avoue que ça me fait tout bizarre, j'ai plus l'habitude qu'on me traite de taré... Ca me fait plaisir ! Merci ! Et puis tu n'est pas mal non plus, alors ca me rend d'autant plus nerveux-
KORI : - Tu penses ?
EDDIE : - Bah j'aime bien les filles dans ton genre. Je veux dire, on voit tout de suite que tu es indépendante, tu ne te laisse pas marcher sur les pieds. En plus t'as des trop beaux yeux j'avoue
Je me met a rougir de manière très fortement excessive à ces mots.
KORI : - Bin ça alors... M-merci
EDDIE : - Allez va te coucher, bonne nuit princesse !
Il me tapote affectueusement la tête.
Je me retourne et me dirige vers le salon, dans papillons plein de ventre. C'est définitivement un crush.
