50 poucent

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Lorsque Theodort se pointat au LOAT le lendemain, bien que tout le monde soit présent, il n'adressa pas la parole à son meilleur ami. Ce qu'il s'était passer hier... Qu'avait il dis dans son sommeil ? Que c'était il passer ? Avait il mis Theo mal à l'aise ? Et si celui ci le trouvait bizarre ? Ce jour là, il ne lui parlait plus comme avant. Était ce à cause de ça ? Il avait faillit l'embrasser. Est ce que Theo s'en était rendu compte ? Et si il lui faisait peur ? Et si lui, contrairement à Linca, ça le dégoûtait ? Et si il le virait du LOAT parce que il était trop gêné ? Ou qu'il avait compris son penchant pour les hommes ? Et si il le balançait à tout le monde ? Sur les réseaux ? Et si il ne lui adressait plus la parole ? Et si il le haïssait ? Le trouvait contre nature ? Et si il pensait que Theodort allait le contaminer ? Et si, et si, et si...

Avec des si on mettrais Paris en bouteille, avec des si on débute une crise d'angoisse. La première depuis bien longtemps. Il reconnut tout les symptômes, des le début. Sa vieille amie. Seul dans son studio, il écoutait son cœur battre à 100 000 à l'heure (c'est beaucoup, j'ai eu mes exams de SVT ). Sa tête lui tournait, il respirait difficilement, ventilant, cherchant à tout pris un peu d'air à se mettre dans les poumons. Ses jambes flageolantes le lachèrent, et il tombe dans un bruit sourd. Ses quelques éclairs de lucidité furent de se mettre assis, les bras sur les genoux et la tête dans ses bras, et de prier pour que les goat ne l'ai pas entendu. Puis c'était la fin. Des larmes coulaient sur ses joues, il ne savait plus pourquoi il paniquait, c'était trop tard. Quel était le haut, quel était le bat, il ne pouvait le dire. Ou était il ? Qui était il ? Sa tête lui tournait. Il n'en pouvait plus. Il voulait sortir. Pas dehors non, en général. Sortir de ce corp, de cette vie, trouver ce qu'était la liberté, si il y avait un autre moyen. Autre chose que ça.

Le bruit sourd n'avait prévenu qu'une personne, qui n'était pas loin. Hctuan se demanda ce qui avait pu tomber et, soucieux des studios de ses amis, alla voir si rien n'était cassé. Lorsqu'il pénétra dans le studio de Theodort, ce fut pour voir celui ci a terre, la tête entre les mains, la respiration sifflante entrecoupée de larmes. Il ferma la porte et se précipita à terre.

- Theo ! Theo Ho bordel, ça vas ??

- O-oui ça vas m-mec pars.

- Putain Theo tu fais une crise d'angoisse.

- Q-quoi ?

- Crois moi je sais de quoi je parle. Tu vas réussir à tenir 3 minutes sans moi ?

Pas de réponses. Pas de choix. Thomas se leva en vitesse pour aller chercher un seau, et le remplir d'eau gelée (petit tips pour ceux qui ont des crises d'angoisses mineures, ça marche pour certaines personnes). Il la ramena presque en courant dans le studio de theodort, qu'il retrouva dans la même position, la respiration encore plus difficile. On aurait dis qu'il était sur le point de mourrir. Thomas, qui n'avais pas le temps de niaiser, le pris par les locks et plongea sa tête dans l'eau gelée. PAF, effet de surprise. Il recommença l'opération trois fois, jusqu'à ce que le corps de theodort réagisse et se calme, se concentrant sur la nouvelle menace. Lorsqu'il jugea Theodort assez calmé, Thomas le posa sur le lit et s'assit à côté de lui.

- Ok Theodort, je sais pas si tu m'entends, mais je suis la, respire ça vas aller tu vas réussir à la faire passer. Regarde tu sens ma main sur ton ventre ? Pousse la. Voilà. C'est bien mon reuf. Respire. Encore. C'est bon ?

Une fois que Theodort eut une respiration pour proche d'un être humain que d'un ventilateur, il regarda Thomas et lui fit un petit sourire.

- Merci mec, mais tu sais j'aurais pu gérer tout seul, ca m'arrive hein.

I Cant Help ¤ Theostu ¤Où les histoires vivent. Découvrez maintenant