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Ce soir, Taylor et moi, nous devrions nous donnez rendez-vous dans une de ces sélections de restaurant à la guise de sa merci. Ce n'est pas que je ne me plaisais pas à toujours dégustée des repas que lui seul apprécie, mais je n'aime pas être peaufinée sur une chaise bien que moelleuse et confortable, à ses côté, il reste tellement inaccessible alors que vous n'êtes qu'à quelques centimètres.

Le décor de ses restaurants luxueux est vraiment attrayant à découvrir, mais nous ne parlons jamais, bien que nous soyons en couple. Il était bientôt dix huit heure et je ne voulais vraiment pas me rendre encore avec lui. Je voulais tout simplement resté accroché à mes lourdes couvertures lisses et parfumée à la lavande pour toute une soirée devant une quelconque rediffusions d'une émission concernant un domaine féminin.

A Taylor :

Je ne pourrais pas venir ce soir, je pense avoir chopper...

Avant de faire cette erreur, j'effaçais le mot qui rentrait plus dans la case "Langage Familier" et faisais mine de trouver un mot soigneux pour son environnement beaucoup trop riche à mes yeux.

A Taylor :

..., je pense avoir attraper un gros rhume, je ne peux même pas me lever et parler, excuse-moi.

Je déposais mon smartphone sur mon chevet et me retournais en m'enroulant dans les épaisse couettes à la recherche de la petite télécommande. Enfin trouvée sous un de mes nombreux coussin couvert de soie, j'allumais l'appareil en me positionnant lourdement sur toute la surface de mon lit (en étoile de mer, quoi).

-

"Il ment, vite", je remplissait ma bouche d'une bouchée d'un misérable sandwich trop gras, remplit de sauce à tout faire. La mayonnaise venait de couler dans la grande assiette garnit de plusieurs sorte de mauvaises nourritures. Une partie de mes chips aux maïs se retrouver asperger.

Le film était à son point culminant, la jeune fille venait de se faire tromper par son petit ami, et il fallait qu'elle se venge, je sentais mon téléphone vibrait sur le meuble. Bien trop concentrée par les images, je décidais d'augmentais le son de la télévision.

"Bien fait, bâtard !", je riais aux éclats avant que la sonnerie de mon appartement vint furibond dans mes tympans. Je soufflais en calant mon assiette spécial "soirée-téloche" sur mon lit et me levais en ressortant de la chaleur de mes draps tant chéris.

Je pense que cela doit être May, qui passe à l'improviste pour pouvoir elle aussi se glisser à mes côtés pour regarder la suite du film qu'elle aura sans doute déjà commencé.

Je déverrouillais la porte de sa clés et baissa la poignée pour en connaître d'avantages sur la personne venue le mauvais jour et au mauvais moment - je vous signal que je regardais tranquillement un feuilleton très rarement intéressant.

C'est comme cela que je tombais sur Taylor James, son expression habituel, vierge sans couleur, des yeux vert-bleue toujours noyant comme les vagues douce du Pacifique, mais indescriptible. Je détestais ça.

"Bonsoir, Lia", je démarquais dans sa voix une frustration, plus une colère.

Il portait encore une de ses vestes de grand tailleur et sa chemise était détachée de quelques boutons laissant apercevoir un torse bronzé, il tenait un sac noir très grand.

"Bonsoir Taylor, euh...Je...", ses yeux me perçaient la vues, il soulevait un sourcil en l'air pour me pousser à accentuer ma recherche de paroles. Et puis zut !

"Entres, tu dois être venus pour...ça !", Bien sûr, tu crois qu'il venait pour toquer et repartir ? Je me sentais honteusement mise à nue. Je n'avais pas l'air malade du tout, je suis conne.

"Comme ça, mademoiselle est gravement enrhumée, de plus, elle me pose un splendide lapin et ignore mon appel.", il marchait vers le grand salon après avoir déposée son sac sur la table, sa voix résonnait entre les murs. Il ôtait sa veste noire en la balançant sur le rebord de fauteuil en cuire. Si je vous disais que c'était la première fois à mettre les pieds chez moi, je pense que vous le surnommerez "Impolis One". Sa vois pesait une accusation que me donnait l'envie de recracher tout mon sandwich.

Déjà qu'il me parlait tout le temps de ce ton froid, il avait l'audace de poser ses pieds sur ma table basse. Je sentais quelque chose augmentait en moi.

"Ecoute-moi, je ne suis pas malade pas du tout ! Je suis juste extrêmement fatiguée de devoir toujours dîner dans un de tes restaurants favoris à la con et me forcer à sortir avec un sale type de ton genre !", je dévalais les mots à une vitesse folle et finissais mon discourt pour m'assurer de reprendre ma respiration.

Il se levait et s'approchais de moi en me poignardant de son regard vitreux, il me pris fermement ma main et la serrant fortement dès qu'il était à min hauteur.

"Répètes ! T'es qu'une grosse salope !", je frissonnais à ses mots tranchants, je n'étais pas une putain, il ment.

"T'es tellement ennuyante comme petit amie ! Je suis obligé de me payer des putes pour pouvoir respirer", je baissais les yeux complètements anéanti, il venait carrément de me vider d'espoir. Je sais qu'il ne m'aimai pas, mais de la à faire ça ! C'était salissant, dégradant et insultant envers mon amour propre.

Late NightOù les histoires vivent. Découvrez maintenant