"Je pourrais savoir à quoi tu joues ?!", je venais de faire tomber les mots de ma bouche après un grand élan de courage, je nouais le bandage autour de mon poignet.
"De quoi tu parles ?", sa voix semblait très calme contrastant fièrement avec le sang bouillonnant que mon corps contenait. Je relevais mes yeux vers ses lèvres et les remontais avant de tomber dans une transe, ses yeux bleus me rendait ivre. J'ouvrais la bouche pour faire défiler ma colère, mais la refermait en savourant le rose de ses lèvres -de mes yeux . Il pouvait me prendre pour une folle, mais je n'arrivais pas à le défier à chaque fois que je devais le regarder, il me contredisait tout le temps.
"Lia ?", je secouais ma tête pour me réveiller de ma rêverie -plutôt fantasme et reculais d'un pas, nous étions étroitement proche.
"Hum...Je...Rien !", dans ma tête ma conscience se mit à me cogner plusieurs fois la tête contre le bord de sa fenêtre. Il commençait à reculer pour partir.
Je fronçais des sourcils et pris une bonne bouffée d'air.
"Attend !", il se retournais vers moi et me regardait curieusement, je marchais vers lui et pris son oreille entre mes doigts, je tordais sa peau en me concentrant pour mettre toute mes forces, il gémissait et me pris ma main fermement.
Il me plaquais contre la porte solide de la salle d'eau, je grimaçais à la forte douleur qui se propageais sur ma chair fragile. Son océan me lançait quelque décharges, je levais les yeux au ciel en sentant le souffle chaud contre la peau de ma cou.
"C'est quoi ton putain de problème ?", je baissais les yeux vers les siens qui était qu'un voile dont la couleur était pure, on ne pouvait pas le transpercer pour connaître ses sentiments, je fronçais des sourcils en le regardant approchais sa tête, son haleine sentait la douce odeur du vin que mes parents avait choisis pour la soirée.
"Tu m'énerves !", je fixais ses yeux longuement pour percevoir une lueur de ses sentiments, lui aussi le faisait. On ne stoppait pas ce moment, cherchant sans doute la première personne qui lâchera prise. Ma voix n'avait pas tremblait, je l'avais prononcer fermement.
"Ecoute si c'est à cause du fait que j'avais d'autre relation, j'en suis désoler, mais entre nous, tu sais très bien que nous sortons ensemble pour nos parents, c'est sans sentiments.", j'encrais mes dents dans ma lèvres inférieur en tentant de dissiper les larmes qui voulait quitter mes yeux, je perdais le dilemme en les baissant vers mes chaussures noires.
Je venais de me prendre un grand coup de marteau pour la deuxième fois et par la même personne. Chaque coup me faisait mal, je ravalais difficilement ma salive.
Nous étions toujours proche, je posais tendrement -pourquoi ? mes mains sur son torse ferme, je les gardais un peu trop longtemps pour simplement le pousser. Je lâchais ma lèvre de mes dents en sentant un goût métallique, je reniflais.
Il était rester attentif et silencieux. Ce moment était si...incompréhensible, je voulais le garder proche de moi, mais l'éloigner, me sentir aimé, mais j'étais ignorées.
''Lia ? Tout vas bien ?",ma mère venait de parlait derrière la porte, je lançais un dernier regard à Taylor qui rester clouées à la même place. Une seul question trottait dans ma tête. Avait-il ressentit la même chose ? Enfin, la chaleur qui donnait des frissons ?
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Je raclais le reste de ma quatrième part du gâteau au chocolat de Madame James, il était vraiment très bon. Je retendais mon assiette en sentant mon ventre criait stop.
Je pris la dernière part de gâteau dans mon assiette, je sentais une forte tension dans l'atmosphère, je ne daignais pas levais les yeux. La table était devenus silencieuse.
"Nous allions partir pendant quelques temps dans notre maison de vacances à l'autre bout de la côte, je pensais que vous pourriez rester dans l'appartement à New York !", la mère de mon nouvel ennemie venait de parler en cassant le silence gênant de la salle. Je relevais enfin la tête en savourant la crème fouettais sur ma langue.
"Qui 'vous' ?", ma voix résonnait entre les murs avec la plus grande douceur qui me soit donner, maintenant que je suis juste en face de mon sale, morveux, con, homo sapiens et dinosaure de petit ami ! Rectification : Faux petit ami.
Bien sûr mes mots portait lourd sur mes yeux qui se posait monstrueusement sur lui.
"Oh ! Mais Taylor et toi. Vous ne vous voyez presque pas, et puis Tay' à une petite conférence à faire.", elle souriait de toute ses dents et me gratifia d'un cil d'oeil.
J'ouvris ma bouche, mais ma chère mère me devançait.
"Tu as absolument raison Rachel, de plus Lia ne fait que de rester cloîtrer dans ses couvertures jusqu'à pas d'heures, ça lui donnera une bonne occasion de s'aérer.", je déglutis et tentais de recevoir de l'aide urgente de mon père, mais celui ci avait les yeux doux sur le décolleter de ma mère, quel pervers !
Je crois que...C'est à partir d'aujourd'hui que ma vie a basculé en enfer.
