Chapitre II - Faire confiance à l'inconnu ?

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Après cette rencontre avec ma surveillante regardant plutôt austère et ce majordome plutôt compatissant.
Il m'a fallu attendre un certain temps pour rencontrer mon célèbre mari, ce que je ne voulais pas accepter.

Éloïse l'attendait seule, assise sur une chaise de bois, vêtue d'un coussin bleu-vert, très confortable. Elle a tapoté les accoudoirs avec ses ongles pour attendre et penser à ce qu'elle pourrait dire à son futur époux.
Lorsque soudainement, la porte s'ouvre.

Éloïse : oh ! Je n'aurai jamais cru que tu irais si vite. Nous allons devoir en discuter...

Éloïse remarqua que ce n'était pas son mari.

Majordome Sylvestre : Pardonnez-moi, je ne voulais pas vous déranger, mais je savais que vous deviez attendre assez longtemps. Alors, je peux me joindre à vous ?
Éloïse : Ce n'est pas grave Sylvestre, j'ai juste pensé que c'était mon mari comme vous le savez, lui et le temps ne sont pas amis.. Dit-elle en riant.

Sylvestre assis à la deuxième place, il sourit de nouveau sympathiquement après la petite blague d'Eloise.
Le majordome Sylvestre avait une trentaine d'années, des cheveux bruns, une moustache anglaise, étant plutôt grand et une tenue de majordome ordinaire.

Majordome Sylvestre : La vie dans un château n'est pas aussi facile ! Êtes-vous disposé à faire face à ce stress, à faire face à cette popularité à Londres ?
Éloïse hésita avant de répondre, elle ignorait pourquoi Sylvestre disait cela.
Éloïse : Je suis prête à supporter ce "stress" que tu dis, Sylvestre.
Duc Belair est si bon avec moi que d'être à ses côtés et de voir quelle vie il mène chaque jour, ce serait un honneur pour moi.
Majordome Sylvestre : J'ignore si vous écoutez ces remarques misogynes, mais souvent le duc est très insultant envers les femmes. Je doute que ça vous plaise.
Éloïse : Êtes-vous sûr ? Je ne l'ai jamais entendu parler ainsi, il est adorable à mes yeux. Je vous le promet.
Majordome Sylvestre : Je l'espère pour vous, si c'est votre point de vue ! N'en soyez pas déçue, mademoiselle.

Le majordome quitte ensuite la bibliothèque et quitte Éloïse, laissant cette nouvelle.
Éloïse est perdue avec cette nouvelle, et ne sait que penser de son futur mari, il était déjà en retard, un défaut qu'Eloise avait remarqué à maintes reprises.
Une petite souris blanche avec les yeux rouges a atterri sur la table de café en verre provenant du lustre luxueux.

Éloïse : oh non ! petite bête, comment vas-tu ? es-tu... morte !?
La petite souris blanche se relève.
Souris blanche : aïe... Je savais qu'il ne fallait pas faire ça ! c'était trop dangereux. Quoi qu'il en soit, j'ai entendu toute la conversation avec ce gentil monsieur, madame. Je trouve qu'il a l'air d'avoir raison tu devrais peut-être partir tu sais l'amour se trouve partout, il a été adorable avec toi mais va-t-il l'être à long terme ?
Éloïse : Maintenant, je vois une souris qui parle, il m'en fallait plus !
Éloïse secoua la tête et la souris devint un animal banal.
Éloïse : En tout cas, je sais ce que j'ai à faire et je verrai avec cette conversation si elle confirme ce que Sylvestre m'a dit.
Eloise regarda la vacuité de la pièce à la recherche de quelque chose d'intéressant à faire dans l'attente, Elle clignait des yeux et ses paupières devenaient plus épaisses quand elle clignait des yeux. Elle entend la porte s'ouvrir et s'élève brusquement.

 Elle entend la porte s'ouvrir et s'élève brusquement

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14 juillet 2022

Par Maxime (Nérëdys)

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