Chapitre 4

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Lundi, 4 juillet

📍House, 10h55

Je suis assis sur la chaise de mon bureau, qui se trouve dans ma chambre. De base je devais aller travailler à l'entreprise, mais j'avais la flemme. C'est sa l'avantage quand tu es ton propre patron.

Je suis entrain de lire plusieurs CV, quand j'entends la sonnette de l'entrée. Je me lève donc et me dirige vers la porte. Je l'ouvre, et je vois Salma.

Salma c'est ma pute. Je voulais chercher un autre mot pour la définir, mais c'est ce qu'elle est. Je l'appelle de temps en temps pour satisfaire mes besoins, et sa s'arrête là.

Je la regarde de au en bas, et je vois qu'elle est habillé "normalement" comparer au autre fois. Je m'approche d'elle pour l'embrasser, mais elle me stop direct.

Salma- Je dois te parler.

- *surpris* Ok.

Je la laisse entrer, je ferme la porte à clé avant de la suivre jusqu'au salon. Je m'installe sur le canapé les bras croisé, en attendant qu'elle parle.

Salma- Je sais pas trop par où comment.

-Ne me dit pas que tu es enceinte?

Salma- Non rien à voir avec ce que je vais te dire.

Un sentiment de soulagement me submergea le corps.

Salma- En faite, je ressens des sentiments pour toi. Ça fait longtemps qu'on se connaît, qu'on fait nos bails et j'aimerais que entre toi et moi se soit sérieux.

Je la fixe dans les yeux pour savoir si c'était une blague qu'elle me faisait. Mais non, elle semble très sérieuse dans les propos qu'elle venait tenir.

-Écoutes entre toi et moi il y aura jamais rien de sérieux. Je t'appelle quand tu dois satisfaire mes besoins, et inversement. Et puis tu crois vraiment que je pourrai sortir avec une go qui passe en-dessous de chaque homme? Non.

Salma- Je peux tout arrêter pour toi, je ressens tellement de chose pour toi.

-Salma j'ai été très claire, soit on continue nos affaires, soit on arrête.

Salma- *avec une mine triste* On continue.

Elle se lève et se dirige vers l'entrée, je la suit et lui attrape le bras.

-Soit pas triste, tu trouvera quelqu'un qui est mieux que moi.

Elle ne réponds pas, et ouvre la porte pour partir. Je la referme, et monte dans ma chambre pour continuer le travail.

[...]

Je suis tranquillement posé sur mon canapé, quand mon téléphone vibre.

|Appel entrant: Junior|

Lui: Allo.

Moi: Ouais ça dit quoi?

Lui: Je suis là, et toi?

Moi: Pareil.

Cette femme [RÉÉCRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant