04. Nightmare

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Chapitre quatre : 𝐍𝐈𝐆𝐇𝐓𝐌𝐀𝐑𝐄

Elle courrait, le plus loin qu'elle essayait

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Elle courrait, le plus loin qu'elle essayait. C'était impossible d'échapper à ce monstre et elle l'avait compris. Elle avait pourtant l'espoir de le fuir. Elle était dans un monde totalement sombre, effrayant et détruit. De se qu'elle observa, elle était dans un grenier abandonné avec très peu de lumière. Le monstre avait gagné.

- Jamais tu réussiras à t'échapper de moi, je gagne tout le temps

Sa respiration s'accélèrait pendant que la chose approchait d'elle. Elle recula de peur jusqu'à toucher un mur, plus de retour en arrière se disa-t-elle. Il était à quelque centimètre d'elle quand qu'elle se souleva dans les airs. Ces yeux commença à se retourner lentement.

- Désoler Charlie, murmura-t-elle avant que tous ces membres commencent à se retourner.

-Charlie, Charlie, réveille-toi...

- quoi, disa Charlie en se réveillant et en s'asseyant

- t'as fait un cauchemars Charlie

- oh, chuchota la plus jeune

- aller raconte le moi, répondit Rachel assis en indien sur le lit

Charlie regarda ces mains quelques secondes. Son rêve lui avait vraiment fait peur, il paraissait tellement réel. Cependant, elle Savait qu'il était faux.

- j'm'en souviens plus, désoler Rach

- pas grave, aller bouge toi, il faut se préparer pour l'école, termina Rachel en sortant de la chambre à Charlie

Charlie s'habilla d'un jean, d'un chandail à manche courte blanc à col rouge et des baskets blanches. Rejoignant sa soeur dans sa voiture, Rachel lui donna un beignet qu'elle avait probablement trouver sous son fauteuil de voiture.

- alors petite soeur, tu veux toujours pas raconter ton rêve, questionna sa soeur en démarrant la voiture

- c'est juste que, cherchant les mots pour décrire son "rêve"

- c'est juste qu'il avait l'aire tellement réel, oui je sais, tu l'as déjà dit des millions de fois, commenta-t-elle

Le reste du trajet se fit en silence. Charlie ne savais absolument pas comment le décrire, comment dire à sa propre soeur, qu'elle la vu mourir devant ces propres yeux.

Just Us || Mike Wheeler Où les histoires vivent. Découvrez maintenant