| 𝐀𝐂𝐂𝐑𝐎𝐂𝐇𝐄-𝐓𝐎𝐈 | ᵐʰᵃ ˣ ᴼᶜ

[°°𝟷] - 𝖣𝖾́𝖻𝗎𝗍

Dans cette pièce sombre, une jeune fille aux allures fantomatiques écrivait sur ce qui semblait être un journal intime, à ses côtés, un véritable fantôme...

Attributs physiques : Cheveux bruns, Longs - Grande taille - Yeux gris aux reflets violets - Le reste importe peu.

Prénom : Athéna*

Nom : Inconnu

Âge : 17 ans

Parcours scolaire :
• École primaire : Inconnue
• Collège : Inconnu
• Lycée : Inconnu, filière héroïque

Hobbys :
• Auparavant : Danse classique
• Actuellement : Tir sportif et jeux vidéos

Travail Parallèle aux études : Caissière dans un konbini

Passé : Inconnu

Caractère : À découvrir

Famille : —

Alter : Nécromancie, l'écriture changea soudainement. Fait revenir les morts à la vie et la force du serviteur se retrouve doublée si le tueur est l'invocatrice.

— Comment est-ce que tu sais ça ?

— Toi aussi tu le sais, enfin... tu le savais...

La jeune fille regarda celui qui venait de lui répondre avec suspicion. Quant-à lui, il avait compris sa bêtise; elle était très perspicace, trop perspicace, il avait déjà fait quelques gaffes par le passé mais celle-ci, elle dépassait tous les records.

— Tu sais que je pourrais juste t'en faire la demande, afin que tu sois... obligé de me dire ce que tu me caches...

Elle était aussi terriblement rusée.

— Mais je sais aussi que tu ne le feras pas.

Elle plongea ses yeux dans les siens, tentant de le sonder, il continua donc :

— Tu apprécies les défis, donc deviner sera plus amusant pour toi que d'avoir la réponse sur un plateau d'argent.

Cette fois-ci, elle souriait.

— Tu me connais trop !

Elle rit légèrement, heureuse de cette affirmation.

— Athéna ?

Elle le regarda avec un air entendu, l'incitant à continuer.

— Tu vas la donner, la lettre ?

Elle souriait encore, décidément, il avait le don de toujours aborder les bons sujets, aux bons moments.

— Oui, aujourd'hui sera mon dernier jour dans ce lycée !

— Tu feras quoi, après ?

— Après ?

Elle se rapprocha de lui et posa doucement sa main sur son épaule froide. Elle murmura :

— Je n'ai aucun avenir.

Son interlocuteur fronça alors les sourcils.

— Pourquoi parles-tu si bas ?

Il avait adopté le même ton qu'elle par précaution.

— Il nous observe.

En effet, un homme se tenait désormais dans l'encadrement de la porte, scrutant d'un sourire amusé, la scène sous ses yeux.