Le début de la fin. '' Eddie Munson '' [reecriture]

21<3 Souvenir.

Je me réveil lentement, je regarde Eddie à côté moi. Il dort encore, je ne vous ai pas menti quand je vous dis que c'était une grosse Locke ! Mais étant une bonne petite amie, je lui passe la main dans ses petites bouclettes que j'aime tant. Il ouvre les yeux lentement, ses pupilles noires sont plongées dans mes yeux verts. Wow, cet idiot me fait vraiment de l'effet. Je détourne le regard, je ne peux pas rester comme ça, je suis déjà rouge comme une tomate.

Eddie : Je n'ai jamais vu quelqu'un rougir aussi facilement que toi.

Moi : Ça te pose un problème Munson ? Si c'est le cas, sort de chez toi.

Eddie : Mais non, c'est... Mignon. Tu es mignonne. Genre, vraiment mignonne. A m'en faire craquer.

Moi : A ce point-là ?

Eddie : On dirait bien.

Moi : Bon alors ça va.

Eddie : On fait quoi aujourd'hui ?

Moi : On peut rester ensemble, ma mère ne rentre que demain alors profitons ?

Eddie : Mmh cherchons des trucs à faire...

Moi : Cette après-midi on va chez Gareth, ta une répète non?

Eddie : Oh putain j'avais complètement oublié, merci ma belle.

Moi : Ma belle ?

Eddie : Mmh, ouais.

Moi : Pourquoi pas.

Eddie : Non c'est mieux princesse quand même.

Moi : Je trouve aussi.

Eddie : Donc, cette aprèm répète chez Gareth.

Moi : Heureusement que je suis la quand même.

Eddie : Ça va tes mollets?

Moi : C'est toi qui dit ça après hier soir?

Eddie : Bon, la n'est pas le sujet de notre discussion.

Moi : Tu parles de plus comme moi, c'est mignon.

Eddie : Va te faire foutre.

Moi : Je t'invite au resto à midi?

Eddie : Mmh, d'accord.

Je me lève pour aller dans la salle de bain mais j'arrive à peine à marcher. Eddie explose de rire, je ne peux plus le supporter.

Eddie : Je ne savais pas que j'étais un dieu du sexe à ce point?

Moi : Après c'est lui qui parle de mes mollets non mais j'hallucine !

Eddie : Fait attention, la prochaine fois t'aura besoin d'un fauteuil roulant.

Moi : Pfff, aller va t'habiller au lieux de raconter des conneries.

Il se lève torse nue, il arrive déjà à mieux marcher que moi. Il prépare des cafés, comme à son habitude. Je n'ai pas d'habit donc je prends la seul chemise d'Eddie et avec je mets un short qu'habituellement je mets sous mes jupes, ça fera l'affaire pour la journée. En plus il beau et chaud, alors c'est parfait. Et puis, ce n'est pas comme si Eddie allait m'en vouloir d'avoir pris son unique chemise !

Je vais dans la cuisine et bois mon bon café, ça fait toujours du bien un bon café. Eddie me regarde, toujours torse nue, de haut en bas, avec son sourire aussi arrogant que la première fois qu'il m'a fait son regard.

𝚁𝚎𝚖𝚎𝚖𝚋𝚎𝚛.

Eddie : ta maison est sur la route de chez moi, donc ça ne me dérange pas