"Certaines personnes voyagerons dans ton coeur, sans impacter ton âme, tandis que d'autres, implanterons leurs tantes, et s'en irons, en laissant une histoire incarnée dans un mémoire afin que les oublier soit impensable. Car aimer c'est savoir être blessé n'est-ce pas ?" par J.Watson/C.Ihaddadene.Chapitre 2 :
Lorsque je ré-ouvre les yeux, le ciel est tout à coup plus sombre, le décor a soudain changé, ainsi que l'ambiance pesante.
L'air est plus respirable.
Je me redresse, puisque je m'étais assoupis et observe les alentours...c'est avec stupéfaction et effroi, que je m'aperçois que tout a changé, vraiment tout.
Des femmes avec des revêtements d'époques, tout comme les hommes. Je m'analyse constatant que je suis toujours habillée comme tout à l'heure...l'angoisse prit alors place en ma personne, que se passe-t-il exactement ?
Est-ce juste un carnaval ? Une assemblée d'époque ? Une farce ?
Je me dirige hors de ce parc, afin de prendre un taxi, mais constate qu'il n'y a que des charrette à leurs têtes des chevaux...et quelques voiturettes d'époques.
-C'est quoi ce délire...
Je sens que l'ont m'observe, les passants surement, lorsque je lève la tête je peux sentir des regards outrée, curieux et moqueurs, je me sens d'un coup toute nu face à toutes ces personnes. J'entendis même un commentaire : « Oh, est-ce une nouvelle mode ? très osée je dois dire. Je plains son époux. »
Ok, je cherche mon téléphone afin d'appeler ma soeur.
« Aucun réseau », je ris clairement de nerf.
C'est une blague.
Je me dirige vers la première personne que je vis. Homme de grande taille, entretenu au vue de son apparence physique, il ne se laisse pas aller, cheveux noir plaqué en arrière.
-Monsieur, je m'excuse de vous déranger, dites-moi, où puis-je avoir du réseau s'il vous plait ?
Il passa ses globes oculaires sur ma personne, de haut en bas, me jugeant sans détour.
- Du quoi ?
Je ris, une nouvelle fois, nerveusement.
- Ecoutez, je ne sais pas dans quel coin paumée j'ai atterris ou même comment, quelle blague salace ma soeur me fait, et ce n'est véritablement pas drôle soit dit en passant -dis-je plus fort afin qu'elle m'entende-! MAIS, j'aimerai savoir où je peux avoir du réseau afin de la contacter, dis-je en lui montrant mon cellulaire.
Il regarda mon téléphone les yeux écarquillés.
- Quel est cet object par tous les saints, éloignez le de moi !
Je fis un pas en arrière, lorsque je vis au sol un bout de journal.
« Le provencal,
9 janvier 1920... »
1920?...1920,1920,1920...cette date tourne en ronds dans ma tête, ce n'est pas possible.
-Je vous demande pardon, murmurais-je décontenancée.
-ATTENDEZ !
Je partie en courant vers une destination inconnu, l'adrénaline à son apogée, ce n'est qu'un rêve, ça ne peux qu'être cela.
Atterrir en 1920 est temporellement impossible.
Je m'arrête, essoufflée, le coeur en feu, dans une allée sombre.
- C'est impossible. Réveille toi, du nerf! Dis-je en me pinçant et en me giflant. Oh aller, insistais-je au bord des larmes, en prenant ma tête entre les mains.
- Eh bien si c'est une manière de m'aborder très chère, cela est bien étrange.
Je sursaute à l'entente de cette voix, et me retourne vers ce protagoniste, il m'a suivis, pourquoi lui aie-je parlé ? Pourquoi m'a-t-il suivis ?
- non, non vous vous mé..méprenez, je ne veux rien de vous, je suis un peu ailleurs, - et c'est peu dire- ces temps-ci.
- Un peu ailleurs, dit-il les mains derrière le dos, -vu son allure, il est de la haute société-. Puis-je me permettre alors, de vous faire revenir parmi no...
- NON.
Trop pressée, trop rapide, je vais attirer l'attention sur moi, il ne manquerai plus que ça, si je ne suis pas dans un rêve, j'ai du mouron à me faire.
Il tourna autour de moi.
- D'où venez-vous Miss ?
Miss? Il essaye de me draguer...oh non, c'est vrai, ils parlent comme ça à cette époque.
-Miss...-j'avale ma salive-, Miss Watson.
Il passa sa main sur sa barbe à peine naissante, ce qui rendit la scène d'un ridicule, de plus mon angoisse augmenta du faite que je suis une mauvaise menteuse des plus redoutable.
- Watson, puis-je ? Dit-il en me tendant la main
Il ne manquait plus que cela, mon regard se colla au sol.
- Non, je ne suis pas le genre de femme à suivre un inconnu.
Il pouffa de rire.
- Bien, je vous laisse alors dans les rues, de Paris, dans votre accoutrement, qui attire la vue de plus d'une personne.
Il me défia du regard, je fis de même, comment ose-t-il ? Les hommes de cette génération ne sont sensé-t-ils pas baisser les yeux devant une femme, être macho et sexiste aussi mais être bien éduqué non, enfin mieux qu'à mon époque?
Ma vision du monde et des époques est trop bien façonnée.
Je m'avance vers lui.
- Monsieur ?
Il fit un pas de plus.
- Sherlock.
Autant vous dire que mon visage ce figea pour n'être plus que dureté, alors il sait, il sait que je le berne, à quoi pensais-je, nous ne sommes pas dans un film, réveille toi !
- Bien joué.
Il s'avança de nouveau, pour se pencher vers mon oreille et pour me murmurer.
- Voyez-vous je n'aime pas les mensonges et les menteurs, je vous laisses donc dans votre pétrin. Madame.
Puis, il tourna le dos.
- J'ai nullement besoin de vous, hurlais-je.
Alors ? J'attends vos retours avec une impatience sans fin !
La suite demain. 😚
LOVE, XOXO, Jane.
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Dedra, Gardienne du temps !
RomanceRien ne se passe comme prévu en amour, et cela Jane l'a bien compris, brisée elle essaye temps bien que mal de se remettre de ce premier amour qui l'a calcine de l'intérieur depuis bien trop longtemps, mais rien n'y fait, il l'a hante nuit et jour...