Ô ma tendre cyclamen, tu ne cesses de me tourmenter et il est fort probable que je ne cède à tes avances;
N'est-il pas l'ordre des choses que tu viennes m'importuner, quelques fois, quand la solitude prends place quelques heures..
Pourquoi cyclamen, ne t'arrêtes -tu pas maintenant; est-il si satisfaisant de me voir si misérable et si lamentable ?
Ah....
Je pense qu'il est grand temps de mettre un terme à fin à ce supplice, tu ne me verras plus à présent charmante cyclamen; tu sais j'en suis sûr maintenant.
Je vais me donner une chance à moi-même et ainsi te prouver que je n'ai pas besoin que tu sois entichée de moi pour que je puisse me sentir exister.
Je ne douterais plus.