Uberloves: Le lobbying de l'amour

Chapitre 1: L'uberisation de l'amour

Le ministre des finance Macaron, était en sueur. La climatisation de son véhicule de fonction, ne marchait plus. Il était en chemin pour un rendez-vous très important. Bientôt il arriverai dans un luxueux restaurant dans lequel il allait rencontrer son date "Adopte un Ceo".

Il n'avait que peu d'information sur son date, celui-ci était assez peu bavard, mais il lui avait promis la rencontre de sa vie. Puisqu'il avait de bonne action en bourse...Macaron c'était laissé tenter.

Quand il arriva enfin a destination, il fut accueilli par un jeune homme extrêmement beau et au regard ténébreux et érotique. Macaron lui demanda immédiatement s'il était bien Thibaud sanal en reconnaissant sa mèche flottant érotiquement dans le vent.
Il eu en réponse un sourire:

- Monsieur le ministre des finances, c'est un plaisir de vous rencontrer, je dois être honnête avec vous, notre rendez-vous de ce soir sera un peu particulier car j'aimerai en réalité, vous présenter quelqu'un.


Macaron fut choquer et en même temps un peu émoustillé, vous savez quand on est ministre tout notre emplois du temps extrêmement serré ne laisse aucune place a la surprise, cette situation était donc nouvelle pour le fringuant politicien.
Il fut alors présenter a un autre homme, au charisme saisissant. Son nom, Travis Kalanique.
Les deux hommes échangèrent une poignée de main, aussi courte que la dignité de manuel vallse, pourtant des frissons parcoururent le dos de macaron, il savait qu'il venait de toucher une de ces idoles néo capitaliste.
- Mais oui je vous connais, je suis un très grand fan. s'exclama le Mozart de la finance.
Travis lui répondit par un clin d'oeil et le cœur de macaron BONDI dans sa poitrine. Et alors qu'il aurait voulu se jeter sensuellement au pied de Travis, Monsieur Sanal, interrompis sa rêverie.

- Monsieur macaron, nous aimerions vous proposer un plan un peu... particulier.

- Je suis tout à vous, répondis le jeune cadre dynamique.

- Hé bien voila, nous aimerions vous demander de l'aide pour... Introduire notre société sur le marché français.

- Ah je suis très doué pour introduire. Remarqua Macaron.

- Il nous faudrait les conseils d'un hommes de votre calibre, qui fasse preuve de souplesses avec les législations qui sont bien trop serrés, pour l'instants.

- Je ne peux pas toléré qu'on empêche une société si prometteuse de pénétré le marché sous prétexte de quelques lois. susurra macaron pour qui ces paroles étaient une douce caresse.

Travis bomba un peu le torse, ce qui fit exploser les boutons de sa chemise et exposa son torse saillant au ministre du numérique. Celui-ci resta bouche bée devant tant de libéralisme et heureusement qu'il était assis a table avec ces deux interlocuteur, la nappe cachât son désir naissant de se dresser contre les socialistes.
Voyant l'influence que son torse avait sur le ministre, il lui dit:

- Nous aimerions votre aide pour soumettre de nouvelles législation qui nous permettrons d'assouvir notre désir de domination libérale.

Macaron avait le cœur chancelant, d'un côté le jeune et beau Sanal au regard ténébreux faisait monter en lui un désir croissant de lui montré l'ampleur de sa souplesse. De l'autre, il souhaitait montré à Travis qu'il était capable d'attraper le marché à la gorge.
Pendant qu'il était perdu dans ces réflexions, un filet de bave coula le long de la bouche du ministre.
Travis l'essuya alors sensuellement avec un exemplaire du code du travail qui trainait dans le restaurant de luxe, il tendis ensuite à macaron sa carte de visite.

-Je suis le PDG d'Uber, et voici mon second qui s'occupe de la France, nous avons hâte de collaborer plus étroitement avec vous.

Le repas de macaron fut splendide, il invitât même Travis à danser.
Mais une fois sur la piste de danse un douleur fulgurante frappa macaron au ventre. Il se demanda s'il c'était la honte de vendre les intérêt de son pays à une boite privé qui l'assaillait avant de se souvenir qu'il était incapable d'en éprouver.

Des bruits de plus en plus insistant s'échappèrent de son ventre et plus bas... il s'enfuis alors aux toilettes, le homards farcis au caviars, ne passait pas.

Macaron passa, à son grand regret, le reste de la soirée au toilettes, le restaurant ferma même ces portes, l'oubliant à l'intérieur alors qu'il n'y avait plus de papier toilettes.

Désespéré et a court de papier, Macaron du s'essuyer avec la seule chose qui lui restait, pas sa dignité donc, la carte de visite de Travis.

Il repensa alors au torse saillant du PDG, ces poils libéraux, ces yeux invitant à la concurrence du marché, ces cheveux méritocratiques, ces courbes filant vers le haut, et surtout sa colossale modestie, avant de glisser la carte de visite, là ou le soleil ne brille jamais.