tommyinnit's clinic for supervillains_French Version

Chapitre 4 : sandwiches au poulet frit

Résumé :

Wilbur achète de la nourriture à Tommy.

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Notes :

Bonjour mes chéris, je suis de retour avec une nouvelle version de ce roman ! Je vous avais dit que je posterais la deuxième partie dans les deux jours, alors me voilà, tenant mes promesses ! N'attendez pas de moi un horaire régulier de mise en ligne, je ne suis pas doué pour ça.

Quoi qu'il en soit, je voulais juste dire merci encore pour tout l'amour et le soutien, je suis un peu abasourdi par l'accueil que j'ai reçu sur cette fic avec seulement 3 chapitres (maintenant 4). Tous vos commentaires me rendent si heureux, chaque fois que je vérifie mon e-mail, je suis juste comme :D<3

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Bien que Tommy ait des clients réguliers, aucun n'était comme Wilbur. Certains de ses habitués lui demandaient comment il allait quand ils venaient commander leur boisson, mais aucun ne plaisantait avec lui comme Wilbur. Aucun ne riait de ses railleries ou ne lui souriait comme Wilbur le faisait. Sans compter que Wilbur laissait un pourboire dans le pot à chaque fois qu'il passait, ce qui le rendait aussi excité par les visites de Wilbur.

Deux semaines entières se sont écoulées ainsi. Sa vie avait apparemment retrouvé la paix qu'elle avait avant la guérison de Siren - il n'avait pas vu le méchant pendant ses promenades chez lui après le McDonald. Tubbo et Ranboo continuaient à échanger d'étranges chuchotements entre eux, mais faisaient un effort pour s'arrêter davantage si Tommy était dans la pièce avec eux. Tommy s'efforçait de ne pas s'en soucier, mais c'était un effort pour réprimer la jalousie qui lui montait aux tripes chaque fois qu'il voyait Tubbo et Ranboo partager un regard complice.

Ils étaient censés former une équipe. Tous les trois contre le monde. Pourquoi était-il exclu maintenant ?

C'est cette situation qui rendait ses quarts de travail d'autant plus agréables. Non seulement il pouvait s'échapper de l'appartement qui l'étouffait pratiquement sous le poids des secrets de Tubbo et Ranboo, mais il pouvait aussi faire chier Wilbur. C'était un gagnant-gagnant.Une fois de plus, Tommy travaillait à un autre poste où Wilbur le gardait sur le qui-vive. Cette fois-ci, Wilbur était entré moins d'une heure avant la fermeture, en faisant à Tommy un sourire carnassier qui lui disait que ce salaud l'avait fait exprès. Si d'habitude, les clients qui viennent traîner si près de l'heure de fermeture rendent Tommy fou, Wilbur est un cas différent, car Tommy peut lui dire d'aller se faire foutre sans se faire virer.

Après avoir pris sa boisson (un flat white, ce qui avait amené Wilbur à insister sur le fait que la caféine ne lui ferait pas de mal si tard dans la nuit), Wilbur s'était installé à sa table préférée et était à nouveau absorbé par son travail. La dernière heure de travail de Tommy s'écoula, tous les clients restants s'égouttant lentement comme du café coulant, jusqu'à ce qu'il ne reste plus que lui et Wilbur dans le café.

"Tu sais qu'on ferme bientôt, tête de noeud", cria Tommy de derrière le comptoir, n'ayant plus besoin de faire semblant d'être poli puisque tout le monde était parti.