tommyinnit's clinic for supervillains_French Version

Chapitre 18 : questionnement

Résumé :

Dream et Tommy parlent.

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Notes :

Je suis désolée que cette mise à jour soit plus tardive que d'habitude, j'avais beaucoup d'autres idées la semaine dernière et j'ai eu du mal à me concentrer sur ce chapitre pour qu'il soit exactement comme je le voulais, mais je suis finalement heureuse du résultat final !de toute façon comme toujours tysm pour tout l'amour et le soutien que vous me donnez sur ces chapitres, je suis toujours en admiration de la popularité de cette petite fic stupide de la mienne et ily tout beaucoup pour être si gentil à ce sujet <3

TWs pour ce chapitre : brève mention d'abus passés sur des enfants.J'espère que vous apprécierez !

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Je veux que tu me dises l'identité de tous les membres du Syndicat.

Les mots de Dream résonnaient dans son esprit, faisant frissonner Tommy qui s'efforçait de garder une expression neutre. Il pouvait admettre la vérité. Il ne connaissait pas l'identité des membres du Syndicat (à l'exception du nom de Némésis), ils avaient pris soin de ne pas le lui dire au cas où une telle situation se produirait.

Mais à en juger par le ton de Dream, la façon dont il se penchait sur Tommy comme un prédateur évaluant sa proie, Tommy avait le sentiment qu'il n'allait pas le croire même s'il disait la vérité.

Alors à la place, Tommy a fait la chose la plus logique qui lui venait à l'esprit.

Il a craché sur le masque de Dream.

Il y a eu un silence lourd pendant que Dream fixait Tommy, la salive de Tommy traînant sur le devant de la porcelaine. Puis, Dream a pris une profonde inspiration et s'est redressé, et Tommy s'est préparé à être giflé. C'est ce qu'ils faisaient pendant les interrogatoires, non ? Il était probablement sur le point de se faire gifler.

Dream transforma ses mains en poings, puis prit une seconde inspiration, très délibérée, comme s'il luttait pour garder son calme.

"C'était impoli", dit Dream d'une voix plate.

" Voilà ta réponse ", a sifflé Tommy en plissant les yeux sur le héros. "Je ne te raconte pas de conneries, salope."

Son cœur était sur le point de sortir de sa poitrine, et s'il n'avait pas été attaché à la chaise, il était certain qu'il n'aurait pas pu se tenir debout tant ses jambes tremblaient. Mais Dream n'avait pas besoin de savoir ça. Il n'avait rien à foutre de ce que le héros lui faisait, il n'allait pas abandonner ses amis.

Dream laissa échapper un petit gloussement, qui lui fit froid dans le dos. Cet homme était tout le contraire du héros numéro un qu'il avait vu lui faire des leçons sur la responsabilité en détention. C'était le vrai Dream. Celui qui était déterminé à obtenir ce qu'il voulait par tous les moyens nécessaires.