PARTIE 1 L'ange (BxB)

Preuve 10 Adorable

Si vous riez de moi, je vous tue. Je suis sérieux. Bon pas totalement, mais vous allez le regretter!

Je suis présentement assis ou coucher, un mélange des deux, sur une chaise beaucoup trop confortable pour être réelle. C'est comme un petit nuage dans lequel je pourrais m'endormir facilement.

Sur mon visage il y a un masque de beauté et des concombres sur mes yeux. J'ai un aussi un bandeau dans les cheveux pour les empêcher de retomber sur mon visage, mais passons le sous silence lui.

Riez pas j'ai dit!!!

J'ai un pied dans un bassin d'eau, pendant que l'autre est dans les mains d'une jeune femme, trop belle pour avoir comme travail de tenir mes pieds horrible. Et pourtant c'est ce qu'elle fait me coupant et me limant les ongles et les brossant pour arracher les peaux morte. J'ai honte. Surtout que j'ai souvent des problèmes d'odeur de pied.

Une autre femme, plus âgé celle-ci, s'occupe de mes mains. Elle est déjà rendu à les vernir d'un produit transparent, je m'en suis assurer au moins dix fois et si lorsqu'elle m'enlève ses putains de concombre je découvre de la couleur sur mes ongles, je porte plainte. Mais bon, pour le moment elle a calmer ma panique en me disant que c'était de l'huile pour renforcer mes ongles et réparer mes cuticules.

Je vie tout ce dépaysement sous le son d'une chute d'eau et de carillon. Je dois avouer que passer l'étape du ridicule, tout cela est effectivement très apaisant, mais je me sens comme un imposteur. Je ne mérite pas d'être ici. J'ai fait quelques choses de grave et même si tout est paisible, je ne peux m'empêcher de me dire que la police en aura rien à faire de tout le monde pour venir me passer les menottes. Je tente de chasser cette idée de ma tête et de profiter du moment présent. Car oui je profite de la vie, alors que l'autre est dans un lit d'hôpital à cause de moi! J'ai peut-être tuer quelqu'un.

Je vois le sang couler. Les cris et les hurlements pousser. Son regard mort m'observant comme pour me dire...

"Théodore réveille toi. Nous allons rater notre scéance de massage sinon."

J'ouvre les yeux pour voir Gabriel m'observer avec son beau visage luisant et sans défaut. Je crois que je me suis assoupie. Les femmes rangent leur matériel et je constate que je n'ai plus le masque sur le visage. Un coup d'oeil à mes mains et mes pieds me confirme qu'on n'a pas ajouter de couleur à ma personne et je me lève doucement en enlevant le bandeau qui me serre la tête et le dépose sur la chaise.

"Merci mesdames. C'était très relaxant." Dis mon copain en me tirant la main pour que nous allions à notre rendez-vous de massothérapeute.

Je constate, alors qu'il a encore le bandeau sur la tête se qui projette ses cheveux dans les airs.

"Gabriel..."

"Oui." me demande-t-il tout souriant.

Jamais vu un mec aussi beau que lui. Même avec ce bandeau ridicule sur la tête, il est... wow. Les anges sont fait pour être beau dans tout les circonstance remarque.

"Merci de m'avoir amener ici."

"Donc tu aimes? J'avais peur que tu n'apprécie pas en t'entendant argumenter avec les esthéticiennes."

"Je voulais juste m'assurez qu'elles n'allaient pas me mettre du vernis à ongle."

"Et elles ont respecter ton souhait. Viens on va aller ce faire masser."

Bon bah il va garder son bandeau aussi longtemps qu'il ne se rendra pas compte qu'il l'a, car je lui dirais pas. Il est tellement adorable avec.

Le massage qu'on ma donner était beaucoup plus agréable que celui que mon ange avait essayer de me prodiguer. En même temps, l'homme qui ma masser n'a pas essayer de défaire les noeuds et à simplement masser tout le corps pour m'apaiser. Je sors donc de là en titubant encore endormit et suit Gabriel jusqu'au sauna dans lequel nous restons moins de deux minutes. Nous sommes les deux d'accord qu'il n'y a rien de plaisant dans la sensation d'étouffer que l'endroit nous donnais. On fini donc notre course dans un spa aussi gros qu'une piscine.

Des panneaux interdictions de parler sont placer à plein d'endroit dans la zone, nous nous contentont donc de se lancer des regards et des petits sourire, jusqu'à ce la petite merveille ce tanne et vient se coller à moi. Je le sens même passer ses jambes autour de ma taille et il se positionne en koala sur mon torse avant de déposer sa tête sur mon épaule.

Je fond.

Je dépose donc ma tête sur son épaule à lui et encercle son dos de mes bras. Je dois manquer de sommeil, car je m'endorme ainsi pour un temps indéterminer, jusqu'à ce que Gabriel me sorte de ma rêvérie en m'indiquant un bassin d'eau minuscule. Je le vois entrer dedans jusqu'au épaule et ressortir rapidement. Je mets un pied sur les marches et je comprend sa rapidité. Mais c'est glaciale ce bassin! Je dois faire une drôle de face, car Gabriel ricane à côté de moi. Ricane, vas-y, toi tu as un bandeau ridicule sur ta tête qui envoie tes cheveux dans tout les sens.

Oui, il ne l'a toujours pas enlever.

Je ne suis pas présent quand il paie à la fin de la journée. Je l'attend sur un banc à l'extérieur, mais je me sens un peu coupable de me dire que ça là du lui coûter méga cher un spa et la totale pour deux. Je vais essayer de trouver un bon resto. Un truc qui sert des pâtes. Ça coûte toujours cher les resto de pâte. Ça restera toujours moins cher qu'ici, mais bon. Je demanderai à ma mère de me passer un peu d'argent pour ne pas voir ma carte ce faire refuser au moment de payer. Je suis sur que si je lui dit que je sors ma date au resto, elle va me passer un vingt dollars pour m'encourager. D'ailleurs, un jour faudrait que je l'informe que ma date est un garçon. Et que ce n'est plus une date, mais un petit-ami.

Je me tourne pour voir mon amoureux sortir du centre en rangeant sa carte dans son porte-feuille. Il a encore le bandeau sur la tête. Voir que personne lui as dit, même pas la caissière. Faire un fou de nous au spa, ça passe, mais pas dans les transports en commun.

"Gabriel, tu n'as pas enlever le bandeau."

Il porte sa main à son front en me regardant surpris.

"Tu viens de remarquer que je ne l'avais jamais enlever?"

"Non, ça fait un moment, mais là tu dois leur rendre, non?"

"Et tu ne me l'a pas dit avant?" Dit-il suspicieux que j'ai garde ce secret la journée durant.

"Tu es mignon avec." Je répond avant de réfléchir plus.

Je le vois rougir et retourner à l'intérieur, pourtant quand il resort, il la encore sur la tête.

"Elles m'ont dit de le garder. Qu'il m'allait bien." M'informe-t-il beaucoup trop heureux.

Mon coeur se serre dans ma poitrine. Il n'a donc aucune intention de l'enlever quitte à faire un fou de lui dans le transport en commun. Pas grave, je protégerai cet ange remplis d'innocence.

J'ai rien à dire pour vous faire parler.

Navré.