J'aime pas l'histoire. C'est nul à chier. Je retiens pas les dates et je vois pas l'intérêt de savoir qui a déclarer la guerre à qui il y a 100 ans. Alors disons que sur le coup, quand j'ai entendu mon nom dans l'interphone, j'étais bien content de ma sauver du 20 minutes qui restait de cours.
"Théodore Ruel est demander au secrétariat avec ses effets personnel."
"Je vous l'envoi." À répondit ma prof en me faisant signe que je pouvais quitter la classe.
Joie. J'ai pas a endurer le reste de ce cours merdique, mais j'avoue que le "avec ses effets personnel" veut dire que je serais occuper le reste du cours ou que ma mère est venus me chercher pour x raison.
Je me lève en bon ado épuiser de la vie. Prend mes cahiers et me dirige vers ma prof qui me donne un billet de sortie. Je me traine jusqu'à la porte de la classe et l'ouvre pour rester figer devant.
Dans le couloir, il y a un flic en uniforme. Je crois que ma respiration ses couper. Mon coeur a arrêter de battre. Il porte son gilet par balle et son nom épingler en dessous de : Sureté du Québec. Il m'évalue comme pour savoir si je suis une menace ou si je vais le suivre gentiment. Moi mille scénario déboule dans ma tête. Le premier: Il est réveiller.
Depuis presque trois mois je me répète sans cesse que j'ai peut-être tuer un gars, mais maintenant que la police est devant moi je ne pourrais plus me dire ça. Le gars est en vie. Et il ce rappelle de moi.
"Je vais vous escortés monsieur Ruel. Juste me suivre gentiment." Me dit la police comme pour m'inciter à ne pas tenter de fuir.
Paniquer, je me rend compte que je n'ai jamais quitter la classe et qu'un silence règne. La prof doit être aussi surpris que moi de voir un policier m'attendre dans le couloir. Un agent de sécurité, c'est normal et même coutume, mais un vrai policier ça non.
Je me tourne pour tenter de croiser le regard de Gabriel dans la classe et lui envoi toute ma détresse en un regard. C'est un ange, non? Il va m'aider. Régler le problème. Trouver un miracle pour me sortir de là. Parler au policier et tout régler pour moi?
Mais il me regarde sans trop comprendre pourquoi je suis figer devant la porte de la classe. Puis un idiot fini par crier qu'il y a une voiture de patrouille dans le stationnement et un autre s'étire le cou pour comprendre pourquoi je ne sors pas et crie qu'il y a une police dans le couloir. Mon coeur a recommencer à battre et il bat à tout allure.
"Monsieur Ruel." M'interpelle le policier qui voit que je suis figer de terreur.
Je me tourne vers lui sur le bord de crier que c'était un accident et j'attend la voix de Gabriel qui tente d'enterrer le brouhaha incontrolable de la classe.
"Ne parle pas sans la présence de ton avocat! Tu dois rien leur dire tant qu'une personne ne sera pas là pour s'assurer que tout tes droits sont respecter!"
Le policier me fait signe de la main de sortir et de le suivre.
"J'aimerais que nous quittions l'établissement avant que les couloirs se remplis de vos camarades, monsieur Ruel. Je suis persuader que vous ne voulez pas vous faire observer comme un phénomène de foire."
Ah fait chier. Il a raison et Gabriel est d'aucune aide avec son conseil à deux balles que tout le monde connais. Je déglutit et fait un pas en avant. Plus j'avance et plus la température de mon corps grimpe en flèche. Je vais vomir. J'ai le goût de pleurer aussi. Je referme la porte de la salle de classe derrière moi et le suit pendant qu'il marche un pas derrière moi.
On passe devant le secrétariat où le directeur est en discussion avec un autre policier et les deux s'arrête un moment pour me regarder. Il doit être complètement perdu. J'ai pas menti. J'ai un dossier vierge. Des notes acceptable et je doute que ce soit mon nom qui ressort le plus souvent dans la salle des profs. Ils ne doivent rien comprendre et je m'en veux. Le policier me sort dehors et me dirige vers sa voiture de patrouille. Il m'ouvre la porte arrière et m'indique de monter. Au moins, on ma pas mis de menottes. J'hésite quand même à entrer.
"Pourquoi vous êtes venus me chercher?" Je demande avec l'espoir futile qu'on m'apprend que ma pauvre mère à eu un accident de voiture et qu'on m'amène la voir à l'hôpital, même si je ne dois pas m'inquiéter, car ses blessures sont mineur.
"Monsieur Ruel, vous êtes en état d'arrestation pour avoir attaquer l'un de vos camarades de classe. La liste de vos charges sera lu en intégralité au poste de police, je ne suis ici que pour vous y amenez. Vous pouvez garder le silence et je vous le conseil d'ici là."
J'hoche doucement la tête et est le malheurs de regarder la fenêtre de la classe que je viens de quitter. Un groupe de curieux m'observe et je ne vois même pas le visage de mon ange gardien. Je soupir et j'entre dans la voiture. Quand son collègue vient le rejoindre, ils me conduisent au poste de police sans tenter de discussion avec moi. J'ai l'impression que je suis un condamné à mort et qu'on m'escorte à mon exécution.
Là-bas, on m'installe dans une salle où un autre homme vient me lire tout les charges. Coup et blessure. Tentative de meurtre. Voies de fait grave. Non assistance à une personne en détresse. Plus il me lit mes accusations, plus je me rend compte que ce que j'ai fait est grave et plus je me dis que je vais passer le reste de ma vie en prison. Après avoir énumérer la liste il me regarde avec un air triste. Il doit bien voir que je suis aussi piteux qu'un chien.
"Votre mère à été contacter. Comme vous n'avez que 15 ans, nous allons l'attendre avant de vous interrogez. Voulez-vous un verre d'eau en attendant?"
J'hoche la tête, ma gorge est tellement sec par l'angoisse. Je suis dans la merde. La merde jusqu'au cou et encore plus profond. Dés qu'il me laisse seul je pleure. Sans savoir m'arrêter et les larmes me brûle les joues. Je veux mourir.
😬
😥
Maintenant que la merde est arriver, je vais publier moins souvent 😈
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PARTIE 1 L'ange (BxB)
RomantiekLes anges existent! Vous ne me croyez pas? Pourtant il y en a un dans ma classe. Ils existent je vous dit et je vais vous le prouver! Non, je ne fais pas une obsession pour ce mec, c'est juste que... vous ne pourriez pas comprend. Tout comme je ne c...