Chapitre 42

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Nous y voila. Nous voilà arrivés au moment fatidique.

3 mois se sont déjà écoulés depuis notre dernière conversation avec George qui porter sur son avenir en formule 1.

Depuis la saison c'est terminé, Lewis a été sacré 7 fois champion du monde. Pour fêter sa il avait loué une grande maison à Majorque où il a fait la fête pendant plus de 3 semaines.

Avec George ont a passer que quelques jours là bas. La grossesse sa fatigue vite, puis ont est rentrés sur la Côte d'Azur où ont a passé le reste des 2 mois de trêves.

Et nous voilà à Bahreïn pour le premier Grand Prix de la saison.
Pour les test de pre-saison mon père les avait décalés sur le circuit Paul Ricard pour éviter à George de faire des aller-retour entre la France et l'Allemagne.

Actuellement je suis à mon 8 ème mois de grossesse. Ce qui est très fatiguant, j'ai vraiment hâte d'accoucher pour enfin pouvoir dormir sur le ventre mais surtout pour voir ce petit bout de chou.

-Détend toi mon amour, me dit George en caressant ma main.

J'étais tellement perdu dans mes pensées que je n'avait même pas remarqué que nous étions arrivés devant l'entrée du paddock.
Une horde de journalistes nous attendait dehors.
Je me retourna vers George et lui sourit.

-Je suis détendue, ces vautours me traquent depuis ma naissance, c'est pas aujourd'hui qu'ils vont commencé à m'effrayer.

Il embrassa mes lèvres tendrement puis descendit de la voiture avant de faire le tour pour m'ouvrir la portière. Il me tendit sa main.
Je m'en saisis puis George me souleva légèrement pour m'aider à me mettre debout.
Avec ce ventre énorme j'ai de plus en plus de mal à faire des choses seule.
Tout se suite après que je sois sur mes deux jambes, George pris mon sac dans la voiture et le porta avant se saisir de ma taille.

-Je peut prendre mon sac chéri.

-Je sais, dit t'il en embrassant ma tempe.
Malgré ma remarque il garda mon sac.
Les journalistes criés et se bousculer pour nous prendre en photo.
Tellement c'était la cohue, un journaliste me bouscula et me fit trébucher mais George me rattrapa avant que je ne heurte le sol.
Il me releva et se retourna vers le journaliste avec le regard noir.

-Tu peut pas faire attention, dit t'il en serrant ma taille.

-Je n'ai pas fait exprès, lui répondit le journaliste d'un ton hautain.

-Exprès ou pas fait attention, répliqua George en crispant de plus en plus sa main sur ma taille.
Un léger picotement apparu.
George et le journaliste se regarder en chien de faïence.
Nu l'un ni l'autre ne voulait baisser le regard.

-Tu me fait mal chéri, dis-je à George en touchant sa main pour lui faire desserrer sa prise.

La seconde d'après, il relâcha sa prise et me regarda.
Je vis des excuse dans son regard.
Pour lui faire comprendre que je ne lui en voulait pas et que j'allais bien je caressa légèrement sa main.

La seconde d'après une dizaine de vigiles nous encerclèrent et firent barrage autour de nous et nous escortèrent jusqu'au portique de sécurité.

Une fois passé nous étions enfin tranquilles.

-Minimoy, cria Lewis en courant vers moi avant de me prendre dans ces bras.

-T'a grossi, me dit t'il.

J'ai quoi ? Ni une ni deux je lui asséna un cou sur la tête.

Il se frotta cette dernière et mima de bouder.

-Tu ne m'a pas laissé finir, donc je reprend, tu a grossi mais malgré tout la grossesse te va bien.

-N'essaye pas de te rattraper, dis-je en rigolant.

-Ma petite chérie, dit t'il en rigolant avant de me prendre dans ces bras.

-Oula on va se calmer, c'est ma femme pas la tienne Lewis.

La blague de George nous fit tous rire même si dans le fond je sais qu'il le pense. Jamais il ne l'avouera mais il est très jaloux, et même si il sait que Lewis est un frère pour moi, il ne peut pas s'empêcher de l'être.

-On y va ont va être en retard, dis-je aux deux garçons.

-La patronne à parler, me répondit Lewis.

Nous nous dirigeâmes donc tout les trois vers le box mercedes, sur le chemin nous croisâmes plusieurs pilotes dont Lando et Daniel qui se sont jetés sur mon ventre et se sont empressés de nous féliciter George et moi. Ils ont également demandé quelques nouvelles à George puis nous sommes repartis.
Lorsque je passa la porte du stand un poids disparu de ma poitrine, un poids du à l'angoisse de croisé l'homme qui a failli tuer le père de mon fils.

-La salle est par la, dis Lewis en passant devant nous.

-On te rejoins dans deux minutes, déclara George avant de m'entraîner dans la première pièce sur laquelle nous somme tombés. Il claqua la porte et me poussa contre cette dernière avant de prendre mon visage entre ces mains pour venir plaquer sa bouche sur la mienne. C'était un baisai urgent et fort.
Il demanda vite accès à ma bouche ce que je lui donna dans le seconde. George balader ces mains sur mon corps en s'attardant sur mes seins.
Puis il s'attaque à mon cou pour nous redonner de l'air à tout les deux. Puis il descendit plus bas et s'attaqua à la naissance de ma poitrine qui avait bien doublé de volume depuis le début de ma grossesse.
Des gémissements s'échappèrent de ma gorge sans que je ne puisse les arrêter.

-George, murmurait-je.

-Tu est à moi, dit t'il en remontant dans mon cou.

-Tu sait très bien que oui, dis-je en attrapant sa tête pour lui faire plonger son regard dans le mien.

-J'aime pas qu'un autre homme te touche.

Sa réflexion me fit sourire.

-Tu es bien jaloux dis donc.

-N'importe quoi, c'est pas de la jalousie.

-Donc c'est quoi ?

Bien évidemment il ne savait pas quoi répondre.
Je posa délicatement mes lèvres sur les siennes avant de à nouveau planter mon regard dans le sien.

-Je t'aime George.

-Je t'aime ma princesse, dit t'il en embrassant mon front.

Ce qui me fit sourire. J'aime qu'il m'appelle comme ça.

-On y va, dit t'il en ouvrant la porte.

-Je vais au toilette je reviens.

Il embrassa ma main et partit dans la direction opposée à la mienne.

Je rechercha les toilettes pendant plusieurs minutes, je tourna dans plusieurs couloir avant d'arriver devant une porte. Je l'ouvra et me retrouva à l'arrière du stand. Bon bah c'est pas la.
Au moment de me retourner pour rentrer à l'intérieur mon regard croisa celui de la personne que j'avais le plus envie d'éviter dans ce monde, celui de l'homme qui a failli détruire ma vie « Max Émilian Verstappen »

Revivre grâce à toiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant