Tobimada : Senju Madara (fini)

Chapitre 5

Lemon :

Madara est couché sur le lit chaud, bien qu'il aurait apprécié la sensation de bien être, il ne pue ne pas s'empêcher de râler, ses cheveux seront remplies des petits nœuds, il se voyait déjà les cheveux sales, et transpirant se grattant à la sensation désagréables.

Tobirama qui était au dessus, du noireau le regarda de son regard rubis, ses mains passa sur son torse, légèrement rougis par le soleil, ses mains caressé du bas au haut de son torse, dans le mouvement il se pencha pour mordiller ses bouts de chaires rougis, il humidifia de sa langue ses tétons, ses mains baladeuses descendis le boxer du noireau, qui était leur seul vêtement, au plus grand bonheur du dominant.

Madara râla un peu d'être sur le drap,  Tobirama souris à cela mais n'en dis rien, il prit le lubrifiant qu'il avait amené au cas où,il était lui même dur mais il voulait tout de même faire plaisir à son amant, il enduit ses doigts de cette huile qui sentait bon la coco, il se pencha en rigolant, il enfonça un doigts dans l'entrée de Madara qui ne sentis rien, seul le deuxième le fit un peu plus réagir, mais réagir de plaisir, ses doigts fit de petits mouvement qui en suit des gémissements de Madara, Tobirama bougea ses doigts à l'intérieur, alors que son autre main caressait le torse du noireau, titillent ses bouts de chaires durcit, il ne pue ne pas s'empêcher d'embrasser son cou, puis ses lèvres, puis son cou, ses doigts Toujours agité dans l'entrée, ses lèvres déménagea vers son oreille, il était sensible il le fit savoir au dominant en gémissant un peu plus aiguë.

Tobirama  passa joueur, son pouce sur la fente de la queue de madara, avant d'enrouler sa main autour de la longueur de celle-ci et de la taquiner et de la tirer.

Il sort ses doigts de l'entrée du noireau, savourant le doux gémissement quand ils sont partis, et la façon dont son trou se serre du mieux qu'il peut, comme pour chasser la sensation fantôme d'être remplis. Tobirama retira à son tour son boxer, il enduit son membre d'huile avant d'aligner celui-ci face à l'entrée du noireau, il prit quelques secondes à voir l'autre le supplié silencieusement du regard, puis il s'y glissa tout doucement, tout prudemment bien que ce n'est pas la première fois qu'il le font, il attendit que le noireau lui face signe, d'un petit déhanché ou autre pour commencé le travail, il ne du pas attendre longtemps, Madara avait relevé le bassin en se tortillent un peu, Tobirama rigola en pensant que cétais une algue à bougé ainsi.

Il fit des vas et viens lent, il attendait toujours la permission de son partenaire pour accélèrer la cadence, cela toujours fonctionné ainsi entre eux deux, vue comment le noireau avait tendances à râlé et critiqué, il tapa plus fort comme demandé, ils étaient tout les deux un tel désordres, ses lèvres parcouraient le cou de l'uchiha et parfois des petites taquineries, comme mordiller son oreille ou mordre sa mâchoire déjà rougis par le soleil, quand il toucha sa sensibilité, il continua à martelé l'entrée car cela fessait du bien à son amant, Madara  ne pouvait pas faire taire ses gémissements, sauf si l'envie prenais à Tobirama de l'embrassé, ce qu'il fessait rarement aimant l'entendre hurlé, crié de plaisir pour lui, ce moment où son prénom s'échapperent de ses lèvres fines.

 

Il donna encore plus de coup, Madara  tremblait il allait venir, il était si beaucoup d'être peau contre de peau avec Tobirama , bien que la sueur ce mélangé dans le processus, il cria d'une voix aiguë le prénom de son partenaire, de pré-sperme y collait déjà depuis un moment, mais Tobirama sentait il sentait que Madara arrivait, et ce ne fut pas tardé l'homme aux cheveux noir ne fit que crié de plaisir le prénom de tobirama, qui sous l'excitation viens plus qu'il ne l'aurais crue, ayant un peu plus d'endurance que ce compagnons maigre bien que musclé, il resta tout essoufflé visage à quelques centimètres, leur lèvres ce collérent légèrement dans leur fatigue, Tobirama ce retira et se jeta contre la serviette avec nettoyage madara due faire l'effort de ce déplacé pour faire place.

Les deux amants ne dire rien, regardant le couché de soleil à travers la fenêtre de la chambre, il pue le voir juste à temps, Madara  posa sa tête contre le torse de tobirama  qui passa paresseusement sa main dans les cheveux doux mais humide de son compagnon, il s'endormit Sous les caresses et Tobirama  ne pue sentir qu'à l'aise souvent lui même le mouvement de la paresse.

 

Fin