⚠️ALERTE AU SPOIL⚠️
[Pdv Tartaglia]
*rire machiavélique*
Comme je suis heureux, satisfait, repu, et fier de moi ! J'ai réussi à attraper ce diable de dieu à la c🌊n. Il faut que je le t🌊e, c'est sûr, il n'y a pas d'autres issus.
Mon petit chat était dans une salle de toture installée sous la banque du port de Liyue. Ses poignets étaient attachés contre le mur, ses yeux étaient bandés et une petite goutte de s💧ng coulait de son nez et de sa bouche.
Je n'étais pas seul dans la salle, il y avait Scaramouche, le septième exécuteur des Fatui, la poupée de la Shogun, un type dont la cruauté est épouvantable. C'est lui s'occupe des tortures et de l'élimination de nombreux des ennemis de la mafia.
Il avait écrit sur le ventre de notre chaton "Scaramouche", ce qui le faisait gémir.
Bien sûr, on ne torture pas quelqu'un pour son plaisir, mis à part Scaramouche. Mon petit chat à volé les Gnosis des trois archons, puis t🌊é La Signora, qui était la huitième exécutrice des Fatui. Enfin, c'est plutôt la Shogun qui l'a tuée, mais c'est lui qui l'a battu... Il menace toute connexion entre Sa Prinzeciss et l'ordre des Fatui qui se trouve à Sneznhaya. Et selon moi, il veut pouvoir prendre le contrôle de notre mafia, puisqu'elle renferme des membres des Fatui pour récupérer sa sœur, une femme insupportable d'ailleurs. En temps que Fatui, je ne peux pas tolérer une telle désinvolture et une telle insolence ! Il doit mourir par ses actes ! Et il doit...!
*toc, toc*
Hein?! Mais ça peut bien être? Je me rapprochai du bruit et ouvris la porte. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je vit le maître des lieus accompagné de son fils! Je pense qu'ils ont pu observer la scène de torture, vu l'état de la porte. Je l'ai fit entrer et je fit une révérence à mon maître, qui fut gêné de la situation. Il me releva en toute hâte et me demanda des explications par rapport au martyrs du chat.
𝗧𝗮𝗿𝘁𝗮𝗴𝗹𝗶𝗮 : Mais enfin, maître Zhongli, on a suivi vos ordres jusqu'à la fin! Et pour la suite de l'histoire, j'ai improvisé un peu et...
Zhongli me prit par le col d'une main violente. Il approcha mon visage très près du sien pour me dire :
𝗭𝗵𝗼𝗻𝗴𝗹𝗶 : On aura une petite discussion dans mon bureau, pendant que je détacherai le chat, toi tu mettra Scaramouche dehors. Ce lieu de torture n'est réservé pour tout nos otages mais seulement pour une partie, et lui n'en fait pas partie.
Il relâcha mon col lentement. Je me sentis trembler, et rougir. Eh, pourquoi?! Zhongli m'a passé un savon et moi je rougis ?! Non, c'est sans doute de honte. Je ne pense pas avoir ressenti de l'attirance pour lui, mais alors pourquoi je tremble ?! Je pense avoir deux réponse à ma question. Mon cerveau dirait que c'est la chaleur qui règne ici et c'est la peur de la puissance de maître Zhongli. Mon cœur dirait que la façon dont maître Zhongli m'a menacé était inattendue et que ça me plairait de me trouver proche du visage d'ange de Zhongli lorsqu'il me gronde. Et m🌊rde je pense que c'est toute ces raisons. Bon, définitivement, j'apprécie la présence de Zhongli près de moi, je n'ai pas de doute. Eh, deux secondes... il avait dit qu'on continuera de discuter dans son bureau ?! Mais quand tu veux mon chéri!
Oula, je sens que ma l🌊bido a augmenté, c'est pas bon signe ça. Bon, on se calme, inspire et expire, inspire et expire.
[Pdv Aether]
*peu de temps avant l'arrivée de Zhongli*
On m'amena dans une salle sombre et chaude. Je repérais de nombreux instruments de torture, ce qui me mis mal à l'aise. Soudain, on me plaqua contre le mur, on me banda les yeux et me lia les poignets. Je me mis à trembler de peur. J'entendis la voix de Tartaglia s'approcher de moi. Il me prit le menton puis le relâcha. J'entendis quelqu'un d'autre arriver dans la pièce. Cette personne s'approcha de moi, me renifla le cou puis le mordit. Je poussai un gémissement de douleur, ce qui attendrit ce sadique de Tartaglia. La main froide de Scaramouche passa derrière mes lombaires. Il m'approche de lui. Je l'entendis prendre une sorte de stylet puis posa la pointe sur mon abdomen. Je sentis la pointe me déchiqueter la peau. Je hurlais de douleur en me débattant. Voyant que je bougeais trop, Scaramouche me donna un énorme coup de point dans le ventre. Je gémis de nouveau. La pointe retomba sur ma peau. Je gémissais encore... Mon corps ne supportait plus de résister à la douleur, mes cervicales laissèrent retomber ma tête vers l'avant. Mes genoux se plièrent sous mon poids. Toute ma massa était retenue par mes poignets liés. J'avais mal. Je tremblais. Je n'avais pas assez de force pour crier le nom de mon ami...
*soupir/gémissement*
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Notes de l'auteure: je suis obligée de séparer ce chapite en deux 🥲 parce qu'il allait être trop long
