■ 𝕷𝖎𝖛𝖆ï 𝕬𝖈𝖐𝖊𝖗𝖒𝖆𝖓 𝖝 𝖗𝖊𝖆𝖉𝖊𝖗
Un soir, alors qu'ils étaient au plus bas, deux soldats se sont promis ciel et terre. Mais dans un monde où ils ne cessent de mettre leur vie en danger afin de sauver l'humanité d'un sort tragique, arr...
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“ 𝙎𝙤𝙪𝙫𝙚𝙣𝙞𝙧 „
捧げよ
?|Et donc, quel âge a ta petite dernière maintenant ?
Tamère|Elle a 12 ans. Ça ne nous rajeunit pas n'est-ce pas ?
Rit-elle.
?|Ah ça, c'est inévitable.
Équipées chacune d'un panier contenant leurs courses, les deux femmes parcouraient les allées du petit village du mur Rose où leur famille avait élu domicile.
?|Et comment se porte ton aîné ? Il souhaite toujours entrer dans l'armée aux côtés de ton mari ?
La rousse aux courbes développées continua de prendre des nouvelles de son amie et de sa famille.
Tamère|Oui, Shindou rêve de cela depuis qu'il est tout petit. C'est un brave garçon, je suis sûre qu'il fera un excellent soldat.
La mère de famille ne put frainer l'esquisse du sourire qui orna ses lèvres à la simple évocation de ses enfants. Elle en avait toujours été très fière, elle prenait plaisir à parler d'eux lorsque quiconque demandait de leurs nouvelles.
?|Tous les habitants de ces murs doivent beaucoup à votre famille. Tous les hommes se sont toujours sacrifiés pour notre sécurité, et ce sans hésiter.
Tamère|Je te remercie, ces mots leurs feraient certainement beaucoup de bien.
Sourit la femme de l'actuel chef de l'escouade d'observation, P/p (= le prénom de ton père) T/n.
?|Oh mais, ce ne serait pas la petite T/p ?
La mère de famille suivit le regard de son amie aux cheveux roux et tomba ainsi nez à nez avec la vision de sa fille courant dans l'herbe fraîche et illuminée par le soleil. Le sourire aux lèvres, elle s'avança vers cette dernière, suivie de près par son amie.
Toi|Maman !
T'exclamas-tu lorsque tu aperçus ta mère marcher dans ta direction. Tu courus joyeusement jusqu'à elle et entouras sa longue jupe de tes petits bras d'enfant.
Tamère|Oh T/p... Enfin mais qu'est-ce que c'est que tout cet attirail ?
Tes yeux s'illuminèrent immédiatement. Tu lâchas la robe de ta mère et te reculas pour poser tes mains sur tes hanches, prenant une pose qui laissait deviner l'étendue de ta fierté.
