La tribu de la Forêt Claire

chapitre 2 (non corrigé)

« 𝔻𝕖𝕤 𝕔𝕙𝕚𝕖𝕟𝕤 !? Quatre ? Même si le ton de la meneuse tremblant légèrement, elle garda son allure de chef. Bien. Lune Claire, Matin Cendré, vous serez guidé par Rosée des Neige pour former une patrouille de secours. Votre mission sera de trouver Bois d'Argent et Tempête de Fleurs. Forêt Obscure, Cœur de Forêt et Flaque de Lune, vous serez sous mon commandement. Notre bute sera de distraire les chiens. Les deux patrouille ne doivent prendre aucun risque inutile ! »
Alors que les concerné acquissaient et se regroupait, Crystal de l'Aube se dirigea vers Conteuse, la mine inquiète.
« Et moi, que dois-je faire ?
— Tu reste au camp avec Étoile Argentée et Plume de Colombe pour protéger les Nuages et les Brises. »
Alors que Étoile Argentée hochait la tête, rassuré de faire quelque chose, et que Plume de Colombe approchait ses petits de son ventre d'un air protecteur, Conteuse vis que Crystal de l'Aube allait protester, mais elle ne lui en laissa pas le temps :
« Crystal de l'Aube, je sais que tu a envie d'aider tes camarades, mais le clan a besoin de quelqu'un pour le diriger et protéger en mon absence.»
Conteuse aux Bois Étoilés soupira de soulagement en voyent Crystal de l'Aube accepté sa décision sans protester d'avantage. « Tribue de la Forêt Claire, en route !»
Sur ses mots, les deux patrouilles sortir du camp. Conteuse n'eut besoin de demander ou se trouvais les chiens, car leurs aboiements furieux s'entendait au loin, dans le champ a côté de la forêt. D'un mouvement de la queue, elle indiqua aux patrouilles de la suivre, la sienne passant devant. Les chats descendirent prudemment la pente menant à la rivière, qui suivait son cours nullement dérangé par les aboiements assourdissant des chiens, sautèrent sur quelque galet pour la traversée, puis remonterent la pente de l'autre côté, qui mennais au champ. Conteuse retint un hoquet de stupeur. Quatre énorme chien, plus gros que tout ceux que les chats sauvages avait vus, le pelage sombre, et les yeux cruelles, aboyait devant un terrier sous les racines d'un arbre, ou deux yeux luisant de peur brillait. Tempête de Fleurs était prise au piège, et les chiens essayait d'agrandir le trou pour y passer leurs museau au dents de renard. La chef réfléchis à toute vitesse.
« Ma patrouille ! On va distraire les chiens. Il faut les emmener le plus loin possible ! Rosée des Neiges, dès que ces sacs à puces se seront éloignés de Tempête de Fleurs, emmène ta patrouille la chercher, et essemble trouvez Bois d'Argent. Je ne le vois nul part »
Rosée des Neiges acquissa. Une lueur déterminer brillait dans ses yeux. Tempête de Fleurs était son apprentis, c'est pour ça qu'elle l'avais mis à la tête de la patrouille de secours. Conteuse, elle, s'inquiétait énormément pour Bois d'Argent. C'était son frère, et elle ne voulait vraiment pas le perdre. Finis de rêvasser, pensa Conteuse. Elle emmena sa patrouille plus près des chiens, qui, était tant obnubilé par Tempête de Fleurs qu'ils ne remarquèrent pas les renforts. Conteuse sentait Forêt Obscure trembler près d'elle. L'ancienne chatte solitaire n'avait jamais accomplit de mission tel qu'elle. Conteuse se rendit alors compte de sa propre peur. Mais quand elle croisa le regard compatissant et déterminé de Cœur de Forêt, son compagnon, l'ouragan alla tout de suite mieux. Rien ne me fait peur quand il s'agit de sauvé un membre du clan.
« À mon signal, faîtes le plus de bruits possible pour attirer les chiens. Puis, courrez comme si votre vie et celle de vos camarades en dépendait. Oh, c'est le cas ! »
Elle ettoufa un ronron de satisfaction quand elle vis qu'elle avait réussi à détendre l'atmosphère.
« Un, deux... Trois ! »
Au signal, tout les félins de la patrouille de Conteuse sortir à découvert en miaulant comme un chat domestique réclamant de la nourriture au bipèdes. La meneuse fus soulager de voir les chiens se retourner, mais son soulagement fus remplacer par de la peur quand les bêtes se mirent à courrir vers eux. Toute la patrouille fis demi-tour et courra aussi vite que possible. Conteuse plantait ses griffes dans le sol pour se donner plus de vitesse. Elle entendait les pattes lourdes et puissantes cavaler derrière elle. Elle frémit en imaginant leurs grosse griffe dechicter son corps ou celui d'un camarade. Es-ce cela que l'on ressent quand on est une proie ? Elle eu soudain une idée.
« La zone humide ! Emmené les vers la zone humide ! »
Cet endroit était gadoueux et couverts de roseaux. Les chats pouvait s'y faufiler sans trop de problème, mais, les chiens, plus gros, aurait plus de mal. Le groupe de félins apeuré se dirigea vers la zone humide. D'un même bon, ils sautèrent par dessus la rivière. Elle était moin large à cette endroit ci, et pouvait être franchis aisément. Les chiens n'auraient aucun mal à la franchir également. Conteuse se rendit soudain compte de son erreur.
« La route éclaire ! » S'exclama flaque de Lune.
La grande bande noir noseabonde se dressait devant eux. D'habitude, ils prenaient toujours le temps de vérifier si un monstre arrivait au loin, de voir si la route éclaire vibrait. Mais la, pas le temps de réfléchir : les montres, ou les chiens !
Conteuse s'élança sur la matière dur. Elle se rendit compte avec effrois que le sol tremblait légèrement sous ses pattes. Elle s'arrêta au milieu du chemin pour faire passer les membres de sa patrouille avant. En se retournant et en motivant la tribue pour allé plus vite, elle vis une grosse masse rouge arrivé vers eux. Les aboiements des chiens semblait faible comparé au grognement du monstre.
Conteuse se dépêcha d'atteindre l'autre côté de la route éclaire, puis se faufila entre les roseaux, à la suite de Cœur de Forêt qui avait ralenti le pas pour la rejoindre. Quand le grognement du monstre arriva à leurs niveaux, un couinement à fendre l'âme retentis. Quand les félins passèrent la tête à travers les roseaux, ils virent le corps d'un des chiens, anormalement tourné. La pauvre bête essaya de se traîné hors du chemin avec ses pattes avant, les yeux révulsé par la douleur. Avec ses connaissances en médecine, conteuse en déduit que la colonne était brisé, et que le chien serai donc paralysé de du milieu du dos jusqu'à la queue. Ses semblables vinrent le renifler en japant. Le plus gros d'eux, qui semblait être le chef, regarda les félins d'un regard haineux. Conteuse pus presque lire dans ses yeux « On vous aura, félin, et nos crocs se plongeront dans votre corps délicat ».
Alors que deux bipède approchait, en drôle de tenue verte, et s'abaissèrent pour observer le convalescent, Conteuse ordona à sa patrouille de s'enfoncer dans la zone humide pour faire un détour. Même si ils mourraient d'envie de savoir comment allait Bois d'Argent et Tempête de Fleurs, ils devaient resté prudent pour ne pas se faire voir. La seule solution était de traverser deux route éclaire. Le chemin le plus simple passait trop près des chiens, et elle redoutait qu'ils ne les reprennent en chasse. Les chats purent voir du coin de l'œil que le montre qui avait percuté le chien avait fait demi-tour pour se rapprocher du corps désarticulé. Il va le manger ! Pensa Conteuse, horrifié. Elle accéléra alors le pas, et la patrouille ressorti de l'autre côté de roseaux. La chaleur lourde s'applati sur elle comme le froid de la saison froide.
Dans un silence brisé uniquement par le grondement des montres, les quatre félin traversèrent les routes éclaire, encore troublé et choqué par les évènements soudain. Et si son frère était blessé ? Et si lui aussi était paralysé ? Et si il y avait un autre chien qu'ils n'avaient pas vus ? Et si ils revenaient ? Conteuse était si perdu dans ses pensées qu'elle ne se rendit pas compte qu'elle allait foncer droit sur un bipède. Cervelle de souris, se sermona t'elle elle même. Tu doit rester concentré, ton clan a besoin de toi ! Elle continua à marcher, sous le regard ambré inquiet de son compagnon.

« Conteuse ! Que la tribue des murmures sois loué, tu es de retour ! »
C'était Crystal de l'Aube qui l'avait rejoint des qu'elle avait senti son odeur.
« Oh, Crystal de l'Aube ! La patrouille est t'elle rentrée sans encombres ? Et Bois d'Argent, il va bien ? Et Tempête de Fleurs ?
— La patrouille est rentré sans trop de problème. Aucun autre chien n'a été appercus. Tempête de Fleurs est en pleine forme. »
Crystal de l'Aube tourna les talons sans laisser à Conteuse le temps de lui poser tout autre question. Mais son air troublé et triste n'échappa pas à la chef.
« Et Bois d'Argent ? Répéta t'elle. Il va bien ? »
Crystal de l'aube ralenti pour se laisser rattraper par son mentor, qui lui posa délicatement sa queue velue sur les épaules.
« Crystal de l'Aube, répond moi ! »
En entrant dans le camp, Conteuse ne pus ingorer l'odeur de sang qui y reignait. Il est juste blessé, pas vrais ?  Elle vis Crystal de l'Aube étudié la question.
« Je crois que des images valent mieux que des mots, parfois. » Elle parlait d'un ton doux.
Conteuse aurait voulu crier à Crystal de l'Aube de tout lui dire, mais les mots lui manquait. Pourquoi elle ne veux rien me dire ?
Quand elles arrivèrent au camp, le reste de la patrouille silencieux, les têtes se tournèrent vers eux. Surtout vers Conteuse. Quand elle osa enfin baisser les yeux vers le tat de fourrure sable, elle vis avec horreur qu'il était tacheté de sang. Les flanc de la bête se soulevait péniblement, et semblaient perdre en intensité chaque seconde. Un souffle roque était perceptible. L'animal avait les oreilles et le poitrail dechicté, ainsi qu'une patte cassé. Conteuse n'en croyait pas ses yeux. Elle crus que son corps allait arrêter de se battre. Elle ne voyais plus rien autour. Elle n'entendait plus rien. Dans son esprit reignait seul le corps de son frère presque mort. Elle senti sa tête lui tourné, ses pattes flageoler sous elles. Une tristesse profonde et un vide se creusa en elle. Ainsi qu'une colère sauvage. Non, pas une colère. Une haine. Une haine brûlante pour les chiens qui avait presque tuer son frère.
Elle se jura intérieurement que plus jamais un chat de sa tribue tombera de nouveau entre les mains de ces bêtes sauvages et sans pitié.