Chapitre 17

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Bonne lecture,

Je suivais Trivans qui me guider vers la sortie je regardais une fois derrière moi pour voir le mort.

Flashback ( voici mon histoire de mon passée tant demander mdrrr )

Je n'avais que cinq ans. Avant mes cinq ans j'aimais ma mère, et je l'aimerais pour toujours, j'aimais jouer avec mes poupée, jouer a la cuisinière, jouer avec ma mère surtout, ma couleur préféré était bien sûre le rose, je détestait tous se qui avait avoir avec la violence, quand on me parler de guerre je pleurais et pensais à tous ses personnes qui souffraient pour rien ou tout simplement qui mouraient pour rien et également aux petits qui ont été traumatisé et perdais leurs parents. Mais à mes cinq ans exactement le jour de mon anniversaire, ma lumière, ma guide, ma mère, ma vie,mourru. Elle mourru jeune elle devait avoir vingt cinq ans. Quand on me l'avait annoncer je voulu aller la voire.J'étais la en habille noire, j'avais une longue que de chevale qui retombait le long de mon dos, on m'avait vêtu en noir, mes yeux n'avait qu'une seule couleur qui sauter aux yeux le rouge, j'avais beaucoup pleurais que des fois je m'évanouissais et on m'avait interdit à voire une dernière fois le corps de ma mère, la prendre dans mes bras et lui serrer puis laisser échapper mes larmes. Non on ne m'avait pas laisser la chance. Je tenais ma peluche la dernière chose qu'avait pue m'offrir ma mère. Je la serra contre moi cette simple peluche me suffisait de savoir a quelle point j'étais inséparable avec ma mère mais aujourd'hui cette même peluche m'avait autan déçus car à présent la mort nous avait séparer. Je regardais la peluche avec tant de haine et cette dernière finit à la poubelle. Mes yeux se baissa sur mon cou, où se trouver le collier que ma mère m'avait offert à ma naissance, un collier simple en or ou mon nom y'étais gravée. Et ou la mort séparera se collier de moi.
Je sentis des mains m'enlacer, petite de taille, fille de cinq, assez pleuré je releva la tête pour faire face à une jeune dame avec des cheveux blonds et des yeux vert foncé. Elle l'enlaça et puis releva mon manteau. Sortie une petite feuille de son sac et me la tendis.

- To père ne vas pas bien en se moment, il ne veut pas quand s'occupe de toi mais sache que si jamais ta besoin d'aide ou s'il te fais du mal, tu peux toujours le contacter. Me dit cette dernière avant de disparaître.

Une semaine après la mort de ma mère j'étais traumatisée, mon père avait chasser tout les travailleurs de la maison, je ne le voyais jamais, l'enterrement avait eu lieu et tous se qui vas avec les morts. Je devais me débrouiller, en parlant de débrouiller a cinq ans c'est se changer, laver, cuisiner, faire la vaisselle, nourrir le chat...etc. Je n'avais jamais sue que j'allais faire sa a cette âge même si je le brûler et le couper, je pleurais tellement fort mais malheureusement personne ne venait me prendre dans ses bras et le chuchoter des mots doux. Personne.

C'était un mardi soir je partais même à l'école a pieds comme j'avais tendance à le faire avec ma mère, mais cette fois ci seule, et je ne pouvais pas empêcher mes larmes à couler de temps en temps où tout simplement d'en vouloir se qui ont leurs mère. Je venais de prendre mon bain et me vêtu d'un simple pyjama. Je ne souriais plus. Je pris ma poupée et descendit en bas pour le chercher un verre d'eau. Quand soudain la porte de la villa s'ouvris brutalement, mon cœur se mît a battre plus vite que d'habitude et ma respiration saccadée a s'accélérer. Puis je vis mon père devant moi, je souris et m'approcha de lui pour me jeter dans ses bras. Toute souriante de toute les dents c'est dingue après la mort de ma mère de me trouver à sourire. Ce dernier me poussa brutalement, en plus qu'il n'étais pas du tout soule. Je me cogna sur une table, et du sang transpercer mon front et depuis se jour mon vrai sourire celui que je tenais de ma mère disparut pour toujours de la vie. Mon père s'approcha de moi tira les longs cheveux et le bouscula de l'autre côté ou je tombais sur mon dos. Je me releva mais il fut plus rapide et s'approcha de moi, devoir avec un sourire de satisfaction.

Entre meurtre et amour.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant