Chapitre 8

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Non vous ne rêvez pas. Un nouveau chapitre. Après deux mois. La veille de la rentrée. Je sais pas si vous l'attendiez mais ça vous en fait un de plus 😀.

Ça fait une semaine que Sumeru est sorti, voire un peu moins, et j'ai déjà récupéré 3000 primos ;-; Les quêtes sont longues mais ça vaut le coup.

Encore une fois je suis désolée de poster un nouveau chapitre aussi tard mais avec la reprise des cours je pense que vous allez devoir attendre encore plus. ;v;

Pour ce chapitre 8 on change pas les mauvaises habitudes, n'hésitez pas à voter pour ce chapitre et à commenter, votre avis m'intéresse :)

Sur ce, bonne lecture !

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2 heures avant la rencontre (Kaeya et Dainsleif étant toujours à bord de l'Alcor)...

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Albedo grogna et commença à s'agiter dans son sommeil. Une sensation désagréable le tira des bras de Morphée sans en comprendre l'origine. Après plusieurs minutes où il se disait que ça allait passer, il se releva, visiblement mécontent. La douleur disparaissait par moment, pour revenir plus forte qu'elle ne l'était précédemment.

Il eut à peine le temps d'ouvrir les yeux que la douleur refit surface une nouvelle fois. La première chose à laquelle il avait pensé était que l'Ordre de l'Abîme l'avait retrouvé et était en train de le traîner hors de sa cachette. Mais en ouvrant les yeux, il était toujours dans sa petite clairière camouflée par des buissons et des arbres autour de celle-ci.

Juste avant de s'endormir, son ventre avait grogné et il n'avait pu résister à allumer un feu de camp pour se faire cuire des melons-lavande, qu'il avait trouvé très sucré et juteux. Quitte à se faire repérer par la fumée, autant avoir l'énergie nécessaire pour s'enfuir. Heureusement pour lui, personne ne s'était présenté devant la clairière, et il s'était finalement assoupi à la tombée de la nuit au milieu du brouillard.

L'alchimiste sorti de ses pensées et chercha l'origine de cette douleur. Si c'était un animal, il passerait un mauvais quart d'heure ( Albedo était totalement contre la maltraitance des animaux mais il avait une soudaine envie de disséquer l'élément qui l'avait dérangé, dans un cadre strictement scientifique (NDA : évidemment on te croit tkt 🙄🤫)).

Heureusement pour le dit animal, il n'y en avait aucun. Ce qui signifie qu'Albedo avait été réveillé par autre chose. Il se leva et commença à sortir prudemment de la clairière, malgré le fait qu'il trouvait sa tête lourde ( sans doute le réveil un peu brutal, se dit Albedo ).

Il jeta un œil à gauche, puis à droite. Rien. Du brouillard. Pas de bruit, pas une mouche. Il soupira et s'apprêta à retourner dormir lorsqu'il vit une petite flaque d'eau devant lui. Assoiffé, il s'approcha d'elle et en voyant son reflet, il fut frappé de stupeur. Un de ses yeux d'habitude bleu turquoise avait prit une teinte rosée, de même que la marque en forme d'étoile à son cou. De légères veinures de cette même couleur se propageaient sur sa mâchoire, causant la douleur qu'il avait perçu plus tôt.

- Qu'est-ce que c'est que ça ? se demanda-t-il.

Par précaution il retourna dans la clairière. Il aura tout le temps de créer une petite bouteille avec du sable et son alchimie pour la remplir d'eau. La chose qui le préoccupait en ce moment était cette mystérieuse couleur qui semblait venir de sa tâche.

La clé d'un autre monde (Kaebedo)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant