Recueil os ヾ(˙❥˙)ﾉ

Toji

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Ce ne serait pas bien de sa part de te mettre enceinte si jeune, seulement 20 ans, tu avais toute une vie devant toi, mais tu étais tellement tentant.

Chaque fois que vous écartiez si volontiers vos jambes pour lui, des cordes d'excitation collantes peintes sur votre délicieuse chatte, il voulait décorer vos entrailles entièrement blanches avec son puissant sperme.

Toji devenait obsédé par la fabrication

toi sa petite ménagère salope, sa femme

à utiliser quand bon lui semble et à vous garder

enceinte jusqu'à ce que ça suffise. Il a vraiment

était un connard malade, mais pour certains inexplicables

raison, tu l'aimais toujours.Tu as écouté ses sombres fantasmes et tu ne t'es pas enfui - il ne t'aurait pas reproché si tu l'avais fait - mais tu es resté et tu n'as fait qu'attiser ses feux.

Pas encore... c'était son mantra pour chaque fois qu'il se perdait presque dans ta douce petite chatte, pour chaque fois qu'il pensait à ne pas se retirer pour tirer sa charge sur ton ventre comme il le devrait. Votre ventre qui aurait l'air si sexy à mesure que son bébé grandissait, à quel point vos seins deviendraient beaux à mesure qu'ils se rempliraient de lait et à quel point il aimerait les sucer à sec.

Sa bite monstrueusement épaisse a plongé dans vos plis, forçant votre visage dans le matelas alors qu'il tenait vos poignets au bas de votre dos. La crème a entouré la base de sa bite lancinante, Toji a été hypnotisé par la façon dont votre chatte l'a avalé, moulé uniquement sur sa bite et il a fessé votre cul simplement pour le voir prendre une belle teinte de rouge.

"Peut-être que je ne me retirerai pas cette fois," menaça-t-il, souriant en attendant que tu commences à te débattre.

Ce à quoi il ne s'attendait pas, c'était que tuCe à quoi il ne s'était pas attendu, c'était que tu te frottes contre lui, que tu presses si fort ta chatte contre sa queue qu'il faillit perdre l'équilibre.

« Fais-le papa. Tu le veux, s'il te plaît, s'il te plaît, s'il te plaît », lui as-tu pratiquement crié à travers une bouchée de draps.

La fosse béante de son désir s'étendit largement, son sourire malicieux tout aussi large, tirant ses lèvres cicatrisées vers quelque chose de bestial. La retenue sur ses désirs pécheurs s'est coupée en deux.

Toji relâcha vos poignets à la hâte, vous laissant à peine le temps de vous rattraper. Une main rugueuse et calleuse attrapa la nuque, te forçant plus loin dans le matelas alors qu'il tirait ton cul plus haut. L'angle de sa queue s'est déplacé, la pointe s'embrassant si délicieusement douloureusement contre votre col de l'utérus.

« Tu le veux, toi ? Alors prends-le comme la bonne petite salope que tu es !