Presence

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Mike fût choqué.

"Je comprends pas. "

"Ou plutôt tu ne veux pas comprendre. "

William regarda Mike droit dans les yeux.

"Avec Henry on s'en ai voulu. Et moi je m'en veux encore. On nous avait prévenu et on a préféré faire nos têtes de mules. "

Pendant ce temps Micheal est sur son lit. Il se remémore sa matinée. Jehn s'était inquiétée quand elle a vu les deux garçons sortir de la pizzeria, le visage livide.

"Et donc il y avait vraiment personne ? "

"Non. Personne. "

Micheal se demandait si c'était une bonne idée mais il a demandé à Jehn de ne plus s'approcher des robots. De ne plus parler à Chica comme elle l'a fait ce soir .

"Je pense que sans le vouloir, tu l'as défié. Et que c'est sa qui a conduit les robots à peser l'atmosphère. "

"C'est..... De ma faute alors?"

Demanda t'elle les yeux pleins de larmes.

Micheal lui répondit que non et qu'il était désolé d'avoir dit ça. Il a pris sa moto et l'a laissée reprendre son travail de réceptionniste.
De retour au domicile de William, Mike continue d'écouter.

"Mike. Quand tu as été victime de Foxy, Henry et moi avions discuté et nous avions deviné que ta mère te jetterai dehors une fois , l'âge de raison atteint. Nous t'avons fourni ce travail car oui, nous sentions coupables et misérables et que nous avions pitié de toi. "

Sur cette phrase le regard de Mike se remplis de colère.

"Mais." Continua t'il.

"Pour nous deux en temps que pères, chacun de notre côté, nous n'avions jamais été présents et cette décision nous a permis de faire un pas vers notre prise de conscience envers nos entourages. "

Le visage de Mike s'éclaircit un peu.

"Alors j'avais raison, c'était par pitié. "

Le deuxième AftonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant