My heart or my body? { COMMANDES FERMÉES }

- Le métal du Daece -

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PAS DE LEMON

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Queen - Loren Gray
Darkside - Alan Walker
House of memories - Panic! at the disco

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Lilian

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Une société de privilèges.

Une société de priviligiés.

Tu es fort: tu gagnes.

Tu es faible: tu perds.

Manger ou être mangé.

Chacun est régis par cette règles d'or, personne n'y échappe.

Cest ainsi que l'en a décidé Aamir, le tout-puissant dieu des volcans. Il est aussi imprévisible qu'une explosion, aussi vicieux et dangereux que la lave qui s'écoule et aussi beau que le magma qui bout dans le cratère.

Sa cour est son écho parfait, je suis un de ses nombreux, trop nombreux, reflets. J'en ai parfaitement conscience.

Mais comme je l'ai déjà dit, ici, tu réussis ou tu t'écrases.J'ai décider de réussir, de changer pour devenir aussi atroce que lui. J'ai appris à terrasser comme je respires. J'ai appris à adorer cela.

J'adore écraser les pauvres petits dieux qui essais de se faire une place dans la cour de mon Aamir.

"Lady Lilian! Aamir et le Conseil te demande dans la salle du Daece. Il dit que c'est très important," me sort de mes pensées la jeune déesse Mahevia d'une voix doucereuse, en pénétrant dans la salle des bains.

La nouvelle favorite d'Aamir et une de mes nombreuses rivales, comme celles présente dans le bain avec moi. Une petite hypocrite, qui nous lèche sans cesse les bottes pour avoir une place sociale et influente dans le Daece. Mais je ne peux pas être odieuse avec elle comme je le veux, sinon Aamir m'humiliera.

"J'arrive tout de suite, Mahevia," repondis-je sur un ton aussi faussement onctueux.

Attend qu'Aamir se lasse de te baiser, tu vas te faire détruire, mauvaise plante. Nous allons tous te détruire si tu continue à te montrer aussi faible et lâche. Aussi conne.

Pensé-je face à son sourire qui me donne envie de rejeter mon repas par terre.

Je lui rend un étirement de lèvres poli.

Je sors du bain blanc en saluant la déesse dans la source avec moi:

"Je m'excuse, Aorine.

-Ne t'en fait pas, dit-elle. Aamir est plus important, rajouta-t-elle. Et puis je pense qu'il va bientôt m'appeller si c'est une réunion officielle.

-Oui."

Le lait dans la grande piscine coule sur mes formes, je prend un grand drap près du bassin et entoure mon corps avec.

"Esclaves!"

Des femmes, le dos courbé, arrive à ma demande. Elles n'ont pour simple habit, un tissu qui couvre leur entre-jambe, de façon obscène, et leur poitrine, laissant apparaître leur peaux d'ivoire. Leurs chairs savoureuses de mortelles.