le recueil d OS des pandas

Os 8

Je ferme les pour empêcher les larmes de couler. Malheureusement cela ne servi a rien. Mes larme courraient sur mes joues. Moi qui n'avais pas pleuré depuis des année. Même à la mort de mon père je n'avais pas versé une seule larme. Pourtant là, seule au milieu de ce désert, seule et dans l'impossibilité de lui avouer mes sentiment. Qui ça vous allez me dire.

Juan-Carlos Mendoza.

Mais qui suis-je pour qu'il me mérite ? Je suis seulement une femme qui refuse de rentrer dans les cases de mon époque... Je refuse de porter des robes, coudre ou encore broder. A la place, je porte des pantalon et je manie l'épée ou le fouet. Qui voudrait de moi ? 

Surement pas une personne comme le superbe Mendoza.

Ambrosius n'état pas dupe, il a remarqué mes sentiment et m'a obligé de les faire disparaitre sous peine de la mise à mort. Je n'avais pas réussi. Il me rester une solution... fuir.

Donc me voila seule, affamé, assoiffé et avec les yeux remplie de larme... Si Mendoza me voyais il serait dégouté de ma faiblesse. je suis faible. Ma tête tourné,  je sentais que j'allais tomber. Et je n'avais pas tord car soudain je perdis connaissance

"Laguerra ! Laguerra ! réveillez-vous ! je vous en supplie !" 

J'entendis cette voix mais j'étais incapable de dire à qui elle appartenait. Je notais l'inquiétudes dans la voix de cette mystérieuse personne. Une main chaude touchait ma joue gelé par la nuit du désert.  J'ouvris légèrement mes yeux et je vis mon sauveur... La pire personne. celle que je ne voulais pas qu'il me voilà. Mendoza. Ce n'est pas que je ne veux pas le voir mais il me voit faible, et j'ai honte ! J'essaye de me lever mais il m'en empêcha.

"Non restez allonger. Vous allez vous évanouir de nouveau"

Je souris timidement. Il étais si beau et il était encore plus mignon lorsqu'il est inquiet. Mais tout à coup il me pris et me porta jusqu'au condor. Lorsqu'il me déposa sur la banquette du condor j'étais rouge de honte. J'avais été contre son torse et dans ces bras ! Les trois enfants me regardèrent avec curiosité avant de descendre me laissant seule avec leur protecteur. Mendoza s'approcha de moi et me donna une gourde en peau de bête et des fruits. Je pouvais enfin boire et manger. Mendoza me regardait inquiet puis me demanda: 

" -Depuis combien de temps vous êtes seule sans eau ni nourriture ?

- je ne sais plus... Depuis qu'Ambrosius voulais me tuer.

- Pourquoi il voulait vous tuer ?

- Quand il a appris que..."

Je ne dis plus rien. Me rendant compte de la raison était que je l'aimais. Je détourna le regarde gêné.

"-Quand il a appris quoi ?

- Rien..."

Je sentis mes joues chauffées doucement. je sentais également le regarde de Mendoza sur moi.  Voyait il mes joues rouges ?  Surement... Il se pencha vers moi et remis une de mes mèches qui était tomber sur mon visage. Il avait le visage si prés que je cedis a la tentation et je l'embrassa. Je goutais enfin ses lèvres et il ne me repoussa pas. On se séparais après quelque minute qui n'étais pas suffisante pour moi. Il se rapprocha de mon oreille et me dit : "je t'aime" 

Voila un nouveau os !! je remercie a Miss Licorne (ma meilleure amie) de m'avoir aidé a le corriger, alors que je ne voulais pas car je n'avais pas relue et que c'était une catastrophe, malgré le faite qu'elle n'est pas fanes des cités d'or. On j'ai juste retrouvé ma feuille remplie de cœur et quelque fou rire par rapport a se que j'avais écrit mais il y a pire comme la prof qui aurais put lui confisquer quand elle la surprise avec... bon bref voila j'espère que vous allez bien et je sais que je poste pas beaucoup en se moment pas besoin d'essaye de me le dire... sinon bon dimanche a vous

🐼