le recueil d OS des pandas

OS 3 2/2

elle rentra chez elle et mis son poignard sous sa gorge.

Quelqu'un toc tout a coup ce qui l empêche de ce tue avec le couteau. Zia , Esteban et tao ce tenait devant la porte. Elle les vit entré. Zia lui sauta dans les bras en disant :

"Je suis vraiment désolée pour Mendoza."

Les larme coulais a nouveau sur les joues de la jeune espagnole. Elle aurait tellement voulu que tout cela était un rêve mais malheureusement non.

La senora Mendoza proposa au enfants de resté dormir avec elle. Ils acceptèrent et sans qu elle sache ils firent en sorte qu il y a toujours quelqu'un pour la surveiller de peur qu elle se tue.

Les jours passèrent puis les semaines et des mois. Mais elle souffrait toujours autant. Elle avait des avance de Gaspard mais elle essaye de le remplacer a chaque fois. Elle essaye car dès fois il aborde le sujet sensible... Des dizaine autre homme lui faisais des avance mais elle les ignorer car sont cœur appartient à une personne même si il est mort. Elle ne savait pas pourquoi elle passé souvent c est journée a regardé le port comme si elle attendait que son mari reviens... Après tout il a déjà survécu à des naufragés mais il ne revenez pas. Et chaque soir elle pleure dans son lit. Elle passe très souvent des nuits blanches. Il lui manque trop...

Il y avait un petit cour en bas de chez elle. Elle passer c est journée ici quand elle n aller pas au port.  A entendre les oiseaux. Ce jour là un homme ou un femme entra totalement couvert de la tête au pied. On ne voyait pas du tout qu il était ni a quoi il ressemble. Il demanda à la veuve:

" Désolée est ce que vous connaissez une senora Isabella Mendoza ? Ou alors laguerra ?

-Vous lui voulez quoi , demanda la conserne??

- lui parle.

- c est moi cette senora et je m appelle Mendoza et non laguerra !

- c est....c est.......vous.....

- oui je vous écoute. "

Il ne répondit rien la regarda intensément comme pour essayer de la reconnaître. Mais rien a faire elle avait tellement change. Ses yeux étaient triste et rouge de n avoir pas dormi. Son fisage était devenue bien plus dur qu avant... Il ne l avait pas du tout reconnut. Il fini de trouver la vois et dit :

" C ets au sujet de votre mari...

- vous l avez retrouvé ?? 

- plus au moins

- il est en vie ?? Il va bien ????

- oui il n est pas mort"

Des larme de joie comme ça a coulé sur la joue d Isabella. Qui demanda :

" Il est où ? "

L homme ne répondit rien et laissa tomber c est vêtements... C était Mendoza. Son Mendoza. Son mari. Elle lui sauta au coup en le suppliant de  ne plus jamais partir en mer. Il ne répondit rien mais continue à la serré terres fort dans c est bras.

Désolée pour la longueur attentes...