Chap 2

35 5 1
                                    



Après une vingtaine de minutes en taxi, on était finalement arrivé à destination : Hôtel Birima.
C'était un mardi, un jour ouvrable et ça explique pourquoi y'avait pas beaucoup de personnes là-bas.

Je me suis dirigé vers la dame de l'accueil pour lui demander une chambre. Elle m'avait dit que la chambre plus la consommation c'est à 20000fr, alors j'ai sorti mon portefeuille pour payer. Et c'est là que Clara pose son sac sur la table.

- Tu voles un ticket qui coûte à 100fr et veux payer une chambre à 20000fr. Dixit Clara en souriant.
- Merci de me rappeler ça à chaque instant.
Elle donne l'argent à la dame, qui lui remet les clés de la chambre.
- Non je ne peux pas te laisser tout gérer après je te donne 10000fr
- Non c'est pas grave.

On avait prit la chambre 9, en deuxième étage. Une chambre bien équipée et climatisée, un décor simple mais très joli. Mais j'arrivais pas à trouver la commande de la climatisation, alors j'étais sorti demander aux femmes de chambre. A mon retour Clara s'était déjà débarrassé de ses habits. Elle ne portait que son bikini.

- Elles ont dit quoi ? Me demanda elle.
J'entendais ce qu'elle disait mais le problème c'était de répondre. Au fait ma langue n'obéissait plus à ma volonté, j'étais choqué par ce que je venais de voir .
- Papaaaa , c'est à toi que je parle là.
-  Alors c'est cette belle forme qui se cachait sous tes vêtements ?
- Arrête toi aussi, dit Clara en tirant une serviette qui était accrochée au mur.
- Elles disent que la commande est dans le tiroir.

Tu descends maintenant ?
- Oui j'attends que tu te déshabilles.
- Vas-y je te rejoins dans 10mn.
Je suis resté sur le balcon la regardant avancer vers la piscine avec une petite serviette autour de ses hanches. Je vous avais dit que les parties visibles de son corps n'avaient pas de tâches, maintenant que je l'ai vu presque nue, je confirme que son corps n'avait pas de tâches. Non seulement je regardais Clara, mais je regardais aussi toutes les personnes qui la regardaient.

Ce qui est sûr c'est qu'elle est désirée par tous les hommes dans cet hôtel. Et je me sentais déjà vainqueur d'avoir à portée de main ce que les autres désiraient. Arrivée à l'eau, elle enleva la serviette puis l'allonge sur un lit en bois avant de laisser ses pieds prendre contact avec l'eau.
Seul dans la chambre, j'ai éteint la clime et fermé la porte. Je voulais réveiller mes muscles, bomber un peu ma poitrine alors je faisais des pompes (appui avant). Il m'arrivait de danser comme pour célébrer une victoire. Et je sais que c'est bizarre mais j'ai même remercié Dieu. Je sais que Dieu n'est pas content de ce qui est entrain de  passer mais je l'ai quand remercier sans savoir pourquoi.

Je me suis regardé dans le miroir pour m'assurer que mes abdominaux et ma poitrine étaient bien gonflés. Chose faite, je rallume la clime. Et vu qu'à la base je devais aller au boulot, je n'avais pas amené de culotte. J'avais juste porté un caleçon qui ne cachait pas bien ce qui ne devait pas se voir. Alors comme Clara, j'ai pris l'autre serviette pour camoufler quelque chose. Je ferme la porte puis je descendis.

- Je pensais que tu n'allais jamais descendre.
- Je sais que je t'ai trop manqué mais t'inquiète je suis là.
- Je ne te croyais pas si musclé.
- Je te te croyais pas si callipyge.
- Non mais tu es sérieux là ? ( je m'étais débarrassé de ma serviette)
- Quoi tu t'attendais que je me mette tout nu ?

- Pourquoi t'as pas porté de culotte ?
- J'ai pas amené de culotte ?
- C'est comme ça que tu vas au boulot toi ?
- Clara, il fait vachement chaud ces temps ci alors je ne vais pas porter un caleçon, une culotte et puis un jean. Bref tu me rejoins dans l'eau ou tu vas rester là-bas à me faire la morale.

- D'accord viens me chercher.
Une fois dans l'eau, vu que j'étais plus élancé qu'elle, j'ai avancé en profondeur jusqu'à un point où elle n'avait plus de pieds et elle se trouva dans l'obligation de se coller contre moi. Elle me ceintura avec ses pieds avant de m'enlacer avec ses mains . On a pris presque deux minutes à se regarder sans rien dire. Je me mords les lèvres avant de la serrer plus contre moi.

La fille que j'ai rencontrée dans le busOù les histoires vivent. Découvrez maintenant