A ce moment là, je vis ma vie défiler devant mes yeux. Etais-je vivante ? Que s'était t'il passé ?
Je voulus décrocher ma ceinture mais je n'y parvins pas. Pourtant elle n'était pas bloqué. Je ne pouvais plus bouger ! J'étais paralysée, terrifiée, et affreusement seule. Tout autour de moi, il y avait des débris de verres et quelques branches d'arbres cassé. Mon frère Léo était détaché et recroqueviller par terre. Je nu même pas la force de sortir un mot. Et lui, était t'il vivant ?
Ma mère était devant, elle avait des blessures de partout et était inconsciente. Du sang dégouliner de son visage et de ses bras et je ne sais pas pourquoi mais d'un coup je réussis a me redresser et a m'approcher de ma mère. Je ni pas bien loin car j'étais encore attaché. Je déboucla ma ceinture et retenue mon souffle avant de toucher le cou de ma mère. D'un coup je recula et me mis a pleurer comme mon frère. Son pou ne battée plus....
Et mon père,...mon père !? Ou était t'il passer ? Avait 'il était éjecter de la voiture ? Je ne pouvais plus réfléchir, je ne pouvais plus bouger, je ne pouvais plus parler et tout se que je voyais était floutaient a cause des larmes.
Milles et une pensées me traversa l'esprit, mais je ne sus répondre a aucune de toutes. Je me recroquevilla au fond de mon siège et attendus que des personnes ou des secours arrivent, au beau milieu de cette maudite foret.
Je crois que je m'étais endormis au moment ou les secours étaient arriver, mon frere avait pris les choses en main après avoir pleurer longtemps sans bouger. Il faisait nuit noire et je ne voyais quasiment plus rien. Ma mère était partis dans un camion et mon frère parler avec une personne. Et moi, je pleurer, encore...
Je n'étais plus dans notre voiture, si on peut encore appeler ça une voiture. Celle dans laquelle j'étais sentée le neuf, elle avait des sièges en cuire et était du couleur plutôt clair. Elle était grande, un peut comme un 4/4. Tout le contraire de la notre.
Je ne me souvient plus de la dernière fois que j'a pleurer...je crois que c'était a l'école quand je m'était casser le poignet alors qu'un débile m'avait fait un croche patte. J'avais tellement mal au poignée se jour là, mais je n'ai jamais pleurer autant que aujourd'hui. Mais cette fois si, c'est diffèrent, je n'est pas mal au poigné, je ne pas mal a un endroit physique,...j'ai mal au cœur.
Ma mère n'est plus de ce monde maintenant, cette réalité, je n'arrive pas à la supporter. Mon père a du mourir aussi et mon frère, j'y est cru aussi. Mais non, lui est -heureusement- encore là ! Je ne sais pas ce que j'aurais fait sans lui ! Il est plus petit que moi pourtant il a gérer la situation comme si il n'était pas touché par ce qui se passer. Mais au fond je sais qu'il souffre autant que moi. Je pense juste qu'il n'as plus de larmes a verser ou qu'il sait dit que ça ne server a rien de se lamenter, ça ne ramènerais pas nos parents.
*****
Je suis maintenant dans une chambre que je ne connaît pas. Elle est assez petite, mais assez grande pour 2 personnes. Elle comporte une petit lit, sur le quelle je suis assise, une grande armoire en bois, un vieux bureau et un deuxième lit où mon frère dort.
Ca doit faire une heure que je suis assise sur ce lit et que j'écoute la conversation de la pièce d'à côté. Il parle de nous c'est sur mais je n'arrive pas à tout comprendre car il chuchote.
Mince, il n'y a plus de lumière sous la porte, il doivent surement être aller se coucher.
Je regarde mon frère, il a l'air si calme, comme si il avait tout oublier....s'ailler je me remet a pleurer. Je n'arrivait pas a dormir mais pleurer ça fatigue, non ?
Le lendemain :
Je me réveille péniblement, il fait noir dans la pièce mais je sais qu'il est tard. Mon frère n'est plus dans la chambre. Une seconde je panique : où suis-je ? Je me remémore très vite les évènement de la veille et me souvenir que je suis maintenant orpheline, me laisse échapper un sanglot. Je me blottis sous la couette et quelque minutes plus tard je décide de me lever.
J'ouvre les volets et vois un grand jardin, je baisse la tête et vois un petite arbuste en fleur. Il y a un petit vent mais il ne fait pas vraiment froid. Je saute par la fenêtre qui est au réez de chaussez et enjambe le laurier rose.
Je commence a marcher sur la petite terrasse de pierre. J'ai froid a mes pieds, nue. Je pose mes pieds dans l'herbe humide et commence a courir vers la foret, au fond du jardin. Personne pour m'en empêcher je me sens libre et j'oublie pendant quelques secondes tout les soucis que j'ai.
Une fois arrivé au bout de l'étendue d'herbe je me retrouve devant un grillage et cherche un portail. Un peu plus a gauche j'en vois un. Il est d'une couleur bleu canard et est enchainer avec un cadenas et une chaine rouiller. J'essaye quand même de l'ouvrir en tirant dessus. Il ne s'ouvre pas, évidemment mais je retente en tirant sur la chaine. Résultat j'ai juste user mes force et le portail ne s'ouvre pas.
Je décide de faire le tour du jardin. Il y a quelques arbres fruitier et fleur mais je ne vois aucun toboggan ou jouer pour enfants. Je pense donc que je suis chez un couple seul. Je me rapproche de la maison et trouve un pot de fleur casser je me penche pour voir si il y a quelques choses a l'intérieur quand j'entend une voix que je ne connais pas, m'appeler.
Je me retourne et découvre une femme de la trentaine, cheveux châtains, de taille moyenne et vêtus d'une longue robe a manche longue. Je la regarde mais ne m'avance pas vers elle. Elle choisit alors de faire le premier pas.
Elle : Que fait tu dehors ? Tu voulais t'échapper ? Je t'en supplie fait nous confiance. Nous voulons vous aider !
Moi : Je voulais pas m'échapper, je...je voulais visiter les alentours mais tous est fermer.
Elle : D'accord excuse moi.
Je ne comprend pas trop pourquoi elle s'excuse mais ca fait du bien de parler un petit peu.
Elle : Rentre a la maison, nous allons t'expliquer certaine choses.
Je la suis a l'intérieur et découvre une longue cuisine, je ne me rappelle pas d'avoir vue ça hier soir. Ensuite je vois un salon avec plein de fauteuils et une petite télé. Elle me fait m'assoir sur l'un d'eux et me demande si j'ai faim. Je secoue la tète, je ne peux rien avaler.
Elle : Tout d'abord je m'appelle Margot Rousseau et voici mon mari David.
David : Nous t'avons ramener ici avec ton frère, hier soir.
Moi : Ou est t'il ?!
David : Ne t'inquiète pas il est juste aller prendre une douche.
Margot : Vous allez rester ici quelques jours puis vous aller partir dans une famille d'accueil. Il faudra que Léo et toi nous aider a faire les papier. Si tu as n'importe qu'elle question, n'hésite pas a nous les posé ! Et nous voulions aussi nous présenter toutes nos condoléances.
David : Oui, on sait que ca n'y changeras rien mais nous sommes terriblement désoler. Est ce que tu as était blesser pendant l'accident ?
Moi : j'a juste quelques petites égratignures mais sinon non. Et mon frère ?
David : Il n'a rien ne t'inquiète pas.
Margot : Je vais te prêter quelques ancienne affaires a moi pour que tu puisse te changer.
Je marmonna un merci et la suivi dans une autres pièce.
VOUS LISEZ
L'accident
AdventureApres l'accident que c'est t'il passer ? Mina ne se souvient plus de grand choses mas une choses est sûr : ce n'était pas vraiment un "accident" ! Venez lire pour savoir.