IMPORTANT SI VOUS VOULEZ COMPRENDRE LA SUITENOTE : Il y a 13 ans le père de Louis, à couper les ponts avec sa famille sauf sa mère -Donc la grand-mère de Louis - et Louis. Mais M. Tomlinson (si vous voulez vous pouvez lui trouvez un prénom) étant juger par les services sociaux comme n'étant pas adapté a élever un enfant seul suite à la mort de sa défunte femme, car il sombra dans une depression et s'occuper de Louis du haut de ses 3 ans allait etre vraiment difficile. Donc William, c'est ensuite proposé pour obtenir le rôle de tuteur étant depuis toujours le gardien de Louis. M. Tomlinson ne put refuser, mais à ce jour, William est en prison. Le père de Louis a decider de laisser ce dernier chez sa grand mère pour qu'il s'occupe d'elle car elle est schizophrène. Evidemement à l'époque, personne ne savait que William était un criminel. Personne. A part Louis.
William est un serial Killer.
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Le matin même, Louis était tranquillement dans sa chambre dans l'espoir d'échappé à une énième crise d'hystérie de sa grand-mère - elles se multipliaient depuis quelque temps - lorsqu'il avait entendu un code 2-2-13 annoncé sur la fréquence. Autrement dit, on venait de trouver un cadavre. Louis avait attrapé son sac qui contenait déjà tout le nécessaire avant de sortir par la fenêtre de descendre le long de la gouttière. Autant éviter de croiser Grandma dans le couloir, cela ne servirait qu'à lui faire perdre du temps.Un cadavre à Culmington, ça n'avait rien de sensationnel. La dernière fois que c'était arrivé, la vie de Louis avait basculé pour ne jamais retrouver son équilibre. Depuis, de l'eau avait coulé sous les ponts, mais Louis avait parfois l'impression que plus jamais il ne connaîtrait une vie normale.
Tandis que les flics se rassemblaient autour du chef de police, Louis concentra son attention sur le corps. De loin, il ne semblait pas y avoir de signes de traumatismes sévères, pas de plaies par arme blanche ou à feu, par exemple. Rien qui saute aux yeux, mais Louis n'était pas dans une position idéale pour l'examiner. En tout cas, il est certain de deux chose : il s'agissait d'une femme et elle était nue. Logique. Les corps dénudé était plus difficile à identifier. Les vêtements fournissaient toutes sortes d'indications sur la victime, qui, une fois identifiée vous rapprochait du coupable.
《Tout ce qui peut ralentir les flics, débuta William, même de quelques minutes, te procure un avantage, Louis. Tu as tout intérêt à ce qu'ils prennent leur temps. À les voir lambiner comme des tortues, mijoter dans leur jus.》
Au travers de ses jumelles, il regarda son Paternel s'éponger le front avec un mouchoir à carreaux . Grâce à son expérience et à ses talents d'observation, Louis savait que les initiales 'TAT' y avait été brodées par sa grand-mère plusieurs années auparavant. M. Tomlinson en possédait pas moins d'une demi-douzaine, qu'il entretenait et chérissait avec soin. Il était le seul homme de la ville - et sans doute du monde - à faire nettoyer ses mouchoirs au pressing.
M. Tomlinson était un brave type. À première vue, on pouvait avoir l'impression qu'il se caricaturait lui-même, mais derrière sa bedaine d'amateur de barbecue et sa moustache tombante au couleur eau de vaisselle, se cachait un véritable maître d'ordre public. Louis l'avait appris à ses dépens. M. Tomlinson gérait la police de tout le comité de son bureau de Culmington, et sa réputation était connue non seulement dans la région, mais dans tout l'État. D'ailleurs, les officiers n'aurait pas dépêché sur place un type avec une caméra pour n'importe qui. M. Tomlinson avait de l'influence.
Balayant la scène avec ses jumelles, Louis aperçut le sac en plastique que son Paternel brandissait dans la lumière du soleil. L'espace d'une seconde, il n'en crut pas ses yeux. Mais la posture de son Paternel lui offrait une vue imprenable sur le contenu du sac.
Le cœur de Louis se mît à battre si fort dans sa poitrine qu'il craignit que son Paternel ne l'entende. Un cadavre retrouvé au milieu d'un champs était une chose. Ça arrivait. Un marginal. Un fugitif. Mais ça, c'était du lourd. Louis avait la désagréable impression que les regards accusateur n'allaient pas tarder à se braquer sur lui. C'était inévitable, disent-ils. Tôt ou tard, ça devait arriver.
Il passa donc en revue les alibis possibles. Comme le corps était relativement intact, il conclut sans mal que la victime avait dû être tuée au cours des six dernières heures, alors qu'il dormait tranquillement chez lui... Où seule Grandma était présente. On ne pouvait pas vraiment parler du témoin fiable.
Hayley. Elle mentirait pour lui s'il fallait...
Cette pensée fut presque aussitôt interrompue par le ronronnement du véhicule qui gravissait la cote.Si le champs semblait plat, il ne l'était pas tout à fait. La partie où le corps se trouvait était plane, mais un léger dénivelé se poursuivait vers le sud sur une centaine de mètres, et, en direction du nord, le terrain grimpait, un peu plus abrupt, sur une distance presque deux fois plus longue. Le véhicule qui cahotait sur la route était un vieux break Ford cabossé qui datait vraisemblablement d'une ère antérieure au sans-plomb. Sur la portière on distinguait une inscription nette et un peu prétentieuse : Médecin légiste de Culmington. Ce qui signifiait... Aussitôt, deux flics s'approchèrent en traînant entre eux une housse mortuaire : l'examen préliminaire de la scène de crime était terminé.
Louis observa le technicien de la scène de crime qui enveloppait avec soin la tête de la victime, avant de s'atteler au mains et aux pied.
《Toujours vérifier les pieds et les mains, lui souffla William par-delà le passé, sans oublier la bouche et les oreilles. Tu serais surpris de voir tout ce qu'on peut laisser traîner.》
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GUTEN TAG MDRR. :')
Le chapitre 2 est posté, j'espère que vous apprécierez, vos avis sont les bienvenue. :D
En faite j'ai pas pu attendre MDRR, du coup je l'ai fait fait dans la soirée et ça m'a pris 1h45. ;-; F'brff, Bonne soirée. X) /Il est 2:32 du matin mais Bon :DD/Bisous. :))

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Murder 》Larry Stynlinson
FanfictionC'était une belle journée. Le champ était superbe. Sauf qu'il y avait un cadavre. Fiction déconseiller au âmes sensibles. Couverture créer par @JessDrewBiebs, merci tu as fait une très belle cover je ne t'en remercierais jamais assez.