notre amour m'a sauvé

chapitre 2-

Elle descend ce qui fait que je peux la détailler de la tête aux pieds, elle est belle certes, elle a des traits, mais ce n'est pas elle.

Ce n'est pas ma Hinata.

Elle n'est pas là personne que je meurs plus d'envie de revoir un jour. Celle qui me procure encore l'envie de lutter contre ce destin si merdique.

J'ose espérer que peut-être, je devrais tout simplement abandonner en fait compte. Je ne la retrouverai peut-être jamais, et de faire en sorte d'accepter cela. Que c'est le sort qu'on m'a jeté.

Que c'est ça, ma vie présentement, et quelle y resterais.

- et bien, ils m'ont vraiment donné un joyau.

J'ai presque envie de lever les yeux au ciel. Peut-être qu'elle est jeune et belle, mais elle a la même attitude que toute, c'est pute, garce narcissique, riche que j'ai côtoyé.

Elle ne fait pas la différence, tout est simplement une question d'âge.

- suis-moi beau gosse, il est temps que tu montres tes preuves.

Elle se déhanche devant moi alors que je la suis d'un pas lourd, j'ai tellement envie de partir en courant et de me coucher pour une fois dans un lit seul et qui m'appartient. Malgré sa beauté, je ne la désire pas la moindre du monde.

Faut que je me fasse à l'idée.

Je suis peut-être asexuelle. Le désir n'a jamais fait partie de mon vocabulaire. En même temps, je n'est connu que le sexe qui venait de la femme et son désir envers ma personne et non l'inverse. Je connaîtrais peut-être jamais le désir, de savoir ce que les femmes ressentent quand elle couche avec moi.

Si seulement les choses auraient tourné autrement.

Si seulement ce jour n'aurait jamais arrivé. Me souvenant de chaque détail après avoir perdu la mémoire après ce jour si tragique qui m'a rendu ou je suis présentement.

Mais on ne peut plus regarder vers l'arrière présentement. Il ne faut qu'avancer. J'ai su que les choses allaient commencer à devenir sérieux quand mon pied a traversé le parquet d'une chambre qui semblait être la sienne.

Luxueuse, immense comme la plupart de ses riches capricieux. Je regardais son dos et je la voyais sonduler pour s'approcher de son lit montrant qu'elle était sur le point de me donner le signe d'avancer comme un toutou bien sagement. Même si Kyûbi était sûr que j'allais sûrement passer un merveilleux moment avec elle par la beauté qu'elle dégageait de mon côté, c'est tout l'inverse.

S'il la trouvait aussi canon pourquoi il n'a pas fait mon boulot à sa place ?

Elle s'assoit sur son lit et recule pour être maintenant au milieu me faisant signe que c'était le fameux signale. J'avais tellement envie de soupirer si fort pour qu'elle me jète de cette appartement ridicule.

Mais je suis le fameux bien vieux toutou tout gentil près à donner la patte et à dire oui à chaque demande.

Je reprends mes esprits, un voile d'acteur ce fait et j'affiche exactement ce fameux regard d'alpha que les femmes raffolent.

Cette dominance dans mes irises, ma carrure qui a l'air plus imposante. J'avance vers le lit d'un pas lourd et fort la faisant frissonner. Mon corps embarque sur ce matelas pour mettre maintenant ma carrure au-dessus la sienne montrant clairement ma dominance.

Mon visage au-dessus du sien montrant mes yeux aussi fort que celui d'un prédateur près a attaquer sa proie. Son visage décomposé par la force du désir que je lui procure et sa respiration irrégulière.