Blanc, Blanc ! Ô Blanc, terrible Blanc. Je suis perdu
Dans ta page vide infinie. J'erre sans but,
Naufragé des idées, porté par l'amertume.
Tel un marin perdu aux voiles arrachées,
Je suis le noble oiseau, avide de nuées,
Qui, trop proche du ciel, se fit bruler les Plumes.
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Les Plumes de mon esprit
PoesíaRecueil de poèmes composés au fil de mon inspiration Je rajoute des poème au fur et à mesure que je les écris donc le recueil grandira dans le temps
La Page blanche
Blanc, Blanc ! Ô Blanc, terrible Blanc. Je suis perdu
Dans ta page vide infinie. J'erre sans but,
Naufragé des idées, porté par l'amertume.
Tel un marin perdu aux voiles arrachées,
Je suis le noble oiseau, avide de nuées,
Qui, trop proche du ciel, se fit bruler les Plumes.