l'affaire kikimanjaro

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Chacun est assis, réfléchi ou essai de se changer les idées mais tu en es persuadé, si tu sors de cette salle s'en est fini pour toi, aucune chance que l'on te laisse t'en sortir. Mais tu as une idée. Tu te lèves,
_Je vais aux toilettes.
Tout les regarde se dirigent vers toi. Au fond, tu veux rire à plein poumons tellement cette excuse est minable. Mais tu te concentre et reste le plus ''toi même '' possible,

_Quoi?! Quelqu'un veux venir m'aider ? Non mais c'est quoi votre problème à me fixer comme ça ?

Sur ce, tu te diriges vers la porte, l'ouvres, et sors. Ouf. Personne n'a rien dit tu es tranquille, mais autant se dépêcher car si tu t'éternises ils se douteront de quelque chose.
Tu traverses la maison et trouves la deuxième entrée qui mène à la cuisine. Tu entres, la simple vu du corps te dégoute mais pas le choix ! Tu t'avances et observes. Il à la tête est plongée dans une flaque immonde de sang, autour, aucune trace, ni de lute ni de potentielle ''arme du crime''. Donc tu en retournes à la tête, il a forcément été attaqué par derrière.
Tu retournes le corps et aperçois un trou au milieu de la nuque, sûrement causé par un couteau.

Avec le peu de temps dont le coupable a dû disposé et un peu de chances, il doit encore l'avoir sur lui !

Tout à coup tu entends un grincement désagréable, quelqu'un ouvre la porte.

Vite tu dois te cacher! Tu jettes un rapide coup d'oeil à la pièce. Le placard. Les chaises. L'armoire. Non toutes ces cachettes sont nul !
Vite, tu vois la table et court te cacher derrière !

L'individu entres, tu retiens ta respiration, tu as peur qu'elle te trahisse.
Quelques bruits de pas...
L'attente est insoutenable, le stress s'empare de toi.
Une respiration faible se distingue dans le silence, c'est la sienne.
Tu n'oses pas regarder qui se trouve dans la pièce.
Un petit bruit métallique se fait entendre, comme si on ramassait un petit objet sur le sol. Un couteau !

C'est pas possible, commences-tu à penser, j'ai rien vu tout à l'heure. Ça veut dire que je n'ai pas assez fait attention.
Ah ! J'en ai marre de moi, c'est pas vrai !

Les bruits de pas reviennent mais paraissent s'éloigner, la porte grince une nouvelle fois. Il est sortit.

Enfin, tu respires. Tu t'allonges au sol. La peur est encore présente. Mais au moins maintenant tu est sûr que l'arme du crime est un couteau, et que le tueur l'a sur lui en ce moment même ! Tout ça te fais réfléchir.
Qui as bien pu tuer ce pauvre homme de sang froid avec un couteau ? Et pourquoi ?
Tiens, le ''pourquoi'' ne t'était toujours pas venu à l'esprit, en effet, accuser quelqu'un sans avancer ses motivations risque de s'avérer dangereux. Mais pour connaître la réponse il va falloir discuter avec les autres invités.
Et quoi de plus facile pour quelqu'un d'aussi peu sociable que toi, un sourire nerveux s'échappe. De pire en pire.

Tu retournes donc dans la salle à manger t'assieds à une table et regardes l'ensemble des invités, par qui commencer...?

Va en 7