Chapitre 17

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Pdv T/p :

Je restais bloquée dans les bras chaud de Lucas incapable d'en sortir. J'ai tellement honte. Lucas me tenait fermement contre lui en me caressant le dos. Je reprenais légèrement mes esprits quand mon père entra dans la chambre.

Zakley : Lucas, tu peux nous laisser seul s'il-te-plait.

Lucas : Oui. Dit-il en se décollant de moi. Je m'essuyais le visage avant que mon père s'installe à coté de moi.

T/p : Tu as quelque chose à me dire en particulier ?

Zakley : Oui. Ecoute, si avec le neveu de roi tout se passe bien tu te marieras avec lui. Ce serai bénéfique à notre famille. Ce garçon est l'héritier du trône d'entre les murs. De te savoir en sécurité à la capitale me rassurait. Nous avons bien vu tes qualité exceptionnelle entant que soldat mais parfois il faut savoir honoré sa famille et son titre.

T/p : Je sais. Mais je n'en ai pas envie. Dis-je froidement.

Zakley : Je sais mais écoute malheursement tu feras ce qu'on te dira que ça te plaise ou non...

T/p : Je ne pourrai pas avoir une place chez les brigades spéciales ?

Zakley : Je ne sais pas. Je verrai avec le chef de la 1ère division. Tout dépendra de ton entrevu avec le neveu du roi, compris ?

T/p : Oui. Merci papa. Dis-je en le serrant dans mes bras.

Zakley : Je suis désolé je dois y aller, je dois régler des choses dans le centre.

T/p : Non vas-y t'inquiète pas.. à force on s'y fait. Dis-je en lui adressant un petit sourire. Mon père quitta ma chambre pour me laisser en plan seule. J'essuyais avec ma manche la larme qui coulait sur ma joue. Je soufflais un bon coup avant de sourire.

C'est pas grave. Tout cet enfer n'est pas grave.

Je sais, cette phrase sonne horriblement faux. Je quittais ma chambre pour aller dehors. Je passais par un autre accès pour trouver un joli banc sous un arbre. L'automne peut déjà bien se faire sentir, la température est froide. Toutes les feuilles d'arbres sont maintenant jaunes et oranges. Certaines sont mêmes déjà rouges. Je souriais à la vu de ce paisible paysage alors que en réalité ce n'est absolument pas comme ça. Pensais-je ironiquement. Je restais là caché sur mon petit banc jusqu'à la tombé de la nuit. A mon retour au QG mon père et ma tante étaient partis. Heureusement.

Je remarquais que le réfectoire était bien animé, c'est l'heur du repas. Je passais discrètement devant ce dernier avant de monter à ma chambre. Avec ma jambe je dois quand même dire que ma rapidité est considérablement réduite. En ouvrant la porte de ma chambre je remarquais un petit papier au sol, je le prenais en main pour le lire.

"Retrouve moi ce soir au banc caché derrière le QG, je t'attends pour 22h, ton admirateur."

C'est quoi ce mot ? Une plaisanterie sûrement, mais bon je veux savoir qui ce moque de moi. Un minimum. Je lisais un livre en attendant impatiemment 22h. Une fois l'heure du rdv je quittais ma chambre en fessant le moins de bruit possible, sachant que la chambre du caporal est à coté de la mienne. Après plusieurs minutes d'effort car les béquilles ça tue, j'arrivais dehors. En m'approchant du banc je distinguais la souhaite de Marc. Pourquoi il est là ?

Je m'installais à coté de lui.

Marc : Sa-salut.

T/p : ça va ?

Marc : Oui oui et toi ?

T/p : Oui, mais j'attends quelqu'un ça te dérangerai pas de changer d'endroit ?

Marc : T/p c'est moi qui..

T/p : -T'en fait pas je vais pas rester longtemps. Dis-je en le coupant. Il soupira.

Marc : C'est moi qui t'es envoyé le petit mot.

T/p : Comment ça ?

Marc : Je voulais te parlé.

T/p : Tu sais pas besoin de noté ton admirateur secret, je serai quand même venu sans que tu me mente.

Marc : Mais qui te dit que je mens ?

T/p : Je ne sais pas ça me parai logique.

Marc : ça te parai si improbable qu'on puisse s'intéresser à toi sérieusement ?! je ne répondais pas et baisé la tête. Je te le dis tu te sous-estime bien trop. Dit-il en colère. Il quittait soudainement le banc et commençais à partir.

T/p : attends ne part pas comme ça.

Il s'arrêtait et me tournait le dos.

T/p : Je-je n'ai jamais rien connut que l'amour de mon frère. D'avoir des amis qui s'intéressent à moi c'est tout nouveau. Et je sais que je dois m'améliorer.. J'essaye de faire de mon mieux. Je marquais une pose avant de reprendre, j'avais toute son attention. Mais si tu veux nous pourrions aller au bal ensemble.. ?

Marc : Au bal ?

T/p : Ah, oui c'est dans 15 jours mais le major n'a pas encore fait l'annonce probablement pour s'organiser.

Marc : D'accord je vois.

Comprenant qu'il venait de me mettre un gros vent je me levais un peu vexé. Je m'apprêtais à rentrer quand il m'attrapa la main.

Marc : T/p, tu veux venir au bal avec moi bien que je sois un piètre danseur ?

T/p : T'es bête ! Mais oui je veux bien !

Marc me prenait dans ses bras avant de me faire décoller du sol pour me faire tourner dans ses bras. Je criais un peu en rigolant.

Marc : Oui ! Oui ! HAAA !!! Il me reposa au sol tout rouge, un grand sourire sur le visage.

T/p : Je vais allée dormir, j'ai eu une longue journée. Dis-je avec un petit rire.

Marc : Je-je te raccompagne ! Dit-il au car de tour. Il posa sa main sur ma hanche pour m'aider à marcher voyant bien que je galérais. Une fois dans le bâtiment nous tombions nez à nez face au caporal chef. Ce dernier me dévisage et je fis de même.

Caporal Chef : Pourquoi vous n'êtes pas dans vos chambres ? Dit-il froidement.

Marc : Nous march-

Je le coupais.

T/p : Rien qui ne vous regarde Caporal. Allons-y. Dis-je accélérant le pas. Livai lui resta derrière nous sur le cul face à ma réponse. Il sait pas ce mêler de ce qui le regarde, pour qui il se prend ?! qu'il retourne voir georgia.

Nous marchions doucement dans le couloir, Marc me tenant par la taille pour m'aider à marcher. A ce moment précis je n'arrive limite plus à respirer et j'ai le coeur qu'on at a deux mille à l'heur. Je suis sûre qu'il l'entend. Nous arrivions finalement devant ma porte. Je m'arrêtais prête à entrer, je tournais la tête pour croiser le regard de Marc. Lui aussi a les joues rouges.

Marc : Bon-bonne nuit T/p !

T/p : Bonne nuit. Dis-je en lui souriant, ce dernier partit de ma chambre en fessant plein de petits bonds de joie. Je rentrais dans ma chambre pour m'écrouler sur mon lit, il m'avait manquer. Je me retournais pour me mettre sur le dos, je posais ma main sur ma tête.

C'est donc ça le sentiment d'être heureuse ?

Ai-je le droit d'être heureuse ?

De plus je vais peut-être devoir me marier avec le neveu de roi.. je ne peux pas..

Toutes sortes de questions me traversaient l'esprit, je m'endormis contente mais inquiète comme à mon habitude.

Livai x Reader, ensemblesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant