Livai x Reader, ensembles

Chapitre 35

Pdv Livai :

Je quittais la maison des Zakley le coeur lourd. La savoir loin de moi me rendais étonnamment anxieux. Je prenais place dans la calèche et repartais au QG du bataillon. Plusieurs plus tard j'entrais dans l'enceinte du château. C'était déjà l'heure du diner. Je me rendais dans le réfectoire, je le trouvais dans un état particulièrement calme ce soir. Je me servais et m'installais à la table des supérieurs. Je pouvais voir la table de mon escouade mélanger à la 105e bien calme.

Sans T/p..

Tous semblaient étrangement calmes et inquiets. Surtout sur Zakley. Dès que sa soeur n'est pas dans son champs de vision il est inquiet même si il ne le montre pas à sa soeur. Je sortais de mes pensées quand Hanji m'interpela.

- Pas vrai que le ménage est la chose la plus chiante a faire au quotidien. Je ne l'écoutais absolument pas et répondais à coter de la plaque.

- Oui oui. Dis-je en pensant à T/p.

- Livai ! Tu ne m'as pas écouter. Je lui accordais alors mon attention. J 'ai dit que le ménage était chian et tu as répondu oui. Tu stresses parce que la princesse T/p est retournée dans sa forteresse ? Me demanda-t-elle avec son regard de perverse. Je me massais la tempe étant prit au piège dans mon propre jeux.

- Arrêtes de dire de la merde la binoclarde. Je suis pensif par rapport à notre expédition de demain matin c'est tout. Dis-je en lui jetant un regard glacial. Elle jeta un regard complice à Erwin mais n'ajouta rien. Je me levais alors mais avant de quitter la table je rajoutais une dernière chose : Je vous m'éprisse tous les deux.

- Autant que tu m'éprises T/p. Dit Erwin. Je lui jetais un regard glacial. Si je rentre dans leur jeux, ça va être juste sans fin. Je montais dans mon bureau et en entrant dans se dernier j'eu un léger pincement au coeur de ne pas voir la gamine sur le sofa entrain de se plaindre qu'elle s'ennuie. Je m'installais et finissais les derniers papiers avant l'expédition de demain.

Le lendemain matin

Nous étions tous sur nos chevaux prêt à partir. J'expliquais le but de cette expédition à mon escouade.

- Cette expédition n'a pas pour but de tuer des titans principalement mais d'établir une base après la forêt près de Maria. C'est bien clair pour vous ?

- Oui Caporal chef Livai. Répondirent-ils tous en coeur. Nous partions alors nous mettre en place dans la formation. Nous nous rendions à Karanese pour le départ. Une fois sur place les gens nous insultaient d'être des monstres envoyant les soldats à leurs morts juste avant les fêtes de noël. Soudainement mon regard resta bloqué sur une personne sautillant dans la foule une cape sur la tête, deux personnes à ses côtés essayant de la raisonner. Mon coeur loupa un battement lorsque je vis l'enseigne du bataillon sur la cape.

Les ailes de la liberté.

T/p était là. Elle agitait ses bras de sorte qu'on la voit. Et cela fonctionna, mon escouade aussi la remarqua.

- Aller les gars ! Montrez à ses titans qui est le bataillon d'exploration et qu'ils ne gagneront pas contre l'humanité. Dit-elle en cirant. Je voyais les jeunes de mon escouade se tourner vers elle et souriaient lorsque le regard de la blonde croisa le leurs.

- Mademoiselle ne cirait pas si fort. La raisonna madame Martin. Mon escouade lui faisait des grands signes montrant leurs affections à leur amie. Je la fixais attentivement avec un regard sombre, elle ne m'avait pas écouter. Elle était sortie malgré toutes mes interdictions. Dès qu'elle reprend l'entrainement elle va enchainer les tours de terrain la gamine. Quand son regard croisa le mien elle me fit un petit sourire gênée sachant très bien que j'allais la pourrir. Madame Martin et Monsieur François on l'air de le savoir aussi vu comment ils la regardent inquiets. Je fus rappelais à la réalité quand Erwin ordonna le commencement de l'opération. Je me tournais vers mon escouade pour leurs ordonner notre départ. La cohésion de l'escouade était beaucoup mieux depuis que Georgia était partie dans celle de Hanji. Je jetais un dernier regard à T/p avant de quitter l'enceinte des murs. Je voyais son frère s'attarder et prendre du retard en discutant avec sa soeur. Je m'approchais de lui pour le rappeler à l'ordre.