MY DEAR CRUCH

Lin ADRIEL

Aimer

Qu'est-ce que veut dire ce mot? Disney l'attribue comme être quelque chose de vraiment puissant, cosmique et magique. D'autres disent que l'amour est la plus belle chose qui dépasse tous les merveilles du monde pour l'homme.

Mais, toutes choses ont son faille de fabrication. Cette propriété n'est pas en fonction de la destin, on est d'accord, ni du coup de foudre. Ce n'est ni de l'art, non un conte de fée. Parce qu'on ne peut pas le rendre plus banale que la vie quotidienne.

Car ce mots amour, peut-être aussi négatif et machiavélique. Qu'est-ce qu'on ne fait pas au nom de l'amour?

Dire JE T'AIME, peut être un pêcher, un crime, se tourner en faiblesse et même nous hanter en phobie. C'est périsable les semblants d'amour sans son absolutisme et son authentification.

Pourtant, dans tous ces profils de l'amour, il y a l'innavouable. Lorsque tu aimes quelqu'un que tu ne devrais pas aimer, cela devient de la souffrance qui nous ronge a petit feu.

Je ne sais pas trop quand ou comment cela a commencé, cette fiscation qui c'est transformer en admiration, puis en obsession et évoluant totalement en amour.

Adriel, je me présente Adriel LIN; blond aux yeux bleue, ado dans la 17 ème anniversaire avec un corps d'un moustique qui ne pratique ni le soccer, ni le hockey, d'1 m 76 de taille, et surtout gay non officiel. Cela est l'un des choses que je ne risque jamais de l'avouer publiquement, même à mes géniteurs.

Mais il ne faut jamais dire jamais. Puisqu'un jour ou l'autre, je serai dans l'obligation de faire mon coming out.

A part cela, il y a aussi Djin MATTIS. Le beau brun aux yeux de biche, le capitaine de l'équipe de basket de notre lycée, le futur basketeur professionnel qui peut succeder LeBron James, le mec cliché dans tous les films de collègiens, l'international boyfriend de tous les filles, est mon cruch.

Autant dire que c'est mon plus grand secrèt. En fait, je suis amoureux de mon meilleur ami, ou plutot de mon ancien meilleur ami depuis de cela très longtemps.

Ou peut-être que j'avais eu un coup de foudre dès notres premières regards en siscième. Il était le bad boy du collège qui se rebelle contre toutes formes d'obligations et devoirs. Jusqu'au preuve de son titre, son belle réputation, sa préstance, son charisme hors du commun et particulierement sa gentillesse démésurer, il est le soleil de tout le monde et de mon coeur. Et moi, j'étais et je suis toujours le petit geek, uber discret, asocial, rat de bibliothèque et toujours premier de la classe.

Mais, il ne faut jamais éspèrer l'embrassade entre le soleil et la lune. Une chose qui ne va jamais se produire.

Tout compte fait, qu'il a, non, on s'est arreté de fréquenter d'un coup, sauf pour demander les exercices et qu'il est toujours trainé avec tout son classe social: les gens populaires.

Avec ses charmes, il est comme un aimant, qui attire les regards des mondes surtout les filles, les plus belles, les plus classes, les plus riches et les plus capables. Et je m'angoisse de plus en plus qu'il finisse par succomber à tous ces balades et tentations. Car, il reste un homme!

Même si jusqu'à present, nul n'avait fonctionné. Va savoir pourquoi mais tant mieux pour moi et tant pis pour elles. Bon, je ne me lasserais jamais de le contempler, même si je suis tapisé dans l'ombre pour admirer ce beau apollon.

Et pour ne rien arranger à ma santé mentale, je vais squatter chez lui pendant une semaine. Comme mes parents partant pour affaire à l'étranger, ils me laissent donc en gage de sécurite, chez les Mattis, un bon ami à moi? Ce qui devrait être encore le cas, mais plus d'actualité depuis le debut de notre vie de lycéen.