CRUCH : My Dear

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Tring Tring

C'est déjà le matin? Comme je suis lourd, ne peut ni bouger, ni sentir mes pieds et en plus je me sens si chaud. Depuis quand le divan est confortable comme tel? Qu'est-ce que c'est ce truc qui s'élève pour me dépraver de mon couverture de chaleur?
Je me réveille après un long attente qui commence à froidir. Djin est venu en me secouant pour qu'on se prépare. Attend. Je suis dans son lit. Ce qui veut dire qu'il m'a transporte du divan jusqu'ici?

-Kiaaa!!

Comme ce n'est pas suffisant, il a eu la bonne idée de poser son front contre le mien, alors que je suis sur d'être rouge pivoine. Même si je me suis automaîtrise pour ne pas frissonner avec ses contacts, je l'ai poussé.

Non, mais c'est quoi ce mec cliché tout droit sortie d'un manga japonais, avec ses yeux envoutants presque cacher par ses cheveux, ce corps d'athlète d'un jeune de 18 ans, avec ces longs jambes/il est en caleçon. Même dans sa chute, il semble être trop irréel.

Au lieu de l'aider, je file me planquer dans le douche adjacent à sa chambre. Environ 30 minutes après, en repoussant le moment fatidique, je suis sorti avec seulement une serviette a la hanche. Ce n'est pas que je suis pudique mais je ne veux pas le croiser.

Malgre mes prières qui furent vain, je me prépare à la va vite d'enfiler un simple black outfit qui se résume à un jean et tee-shirt oversize. Après je m'accours pour prendre seulement une pomme et une bouteille d'eau pétillant a la cuisine, enfiler mes vans et récupérer mon sac avant de le laisser seul derrière.

Avec les run run de ce matin, j'ai oublié de vérifier mes affaires, résultat, j'ai pas pu rendre mon contrôle de philo. Sans parler du menu à la cantine de la pause déjeuner, ragout de légumes et riz au riz. C'est vraiment pas ma journée!

-YOo le GAY fait gaffe!

Je n'ai rien compris à ce qui se passe, jusqu'à ce qu'un ballon de basket entre en ma collision pour me faire perdre l'équilibre et renverser mon repas sur mes affaires. Alors que je crie de souffrance de brulure, j'entends les populaires et presque la moitie des élèves qui rient de mon ressort.

-Pardon que tu ais reçu mon passe.

D'apres l'intonnation et l'accent, il s'agit de Djin. Je n'ose pas le regarder dans les yeux, avec les larmes qui perlent sans mon autorisation.

-REGARDE LE PD PLEURE!

C'est l'un des populaire qui l'a dit à vive voix. Le pire de tout, c'est que tout le monde s'est mis à redoubler de rire. Les moqueries s'élèvent, tout comme les insultes. Avant que je puisse synchoniser normalement moi même avec mes actes, qu'un de mes poings blessé, s'abbat déjà sur le visage de ce que je crois être Carter.

Je n'ai pas attendu quoi que ce soit des 3 avant de m'enfuir de la pour rentrer. Je n'ai repris mon souffle qu'avant d'avoir récupérer tous mes affaires chez les Mattis et fermer la porte de ma maison.

C'est un cauchemard cette journée, je voudrai m'en réveiller. En broyant du noir, je crie d'injustice, pleure de rage, me lamente sur mon sort. Pourquoi moi et pourquoi lui? Pourquoi je suis comme ça et qu'est-ce qui est mal d'est soi?

Je crache avec haine des injures à tous ces populaires de mes deux, des petits merdeux sortis tout droit sortie des beaux cartiers, qui se croient plus malins que les autres, des fils à papa et inbus d'eux même. Ces gens là me répugnent tellement, et pourquoi Djin traine avec des trucs négatifs pour la société comme ça?

Depuis que j'ai fuit le lycée, il y a de cela deux jours, que je me suis planqué ici chez moi. Mon téléphone n'arrête pas d'émettre des sonneries de notifications d'appels et de messages. Je devine déjà ce qui est là dessus.

MY DEAR CRUCH Où les histoires vivent. Découvrez maintenant