Mattis DJIN

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Pdv de Djin Mattis:

Mon Adriel, son corps écrase le mien sur son canape depuis hier soir, autant que ses lèvres sur les miennes depuis son reveil. Et je profite de chaque moment passe à ses cotes. Il ne sais pas mais lui, ce petit, je l'aime depuis nos premiers regards. Lui, l'ange mystique qui à voler mon cœur. Je le désire, veux le cherir chaque seconde, le proteger, le faire sourire, avoir tout son être.

L'atmosphère devient de plus en plus torride que je ne saurais dire d'adorer ou d'abroger notre roucoulement. Je l'ai bien cherche avec mes chatoullis, bisous matinale et ajout de mes regards de defi.

Mais son corps n'est pas fait de plume de oie, m'etouffe. En plus, il profite trop de son position de dominant qui ne me plait pas un peu.

Avant de bien changer la donne, je grogne contre sa bouche et nous faire basculer sur le cote d'un coup de hanche. Enfin, mon mémoire de poisson rouge m'a fait oublier qu'on est sur un canapé. Adriel tombe sur son dos et me récéptionne. Merde, ce n'était pas ce que j'avais prévu.

Son hilare a le mérite de me détendre, malgré le fait qu'il soit rattatinner sur le plancher et doit supporter mes 76 kilos. Je me redresse sur mes poignets pour ne pas trop l'oppresser, ni trop le liberer pour autant, le maintenant prisonnier sur le tapis. Mes yeux dans les siens, en décelant son envie dans ces mares d'ocean de bleue limpide. Celle que je refusais de me noyer avant.

-Ma sauvagerie ne te plait pas?

J'ignore ce qui me rend si impetueux, mais mon dedain, qui semble le contenter.

-Si mais j'aimerais mieux éviter un accident, sinon il y aura toute un monde fous, des populaires et une équipe doublée d'un coach qui risquent de nous tomber dessus.

Mon blond semble d'un humeur plaisant, du moins en partie car en évoquant mes stupides amis, le refroidit carrement. Des bandes de cretins sans cervelles, je reconnais.

-Rien que pour les narguer, j'aurais presque envie de t'abim ...

Je ne lui donne pas l'occassion d'aller plus loin. Mes lèvres accaparent toute son attention quand elle entre en contact avec les siennes. Mes doigts se faufilent sous son tee-shirt pour en délécter de son corps d'une peau si laiteux, au fil de notre échange, en entrainant un long descente jusqu'à son bosse qui se dresse sous son pantalon.

La au moins, je n'ai pas de doute sur ses envies. Quand je suis sur le point de dezipper son jean, il me stoppe.

Son souffle haletant glisse sur ma peau et ses pupilles brillent d'une intensite etrange. Pourquoi m'arrêter si tout son corps brule pour moi?

-Embrasser au premier contact du rendez-vous est une chose, mais rappele toi de notre devise de ne pas coucher le premier soir, dit-il avant de m'adresser un clin d'oeil.

J'en reste pantois. Ce petit ange! De nouveau, un tas de pensées me traversent l'ésprit, des idées sombres, d'autres un peu moins. Je commence a me demander s'il ne s'agit pas d'une vengeance. Peut-être n'a t-il jamais eu l'intention d'aller loin avec moi, ou simplement de me torturer.

Non!! Absolument tout en lui exprime un desir intense, il ne peut pas jouer si bien la comédie. Fait-il cela pour me préserver? Me donner confiance? Ou la chance de lui prouver que j'en suis un homme bien en dehors des réputations que je me suis batti quand j'étais égaré loin de lui.

Enfin du compte, sa remarque m'arrache un sourire et sa facon de me regarder me plait. Finalement, c'est moi qui me retrouve frustrer que cela n'aille pas plus loin, alors qu'on a passe le cap de déclaration hier soir. Mon cerveau essai encore d'assimiler le fait que son intention puisse être honnete, qu'il tienne réelement la dureté de ce nous. Mais mon cœur est touché, en ne pensant pas que cela se produirait un jour. Qu'est-ce qu'on fait et lui en train de faire sur moi?

-Que dirais tu de pancake garni de sirop d'érable en guise de petit déjeuner? dit-il
-Et si je nous prépare un pizza quatre fromage?
-Non! Je ne te laisse never seul dans mon cuisine. Autant commander directe au risque d'avoir une journée de nettoyage tellement tu foutais n'importe quoi.
-J'ai beaucoup appris depuis ce désastre en quatrieme!
-Mon cul ouais.
-Il est parfait t'inquiete.
-Pervers fini!

Je me marre sans me soucier de ses coups sur mon corps. Ce moment est simple mais revigorant, vraiment plaisant. Pour la première fois depuis longtemps, j'ai l'impression d'être enfin à ma place quelque part.

Un sentiment de pleinitude que j'aime bien. Mais que je crains que cela vole en éclat un jour. Pour le moment, j'essaie de ne pas y penser. Surtout quand il a un si beau sourire. Et j'en profite de lui voler un baiser avant de me lever pour destination sa cuisine.

-Djin Mattis retourne toi ici immédiatement! JE T'AIME MAIS LAISSE MA CUISINE TRANQUILLE.
-JE T'AIME AUSSI MON ADRIEL CHERI!

à suivre

MY DEAR CRUCH Où les histoires vivent. Découvrez maintenant