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Bonne lecture ;)

A midi, j'étais enfin de retour chez moi. Je rangea mon vélo dans le garage, mon père assis à la table de la cuisine, me jeta un bref regard quand je traversa la pièce pour monter dans ma chambre, sans un mot. Pressé de m'enfermés à nouveau dans ma chambre, je bouscula mon frère dans les escaliers,
- T'es enfin de retour, je croyais que tu passerais la journée dans les bras de ta chérie, il a dit ironiquement. J'ai levé les yeux au ciel.
- Elle aura bien voulue, j'ai esquissé un sourire. Ce fut à son tour de rouler des yeux.
- Ravi pour toi, on mange dans vingt minutes. J'ai hoché la tête et cette fois je partie m'enfermer dans ma chambre. Je me suis changée rapidement, dans le miroir j'ai pu voir les traces violacé qui me parcouraient le corps. Je me suis entendu sur mon lit, n'ayant pas le temps de faire quelque chose de plus productifs avant qu'on ne m'appel pour manger. J'avais littéralement mal partout, les courbatures me parcouraient chaque partie de mon corps. J'allais passé la journée dans mon lit pour travailler, cela fesait lontemps que ce ne m'étais pas arrivé mais c'était génial.
Quelques minutes plus tard je suis descendu manger, comme à leur habitude mes parents ne m'ont pas dit un mot de plus que " bonne appétit " et mon père a fait la discussion à lui seul, on se contentait de l'écouter parler. Ennuyant à mourir. Je suis retournée dans ma chambre aussitôt le repas terminé. Fatigué et sans motivation j'ai fumé une clope avant de me mettre au travail. Quand 4h et demis de l'après-midi sonna j'avais terminé, j'ai poussé cahiers, feuilles et classeurs qui s'entassaient sur mon lit par terre, le tout c'est effondré avec fracas. Tant pis, je rangerai plus tard. Sans prendre la peine de bouger plus je me suis allongée et me suis endormi presque aussitôt. La deuxième chose que je fesais le plus souvent lors des long week-end d'hiver. Dormir, faire la sieste tout l'après-midi après avoir passer des heures à travailler, faire des nuits de 13h, faire des micro siestes dès que je le pouvais. C'était un moyen comme un autre de tuer l'ennuie. En plongeant dans le sommeil j'ai eu une pensée pour mes deux semaines de vacances qui allaient être les plus longues de mon existence. Évidemment on restait ici, à Sunnyvale, évidement puisque père devait rester en tant que chef de la police. Il était en congé seulement au réveillon et une semaine lors des vacances d'été, par choix. Et évidement comme c'était Noël nos grand parents seraient là, je les détestais bien moin que mes parents mais ceux du côté maternelle nous chouchoutait comme si moi et mon frère étions des bébés et pesaient notre vie parfaite, en bref ils étaient lourd. Ceux du côté paternel en revanche n'en avait que faire de nous, nous parlais uniquement pour nous adresser une reproche, désagréable au possible. Alors je passerai ces deux semaines enfermés dans ma chambre à travailler ou à dormir, si les Berman restent je tenterai peut-être d'aller voir Ziggy. Un des programmes des plus ennuyant je devais me l'avouer mais ce serait déjà mieux que les vacances d'été avant mon entrée au lycée. J'étais restée enfermés dans cette même chambre pendant deux mois enchaînant crise d'angoisse sur crise d'angoisse à l'idée de décevoir mes parents. Cette époque était résolu depuis bien longtemps à présent mais elle avait bien laissé quelques cicatrices qui menacerait de s'ouvrirent à nouveaux si cet année partait en vrille. J'ai essayé de chassé les souvenirs qui m'avait envahit à cette pensé, étonnament après avoir menacé de verser quelques larmes au souvenirs de la discution que j'avais eu avec mon père j'ai finit par chassé toutes ces pensés loin dans mon esprit et je me suis finalement endormi pour de bon.

- Enfin les vacances !!
- Pas sur que enfin soit le bon terme.
- T'aurais dit quoi ?
- Enfer et damnation c'est les vacances dans 5 jours.
- T'es la seul personne sur terre à détester les vacances tu sais ?
- Peut-être bien. J'ai répondu à Thomas, assis sur les marches de l'escaliers de secours, fumant une clope.
- J'ai envie de fumer un joint et de me défoncés. J'ai dit.
- Mauvais idée, on est au lycée je te rappelle.
- Et alors ? Il a levé les yeux au ciel.
- Les 6 dernières fois ça à mal finit.
- Cinq, je l'ai corrigé. Et puis t'es mal placé pour parler.
- Pff... moi au moin je me suis pas retrouvé à voler le bureau du proviseur.
- Peut-être mais t'étais à deux doigts de cramer le bahut.
- Conclusion, c'est pas à refaire.
- J'ai quand même envie.
- Si t'as besoin de t'amuser t'as cas déclenché l'alarme incendie, c'était vachement drôle la dernière fois. Mon regard c'est posé sur le boîtier rouge à notre gauche, me remémorant notre dernière semaine de secondes. On était au même endroit, ce plaignant que la vie était ennuyante. J'avais eu l'idée de déclencher l'alarme, de créé la panique, on c'était marré Tom et moi ce jour là.
- Pas envie de désordre, juste de planer un peu. Il a soufflé désespérer.

J'avais mal au mâchoires à force de sourire, à force d'afficher un sourire forcé pour pas que grand mère et grand père Goode facent de réflexion. Mais je préféraient encore ça à une engueulade le soir de Noël, alors j'ai souris, répondant à leur questions sur les cours, mimant l'enfant model qu'ils voulaient voir.
- Comment ce passe les cours Hanna ? Demanda grand mère Goode, j'ai affiché un sourire.
- Très bien, j'ai obtenu les félicitations au dernier trimestre.
- Oui Hanna ce débrouille vraiment bien, aussi brillante que son frère. A ajouté mon père. La remarque, même si elle avait pour unique but que grand père Goode félicite notre père, m'a fait tout de même plaisir.
- On est très fière de toi !! A dit ma grand mère maternelle avec le sourire.
- Oui enfin attendons tous de même de voir les résultats des examens de fin d'année. A gomelé mon grand père paternel fesant taire la joie de ma grand-mère. Un silence c'est abattu que je me suis empressé de briser.
- Grand-père ? Il c'est tourné vers moi. Tu seras là à la remise des diplômes n'est-ce pas ?
- Évidemment. Il a répondu sèchement. J'ai souris intérieurement, il serait là, il serait la pour regretter chacun de ses mots lorsqu'il disait que je ne pourrai mieu réussir que mon frère. La discution à repris et le repas fut interminable. Il était minuit trente quand notre mère déclara que mon frère et moi devions aller dormir. On n'a pas protesté bien trop heureux d'échapper à l'engueulade entre notre père et notre grand-père qui finnisait toujours par éclater. Une heure plus tard plus un bruit n'habitait la maison. Entendu dans mon lit je réfléchissais sans arrêt. Une semaine de vacances c'étais déjà écoulée sans que je trouve le moyen d'aller trouver Ziggy. J'ai attrapé mon pul le plus chaud et ma veste, ai enfilé un jeans qui trainnaient, et je suis déssendue sans faire le moindre bruit. La semaine c'était avérée comme je l'imaginais, à chose près que je coulais sous les devoirs et révisions, mais dans 3 jours environ je devrais avoir finit. J'ai traversé la cuisine jusqu'à la porte qui mennnait au garage sans imaginer ce qui se passerais si quelqu'un autre que mon frère avait l'envie de me réveiller, mal sûrement. J'avais dû faire le mûr seulement trois fois et j'étais pas très rassuré mais tout ce passa sans encombre et j'étais à Shadyside, devant la maison des Berman, quelques temps plus tard. Me balançant d'un pieds â l'autre devant sa fenêtre, j'hésitais. La lumière était allumé, sa chambre était la seul pièce de la maison allumé en réalité. Malgré mon pul, ma veste et mes gants je tremblais de froid. C'est ce qui m'a convaincu. Me mettant sur la pointe des pieds j'ai frappé trois coups à peine audible.

J'espère que ça vous a plus ;)
À demain pour la suite !!

Deuxième drogue // Ziggy Berman  [TERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant