Deuxième drogue // Ziggy Berman [TERMINÉE]

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Désolé je post un peu tard-
Bonne lecture !!

J'ai pris mon assiette d'une main et je me suis levée, d'un pas rapide j'ai rejoind les escaliers, je courrais presque lorsque je suis arrivée dans ma chambre, j'ai fermé la porte à clefs et me suis laissée tomber, assise sur mon lit je l'ai attendus. J'aurais pus lui répondre qu'on était chez Mason, il n'aurait pas été aussi énervé, j'entendais ses pas dans l'escaliers, j'aurais pus mais je ne l'avais pas fait, il était dans le couloirs, par ce que pour qu'il s'énerve contre Nick il fallait qu'il soit dans une colère irrationnel. Je ne savais pas si c'était bien ce que je fesais, sûrement pas. Mettre Richard Goode dans une colère noir était dangereux, est-ce que cela valait le coup ? Je n'en savais rien. J'étais aveuglée par l'idée de me venger de Nick.
- Hanna ne soit pas stupide, ouvre cette porte. Il a dit.
- Non.
- Hanna ouvre !
- Je t'ai dit non !
- Arrête tes bêtises, je veux simplement savoir où vous étiez... On c'est inquièté tu sais... t'as mère et moi, on était très anxieux quand on a vue que tu n'étais plus là.. Tu nous a fait très peure Hanna, j'aurais presque pus le croire tellement les émotions semblaient réels.
- Faux. Il a soupiré abandonnant de faire semblant,
- Je ne me répéterai pas Hanna, ouvre !
- Moi non plus alors écoute bien. Je ne t'ouvrirai pas cette porte et je ne te dirai pas non plus où moi et Nick étions. J'ai fais une pose pour m'assurer qu'il m'écoutait. Par ce que ce que tu m'as dit c'est qu'un mensonge ! Vous nous avez élevé dans le mensonge ! Mais celui là c'est le pire que tu es inventé ! Toi t'inquété pour moi ou Nick ? Sérieusement ? J'ai ris.
- Hanna de quoi parles- tu ? Il s'embait troublé, normal c'était la première fois que je me révoltait à ce point.
- Tu as dit "On c'est inquièté" or c'est faux. Vous vous êtes inquièté de savoir si j'étais à Shadyside où à un autre endroit peu recommandable pour la fille de Richard Goode ! Tu t'es inquièté pour ta réputation ! Pour la réputation des Goode pas pour moi ! Et maintenant tu t'inquiète de savoir si Nick à fait un pas de travers ! Tu te fous de nous, de notre bonheur ou de savoir si on va bien ! J'avais les larmes au yeux mais je continuais d'hurler. La seul chose qui compte c'est la réputation de la famille ! Je criai et le reste de la maison devait être réveillé à présent, si Nick sortait de sa chambre comme je l'avais prévus ma revanche serai complète.
- Hanna s'il te plaît... tu ne pense pas ce que tu dis... Il parlait d'un ton doux, arrête, ajouta-t-il d'un ton bien plus dure.
- Non ! Je n'arrêterai pas ! Et tu sais quoi ? J'ai mieux ! J'ai la preuve que tu t'en fous réellement de n-
- HANNA ! Il a donné un coup dans la porte qui m'a fait sursauter.
- Ça fait combien de temps que tu sais que je fume mais que tu ferme les yeux ?
- OUVRE CETTE PORTE !
- Ça fait combien de temps que tu sais que je vous désobéi sans cesse mais que tu ne dis rien ? Depuis combien de temps tu te voile la face ?
- OUVRE ! Il a donné un nouveau coup, la porte a tremblé.
- Tu sais pourquoi tu ne dis rien ? Tu le sais ? Oui, tu le sais, évidement, tu es loin d'être bête. Tu ne dis rien par ce que tant que ça ne se sait pas et que je continue à avoir des notes excellentes tu t'en fous du reste ! Tu t'en fous de m'avoir détruit durant mon enfance ! Tu t'en fous que je fasse des crises d'angoisse à cause de ton fils ! Tu t'en fous que j-
- LA FERME ! J'ai sursauté et instinctivement je me suis tue. OUVRE CETTE PUTAIN DE PORTE ! Il a donné un dizaine de coups puis a attendus.
- Pourquoi ? Pourquoi j'ouvrirai ? J'ai dis d'un ton calme, pourtant ma voix tremblait a présent.
- PAR CE QUE JE TE L'ORDONNE ! JE SUIS TON PÈRE TU DOIS M'OBÉIRE ! J'espérais qu'il dise ça alors je n'ai pus m'empêcher de sourire.
- Justement il y a un problème, je ne te considère plus comme mon père, alors pourquoi devrais-je t'obéir ?!
- FERME LA ! Il a continué à taper contre la porte, OUVRE ! ALLER ! HANAAAAA! J'ai commancé à sangloter, il me fesait peure, je l'avais poussé à bout, j'étais allée trop loin.
- ALLER PETITE SALOPE OUVRE MOI !
- Non ! J'ai trouvé la force de rétorquer mais j'étais terrorisée, la force que j'avais eu pour l'affronter avait disparu. Il a donné un coup de pied dans la porte, plus fort que les autres, j'ai bien crus qu'elle allait s'ouvrire et je me suis mise à pleurer regrettant de l'avoir tant énervé.
Soudain j'ai entendu une porte s'ouvrire, c'elle de la chambre de Nick, puis sa voix.
- Qu'est-ce qu'il se passe bordel ! Il a dit, j'ai entendu Richard marché dans sa direction. Il a dus le pousser puisque je l'ai entendu tomber, je ne l'ai pas entendu se relever, nie parler, Richard à rejoind sa chambre, silence.
Je ne me suis pas demandée si Nick allait bien, je ne me suis pas félicitée de ma vengeance, j'ai simplement pleuré attendant que la peure qui m'avait envahit reparte, je ne me suis pas rendormi.
Le lendemain, lorsque je suis arrivée au lycée, je ressemblais davantage à un zombie qu'à une élèves, et ça n'a pas échapper à certain prof,
- Mademoiselle Goode, vous allez bien ?
- Mademoiselle Goode vous ne semblez pas bien...
- Mademoiselle Goode vous voulez rentrer chez vous ? Pour... vous reposer ?
Ça n'à pas arrêté de la journée, même Thomas m'a fait une réflection. J'étoufais dans la même pièce que Ziggy, les images de la nuits dernière me revenait en mémoire et me terrifiait. Lorsque je tournais la tête pour l'apercevoir, Ziggy regardait toujours par la fenêtre. A la pose de 15h elle a retrouvé Thomas, je les ai vue rire ensemble, elle le considérait comme son ami, si je n'en fesais pas autan j'allais le perdre. J'avais perdu mes parents depuis longtemps, Nick depuis quelques semaines et la fille que j'aimais ce week-end, est-ce que je supporterai de le perdre lui aussi ? Sûrement. Ziggy m'avait détruite en partant, mais elle était la seul à avoir ce pouvoir, perdre Thomas ne m'affectera pas plus que lorsque j'avais perdus Nick.
Le mois de février semblait s'éterniser et le beau temps semblait ne jamais vouloir revenir. Lorsque je suis revenue, en prenant soin de passer par la fenêtre puisque je savais Richard rentrer du travail, j'étais prête à me mettre à travailler pendant des heures, quand je les ai entendu, ils criaient, ils s'enguelaient.

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