chapitres 1

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Encore!!

Mon regard dérivent entre ma pile de linge et mon envie de tout lancer par la fenêtre, lorsque j'entendis la sonnerie retentit.

Mais quand va-t-on me laisser tranquille ?! Déjà qu'on m'as levé à 6h du matin et voilà que maintenant un incongru personnage s'acharne sur ma sonnette comme on s'acharne sur une télécommande sans pile.

Une seule personne peux venir me casser les pieds. Et je sais qui et pourquoi. Sachant que j'ai, avec une grande politesse exagérer refuser poliment sont invitation pour ce midi, mais, même si le démon insiste, je ne céderait pas. Ce n'est pas pour moi les réunions de famille.

Émilie est comme ça, peux importe la manière, que ce soit de vive voix ou même par pigeon voyageur, si tu lui dit non, attend toi à la voir débarquer comme une tornade devant ta porte quelques heures plus tard.

Il y as des jours où, je fais comme si je n'étais pas chez moi, mais résultat, je suis harcelée par ma psychopathe de meilleure amie. Je sais le sadisme, ces ma passions, que voulez-vous ? J'aime me faire désirer. Donc après le harcèlement téléphonique imposée par satan lui-même, j'ai abandonnée l'idée.

Je me décidais alors après la énième tentative contre ma pauvre sonnette, à aller ouvrir. Malgré ma lenteur exagérer, elle continuais à insister fortement.

-J'arrive ! Hurlais je à l'intention de la personne.

Lorsque j'ouvre enfin la porte, je ne fut pas étonné de voir mon amie, devant moi, le doigt sur le point d'appuyer sous peu sur cette pauvre Dorothy. Vous l'aurez compris la sonnette en question.

- Émilie quel surprise, bonjour à toi. Dit-je sur un ton ironique. Je suppose que tu n'est pas là pour le thé, mais si tu me reparle encore du repas tu connais déjà ma réponse.

Alors que je fini ma phrase, je lui tourne le dos laissant mon amie entrer et prendre le soin de refermer cette porte.

- Allez Éloïse, tu connaît déjà mes parents, et là on ajoute juste mon oncle et sa famille alors pourquoi ? Dit-elle dans un plainte.

Je soufflais agacé par son comportement, elle me connaît pourtant, elle sais que je ne céderait pas.

-N'insiste pas, tu sais que tu ne gagnera pas et je suis têtue, bien plus qu'une mule. Ajoutais-je sous forme d'avertissement.

-Très bien, comme tu veux. Fit-elle en abandonnant l'idée. Bon je redescend je passe te prendre à 15h, je doit me trouvé une nouvelle paire de chaussure et je sais pertinemment que tu est de bon conseille alors, à tout à l'heure. Dit-elle avant de partir vers la porte d'entrée et de sortir.

Cette fille aura ma peau un jour, pensais-je. Enfin bon ce n'est pas le tout mais j'ai du boulot moi, je n'ai pas encore avancer et je sens que je ne suis pas prête d'avoir fini.

Je souffle en me dirigeant vers ma chambre, ou plutôt vers l'entrepôt de tissus qui orne mon lit prête à en découdre.

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Ma mère est partie alors que je n'avais que 9 ans, donc en résumé les réunions de famille, très peu pour moi. Elle n'as pas demander mon avis, ni même proposer que je l'accompagne, de toute manière j'aurais refusé de la suivre, connaissant le lien que j'ai avec mon père.

D'ailleurs il n'as jamais voulu refaire sa vie, et pourtant ce n'est pas les occasions qui lui ont manqué, mais il aime sa petite vie paisible et confortable.

Du coup on est que tout les deux.

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Absorber par mon linge qui diminue à vue d'oeil, je terminé enfin le trie et jete un coup d'oeil à ma montre. Il vas falloir que je me prépare.

Enfin prête, je regarde mon téléphone et vois qu'il est bientôt l'heure. Émilie n'a vas pas tarder, et connaissant sa ponctualité, cette fille est une horloge sur patte, jamais en retard, toujours à l'heure.

Lorsque j'entendis la sonnette je relève la tête, qu'est-ce que je vous disais ? 

J'ouvris la porte et suprise fut de constater mon amie prête et souriante.

-On y vas ? Comme ça une fois terminé je pourrais rejoindre Cyril, mon beau brun. Dit-elle avec une pointe d'enthousiasme. Et tu sais que mes parents ne l'aiment pas.

Hein, je haussais un sourcil, et me fit la réflexion à moi-même, il n'y as pas que ses parents et ce n'est pas étonnant.

-Franchement ? Moi non plus, sincèrement tu lui trouve quoi ? Trop sûr de lui et surtout d'un prétentieux... Beurk. Fit je pour conclure en imitant un haut le coeur.
-Eloise que tu ne l'aime pas bon je peux comprendre, et j'en suis désoler. Cependant nous n'avons pas la même visions des choses, moi je n'attend pas le prince charmant qui deboulera sur son canasson. Ça n'existe pas, mais en attendant moi je profite. Dit-elle d'un ton taquin ce qui me fit rire.
-Je n'ai pas dit que j'attendais le prince charmant, car il as dû se perdre, foutu GPS ! Dis-je. Mais vraiment juste un homme avec qui partager ses passions et des discussions. Pas juste un bout de viande qui te siffle quand il as faim, sous prétexte d'écarter les cuisses. C'est ton choix et je le respecte. Je ne veux plus en parler, tu est mon amie et je serais toujours là pour toi, mais tu sais que je n'ai pas ma langue dans ma poche que ça plaise ou non. Allez on bouge, je ne veux pas rentrer tard moi non plus et toi aussi, tu doit le voir après. Dis-je en la poussant vers la porte sentant dont hésitation face à ses pas.

Une fois dehors nous avançons dans la rue, lorsqu'elle se tourna vers moi.

Oh je connaît se regard hésitant et se tripotage de doigts, elle me cache un truc.

-Et bien enfaite...

Lorsque je réalise enfin je tape ma main sur mon front.

-Non mais c'est pas vrai ?! C'est une blague ?! Tu lui as demander de nous rejoindre ?! Tu veux aussi que je te tienne la chandelle quand il te lavera les amygdales ?! Alors la non hein ?! Tu sais quoi ? Demande lui conseille pour tes chaussures, je suis sûr qu'il sera ravis de prendre ma place. Je rentre, à demain ! 

Et je suis partis sans même lui laisser le temps de répondre.

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Merci de m'avoir lu.

@cathyzene bisous ❤️‍🔥

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