Une promesse entraîne souvent de bonne surprise

Chapitre 4 :

POV : ???

???: - J'étais seul dans le jardin comme à mon habitude, après tout je suis enfant unique et il se faisait tard. Mon père travaillait de nuit ce soir-là, car il avait passé la journée avec moi pour mon 13e anniversaire. C'est un bon soldat, tout notre entourage disaient que je lui ressemblais beaucoup, et que je deviendrais également un bon soldat moi aussi. Ce qui je dois l'avouer me faisais plaisir au début, mais à force de l'entendre je me suis éloigné de tout ça. D'ailleurs cela devait faire presque 6 ans que je n'avais pas touché à un fusil, pourtant je n'ai jamais raté ma cible, oui, même la première balle. Soudainement ma mère c'était mise a hurlait me sortant de mes pensées. Il ne m'a pas fallu une minute avant de rentrais dans le salon, et de le voir dévasté, ainsi que ma mère en pleure. Quant-elle m'as vue ses yeux c'était ouvert en grand et par suite elle avait hurlé ; « Derrière toi ! » avant que je ne sente en haut de mon dos des griffes qui me l'on lacerait jusqu'au bas de ce dernier. La seconde d'après la chose qui m'a griffé m'avais dépassé pour s'approchait de ma mère. Mon regard s'était tourné vers la cheminée ou le fusil que mon père m'avait offert s'y trouvait en déco, en voyant la bête s'approcher de ma mère l'adrénaline avait pris le dessus et m'a permis de courir vers l'arme pour la saisir et lui tirer dessus. Une fois abattus des hurlements anthropomorphes ce sont fait entendre ; alors que je m'étais précipité sur ma mère pour la tirée dehors. On a couru longtemps, trop longtemps, arrivais à la ville la meute a commencée à nous rattraper. J'ai poussé ma mère à travers les portes qui en lui disant d'allait chercher de l'aide, et que j'y restais pour qu'ils ne rentrent pas à l'intérieur de la ville. Ma mère partie, mon fusil en joue, je tirais, sur tout se ce que je sentais, sans savoir comment j'y arriver, mais je le faisais. Il ne me restait plus qu'une cartouche, quand des bruits d'autres armes que la mienne ont retenti dans l'obscurité d'un soir d'octobre. Avant que je ne croise sont, un regard, un regard qui ma glacer le sang, il était jouissif, il jouer avec moi, je l'ai vu avant que l'alfa ne se détourne pour partir. Tout temps sentant des bras puissants me coller à un torse. Avant de tomber dans les pommes contre mon père je l'ai hurlé de toute mes forces « JE TE RETROUVERAIS ET CE JOUR SERA TON DERNIER, JE TE LE PROMETS CONNARD ! »

???: - Ensuite Drago, il s'est passé quoi ?

Drago : - Mon père ma ramener dans le bâtiment spécialiser en créature magique, ou on m'a soigné et expliqué que j'ai eu de la chance, car normalement quand t'un humain se fait griffer si profondément il ne peut plus marcher ou deviens un loup-garou et...

???: - Et ?

Drago : - C'est ou je me suis entrainé tout le long de ma vie, et aussi rencontrai Jonathan, et vous, mes idiots préférés et les plus compétents de l'organisation.

???: - Bon on devrait aller dormir, on a encore de la route demain avant d'arriver au village et ce n'est pas parce que l'on campe qu'il faut obligatoirement se raconter nos vies respectives, surtout si elles sont inintéressantes comparé à celle de Dray.

???: - Aucune vie n'est plus intéressante que celle de notre Sergent !

???: - Blaise ! tu n'es qu'un caporal laiche cul !

Drago : - Bon Ronald et Blaise arrêter de vous battre ! et pour la peine vous dormirez dans la même tente.

Ron & Blaise : - QUOI !

Drago : - Neville, Seamus rassemblais les affaires et répartissez les dans les tentes, nous ne devons rien perdre, et gardé nos armes à proximité.

Neville & Seamus : - Comprit sergent.

Ron : - Je rêve ou il nous ignore.

Blaise : - Je crois bien.

Drago : - Théodore, Olivier, vous venez avec moi et Jonathan on va mettre des capteurs tout autour du camp.

Théodore & Olivier : - Bien sergent.

Ron & Blaise : - Et nous ?

Drago : - Tacher de ne pas vous entre-tuer ou alors dévorez-vous mais je ne veux pas voir de trace blanchâtre.

Ron & Blaise : - SERGENT !