Chapitre 4

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Une fois en bas de l'escalier, je sans une odeur très alléchante. Je me dirige donc vers la cuisine où je vis Yvan accoudé au comptoir devant une assiette et un verre de vin. Lui aussi c'était changer il porté maintenant un pantalon plus simple que celui qu'il avait avant et un tee-shirt tout blanc Basic mais qui lui allé à la perfection. À ses pied on peut y voir couché mes deux pot de colle, cela me fait sourire elle on vite accepté cette situation. Je me rapproche d'un pas décidé, Aline ce retourne vers moi et me dit.

je t'ai préparé un hamburger avec des frites, au moins je ne prend pas de risque tout le monde aime ça.

Merci, je commençais justement à avoir faim après la douche.

Tien ton assiette assis toi à côté de Yvan.

Sur ce je m'avance vers mon assiette et vois une joli tabouret en laqué noir.  Par contre je me vais encore galéré à monter dessus, il pense jamais au petit dans c'est circonstance. Le tabouret m’arrive au niveau de la hanche, sur le coup je me tortille un peu dans tout les sans en essayant de monter dessus. J’entends des personnes pouffé de rire derrière moi. Je n'ose pas me retourner mais sur le coup j'ai mon pied qui glisse et me sans tomber. Je me prépare au choc mais je ne touche pas le sol, à la place je sent un bras puissant dans dans mon dos. Je retourne mon visage tout rouge vers mon chevalier, il s’agit bien entendu de Yvan, je l'ai deviné grâce décharge et la chaleur qui ce son diffusé en moi à son contacte. Il m'aide à me redresser et à m’asseoir, puis je tourne mon regard vers les rires qui m'ont perturbé au point de glisser et de me mettre la honte. Il s’agit de Victor, Allan et Noé, eux je ne risque pas de les oublier. Je me contente juste de leur jeter un regard noir qui les fait s’arrêter immédiatement. Aline elle ne se contente pas de ça, elle les gronde ouvertement et sans ménagement.

ne fait pas attention à eux, c'est de vrai plaisantin. En tout cas j'aime bien ton haut. Me dit-il tout sourire.

Moi aussi et sur tout je suis à l'aise dedans. En tout cas le repas à l'air super bon.

oui il l'est, Aline est un vrai cordon bleu.

Sur c'est quelque mot je mange mon repas avec envie et appétit, elle a vraiment bien fait de ne pas m'écouter, quand je lui est dit tout à l'heure que je n'avais pas faim. Une fois mon repas terminé je me retourne vers Yvan.

en tout cas les deux ton bien accepté, à ce que je vois. Presque elle te préfère à moi.

Oui elles m'ont accepté comme leur alpha, mais elles te considéreront toujours pour leur alpha principal. En gros pour elle on est leur couple alpha. Dit-il en rigolant.

Comment ça un couple alpha, c'est quoi cette histoire de couple. Je me sans rougir de plus belle, cette idée de couple me semble tellement impossible, on viens de monde bien trop différent.

Si tu le dit, je veux bien te croire tu t'y connais mieux que moi dans la hiérarchie dans le domaine canin. Au fait Aline le repas était super bon. Dis-je pour essayé de détourné la conversation.

Merci, j'adore cuisiné. Tu me dira demain ce que tu n'aime pas, histoire que tu prenne du plaisir à manger.

Oui pas de soucis, mais il y a pas grand chose. Au fait elles ne ton pas embêté pendant que tu cuisinais. Lui dis-je en montrant les deux chiennes.

Non pas du tout et puis du moment où Yvan et rentré dans la pièce elle ne l'on pas lâché. Malgré le faite que je leur est donné une petite friandise elle le préfère lui c'est pas du juste les chien en on toujours que pour toi. Dit-elle en faisant une grimasse

Et oui c'est des filles elle préfère toujours les hommes c'est traîtresse. Dis-je en rigolant aussi.

Et on ce mis à rire de bon cœur toute les deux. Je commence à me sentir fatiguer et quand je regarde mon téléphone je remarque que j'ai eu plusieurs message. J'ouvris les messages part reflex  sans faire attention qu'il vienne de Léo, et ce que j'y vois marqué me glace de peur. Il me dit qu'il va m'avoir un jour ou l'autre et que ce putain de cabot ne peut pas me protéger, que dans tout les cas il à tout le temps et que les proie apeuré sont celle qu'il préfère. Il me dit également qu'il a hâte que je soit à lui pour me faire tout ce qu'il veut de moi, et de pouvoir reprendre là où c'est arrêter la dernière fois, mais que à ce moment la personne ne pourra venir m'aider. Tout à coup un vent de panique me parcoure, et je reste tétanisé en regardant l'écran de mon téléphone. À me voir ainsi figé je sent Yvan ce rapprocher de moi et de regarder par dessus mon épaule pour voir la raison de mon changement d’humeur. Je sent sa main passer part dessus la mienne pour me prendre le téléphone et y lire ce qui est écris. Puis il le met dans ça poche. Il fait pivoter le tabouret vers lui et ce penche vers moi. Voyant que je ne réagis pas il me caresse la joue avec tendresse. Quand je sent la chaleur ce sa mains contre ma peau, j'approfondis par reflex ce contacte en penchant légèrement ma tête vers ça paume. Je lève un peu les yeux vers les siens, et la seul chose que j'y voie c'est de la douceur. À ce doux contacte je me relève un peu et commence à me sentir vacillé, ce qui me fait tombé dans c'est bras. Entouré de cette chaleur je me sent partir petit à petit dans les pommes. C'est sûrement dû au contre coup de tout ce qui m'arrive. Je me sent bouger, j'ai l'impression de flotter quand tout coup mes sens ce mette en veille et tout devient encore plus noir.

les aventures d'Héléna DrixOù les histoires vivent. Découvrez maintenant