Chapitres 3

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La fin de la journée arrive assez vite, tout le monde est rentré chez soi, quand je regarde l'heure je vois qu'il est déjà il est 19h30 et le soleil c'est caché dans le bleu de la nuit. Je n'aime pas vraiment sortir du travail quand il fait nuit, mais j'étais tellement dans la lune aujourd'hui que mon travail en à un peu souffert. Je ferme le rideaux en fer de l'agence et me dirige vers le parking pour récupéré ma voiture. Les rues sont étrangement calme et vide, peut être dût au froid qui commence à approcher. Quand tout à coup j'entends des bruits derrière mois, j'accélère alors le pas en me disant que cela vient sûrement de mon imagination car quand j'ai eu le courage de regarder furtivement derrière moi je ne vis rien. Une fois arrivé là où je doit tourner pour rejoindre le chemin qui me mène à ma voiture, je regarde encore derrière moi mis toujours rien personne en vus. Plus que quelque pas et je suis à mon véhicule. Une fois devant ma voiture je cherche mes clefs frénétiquement dans mon sac. Je sent enfin le petit porte clef en métal, en forme d'ours que mais parent mon offert avant que je parte pour cette ville, je sort doucement le trousseau. Je prend la clef pour déverrouiller ma voiture mais j'ai les mains qui tremble tellement que j'ai faillie les faire tombé. Je me déteste des fois à être aussi trouillarde. J'entends des pas ce rapprocher et une voix qui m'appelle.

– Héléna

je me retourne aussi vite que je le peux, je reconnu la voie qui m'appelle. C'est Léo, décidément il ne lâche pas celui la. C'est bien le genre d'homme que je déteste, imbue d'eu même et qui n'accepte pas qu'on leur résiste à priori.

– bonsoir Léo, qu'est ce qui te prend de me faire peur comme ça.

– oh je suis désolé, c'était pas mon intention me dit-il avec un sourire en coin qui me confirme l'inverse.

– Que fait tu là à cette heure ci ?

– Rien je t'attend, comme tu ne répond plus à mes message je me suis dit qu'il fallait que je passe te voir.

Et merde, faut croire que la conversation qu'il a eu avec Lucas n'a rien changé dans c'est intention.

– Oui, je sais que je ne t'ai pas répondu. D'un autre côté je t'ai dit que je ne pense pas que ça marchera entre nous. Et qui plus est avec le travail j'ai pas vraiment le temps pour une relation. Donc je pense que le mieux c'est que l'on ne ce revoie plus.

– Tu ment bien mal. Je t'ai vue avec un homme hier, tu es allez boire un verre avec lui avec lui. J'ai même attendue que vous vous quittez pour venir te parler, mais il ne te lâché pas d'une semelle ce qui m'as plutôt agacée je doit l'avoué, je n'aime pas que l'on s'approche de trop prés de toi.

– non non ce n'ai pas ce que tu crois, c'est un client il a voulu allez fêté son achat.

– Mais bien sûr, tu avais pourtant bien l'air heureuse de passer du temps avec lui.

Son ton est menacent et je recule de quelque pas en le voyant avancé vers moi. Je sent tout as coup le métal froid et dur de ma voiture dans mon dos. Je regarde à droite et à gauche dans l'espoir de voir quelqu'un, mais il n'y a personne en vue. Le temps que je réfléchisse à une solution je me retrouve bloqué entre lui et mon véhicule. Je suis prise au piège, complètement coincé. Il attrape mon bras avec un poigne ferme et froide, ce qui me fait grimacer de douleur.

– aïe... tu me fait mal lâche moi

– non je te lâche pas, tu ai à moi que tu le veille ou pas. C'est toi que j'ai choisie et personne d'autre ne peut prendre ta place.

Je le regarde dans les yeux, mais ce n'est plus les même, le gris de la dernière fois à laissé place à un teinte plus sombre il sont presque noir avec une lueur rougissant. Comme une flamme dansant au font de c'est pupille. Il ce contente de me regarder avec un sourire carnassier, de plus près je remarque que c'est canine sont anormalement plus longue. Prise de panique j'essaie de crier, mais aucun sons ne veux sortir de ma bouche. Mais des larmes commence à couler et je sens comme un vent glaciale et de panique me parcourir tout le corps. Quand tout à coup je sent une chaleur ce dégager dans mon bras je regarde vers cette nouvelle sensation qui me semble familière et j'aperçois Yvan qui tiens mon bras pour me libéré de l'étreinte de mon agresseur. Celui si pris par surprise relâche un peut sont emprise ce qui me permis de me dégager de ces mains. Je me retrouve tout à coup dans les bras de mon chevalier.

les aventures d'Héléna DrixOù les histoires vivent. Découvrez maintenant