Chapitre 1

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Les Tarterêts

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Les Tarterêts.

~☾~

10h20, Les Tarterêts, Corbeil-Essonnes.

Eylam : Aïda, dépêche toi de te lever, on doit tout décharger !

Il me secoue légèrement pour me réveiller.

Je me réveille sans difficulté cette fois-ci, et sors hors de la voiture. Je vais pas mentir, je trouve cet endroit affreux. Les tours ne sont pas chaleureuses du tout, l'atmosphère me semble étrange.

J'essaie de chasser ces pensées afin de me concentrer pour aider mon frère et mon père à tout monter.

J'ai environs 4 sacs à porter et je suis déjà débordée. Je suis difficilement mon père et mon frère. Après seulement quelques mètres de fait afin d'atteindre la tour, je n'en peux plus.

Aïda :On est à quel étage ?

Gilberto : On doit monter au troisième étage, courage, je sais que c'est lourd.

Mon frère, voyant que je suis au bout de ma vie, rigole dans son coin.

Eylam : Et devine quoi ? Il n'y a pas d'ascenseur !

Je tourne vivement la tête vers mon père, avec du désespoir dans les yeux, pitié que ce sois faux. Mon père ne dit rien, c'est donc vrai.

Après avoir monté les étages, nous sommes arrivé devant notre porte. Mon père l'ouvrit, et nous avons déposer tous nos sacs dedans.

Eylam et moi on explore l'appartement, il y a une cuisine relié au salon, une petite salle de bain, un balcon, et trois chambres ! Je suis uniquement contente pour la chambre, car je vais avoir une chambre pour moi toute seule. Le reste, je le trouve petit, ça change de là où on habitait en Colombie.

Gilberto : Les enfants, commencez à ranger les affaires s'il vous plaît, je dois rejoindre René, je reviens très vite.

Mon frère hoche la tête, et commence déjà à ranger ses affaires.

Mon père s'approche de moi et me fait un bisou sur le front.

Gilberto : Ne t'en fais pas Aïda.

Après m'avoir dit ces mots, il part.

Je prend mes sacs, et les installent dans ma chambre. En vrai, elle est jolie, un lit tout simple, un beau tapis, de grandes armoires et un grand bureau !

Je déballe mes affaires, tout en étant assise sur mon lit.

Je vais devoir me faire à cette nouvelle vie, je n'ai pas le choix de toute façon.

Eylam : Aïda, Aïda, viens vite ! VITE !

Inquiète, je cours jusqu'à sa chambre, il est assis tranquille sur son lit, les mains fermées.

Combler nos vies avant de tomberOù les histoires vivent. Découvrez maintenant