Ace

81

Le point de vue d' Ace :

Les grands yeux verts du petit garçon ont jeté un coup d'œil à Sofia. "Hé, comment tu t'appelles" Sofia a parlé d'un ton doux et doux. "Parker" le petit garçon blond gémissait. Sofia s'est assise près de lui, les jambes croisées et le dos arribé. "Je suis Sofia", elle a légèrement souri avant de regarder en moi. "C'est Ace", m'a-t-elle pointé du doigt. Les yeux de Parker se sont élargis alors qu'il a sapé dans ses bras. "Xavier ne l'aime pas" Parker a embrassé Sofia, reposant sa tête sur son épaule. Sofia l'a tenu doucement pendant qu'elle me regardait.

"Xavier Hart" J'ai serré ma mâchoire avec colère. Il était le chef de la mafia que nous avons détruite. "Le chef des Reds", ai-je dit, en informant Sofia pendant que les pensées me traversaient la tête. "Sofia, nous devrions probablement parler après cela", j'ai grogné, mon cœur s'est enfonçant pour l'enfant. La plupart des prisonniers que nous avons trouvés étaient morts ou gravement affamés et blessés. Je ne pense pas que sa mère l'ait fait.

Et juste comme ça, la douleur de perdre ma mère est revenue en un clin d'œil, sculptant un trou vide dans ma poitrine de l'endroit où était son amour. Elle ne pouvait pas me protéger de mon père, elle ne pouvait pas l'arrêter, mais je savais qu'elle n'aimait pas me voir dans la douleur.

"Earth to Ace" Sofia a appelé pour moi. J'ai fredonné en réponse. "Fait en sorte qu'un de tes gardes aille acheter des vêtements pour enfants, les vêtements de Parker sont sales", a déclaré Sofia avant de commencer à parler à Parker, lui demandant quelle était sa nourriture préférée.

Je suis sorti de la cellule et j'ai descendu le couloir. "Chef, nous avons besoin que vous obteniez des réponses d'un snitch", a crié un garde au hasard. "Ne peux-tu pas voir que je me dirige vers ton putain, il n'y a pas besoin de crier" J'ai rugi sur lui, le faisant presque mourir de peur. « Où est-il ? » J'ai grogné violemment en passant devant les cellules. Nous avons marché pendant une minute ou deux avant d'atteindre la bonne cellule.

"Il est dans celui-ci", a pointé le garde. Je suis entré dans la cellule pour voir un jeune homme décemment assis sur une chaise, attaché avec des chaînes autour de ses poignets et de ses chevilles. J'ai vu l'épuisement sur son visage, il pouvait à peine lever la tête. "D'accord, je ne suis pas d'humeur à jouer à des putains de jeux, de quelle mafia es-tu ?" J'ai grogné avec colère, saisissant ses cheveux et lui faisant me regarder. "Votre mafia", gémit-il, ses yeux luttant pour rester ouverts. J'ai pris une profonde respiration avant de lui donner un coup de poing sur le visage.

"Ne me fais pas demander à nouveau", j'ai crié en face, essayant de lui faire peur. "Je ne peux pas vous le dire parce que je ne sais pas", a-t-il crié de douleur. J'ai soupiré, secouant la tête. "Je ne voulais pas avoir à le faire, mais vous ne vous conformez pas" Je me suis serré les dents et je me suis étamé hors de la pièce. "Get me the blow torch" que j'ai demandé à la garde. Sans hésitation, le garde s'est précipité pour l'obtenir.

"Pour l'amour de la merde", j'ai murmuré sous mon souffle, regardant l'homme qui ne pouvait pas avoir plus de 21 ans. Je suis peut-être cruel, mais cela ne signifie pas que j'aime voir les jeunes mourir. Je veux dire, qui aimerait voir les gens mourir ? Regarder la vie s'écouler d'une personne est effrayant à regarder, même pour moi. J'ai tué d'innombrables fois, donc cela n'a plus vraiment d'effet sur moi, mais quand les jeunes meurent, il y a juste quelque chose de tellement plus tragique à ce sujet.