Je n'étais pas née pour être une fille exemplaire. Même si mon enfance fut dessinée par une perfection absolue. Mon histoire dans ce monde commença à l'heure du goûter, le 3 janvier 1992. Née sous le soleil d'Honolulu, mes parents me prénommèrent Maïa Kaïli Dawkins. Et, j'étais née dans une bonne famille.
Ashton Dawkins paraissait dans la plupart des journaux hawaïens comme un héros des temps modernes. Quelqu'un qui se battait pour la vraie justice. Mon père était à ses début un simple avocat de Londres qui essayait de s'élevait pour défendre plus d'innocents. C'est ce qu'il est devenu en quittant sa terre natal pour l'île de rêve. La mutation était désirée. Mon père était follement amoureux d'Aïlani, son premier amour qui suivait ses études à Londres mais repartirait bientôt à Hawaii, son pays d'origine. Ce fut une magnifique histoire d'amour entre un avocat et une professeur de français. Ils se marièrent et eurent neuf enfants.
Depuis toute petite, la langue française me paraissait familière. Mais, ma langue principale restait l'anglais bien que ma grand-mère maternel refusait de parler une autre langue que le hawaïen en ma présence.
Quand mes bougies affichèrent cinq ans, ma mère me demanda de choisir deux activités physiques. Ce fut l'équitation et le cheerleading. Ma mère accepta sans se préoccupait des dépenses.
À l'âge de dix ans, j'étais devenu parfaitement bilingue avec le français et l'anglais. En revanche, l'hawaïen me causait plus de difficulté. Quant à mes deux sports, j'étais la capitaine des Cheerleader et pour l'équitation, ma grand-mère m'avait offert un cheval nommé " Kholopouia " pour augmenter plus rapidement dans les galops.
Mes parents visaient la perfection en permanence. Quand je ne réussissait pas dans une matière, un professeur particulier était à ma disposition.
L'argent n'était pas un problème et considérant ceci comme une chance absolue, mes parents souhaitaient montrer l'exemple de la réussite à travers leurs progéniture. Mais, dans les bonnes familles, il y a toujours des vilains secrets.
Quand l'âge de conduire m'était accordée, je surpris mon frère Malo dans une course de voiture illégal. Sachant que mon autre grand-frère Joshua venait de devenir policier, la situation était amusante. J'étais juste présente pour accompagner la copine de l'époque à mon frère qui était inquiète pour lui. Au final, ce soir-la, il remporta la course et nous avons eut une discussion pendant de longues heures. Je promettais de me taire à condition qu'il m'emmène voir d'autres courses. Il refusa sans réfléchir. Mais, après quelques mois, il accepta la situation et désira m'apprendre à conduire pour participer à une course.
C'était conduire ou mourir. J'étais âgée de seize ans et pendant que la moitié de ma famille s'orientait vers l'amour du droit, mon frère et moi étions attirés par l'interdit.
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N'arrête jamais de jouer avec la mort.
RandomParfois nous n'avons pas l'occasion d'avoir à faire un choix mais parfois oui. Mon choix est fait. Conduire ou mourir. Meet the fast and the furious